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jeudi 11 février 2016

A Calais les « no borders » sont soutenus par le milliardaire George Soros


   Article publié le 11.02.2016
Jordi Vives


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A Calais les « no-borders » sont soutenus par le milliardaire George Soros

Alors que la ville de Calais tombe un peu plus chaque jour dans le chaos face à l'invasion de migrants, qui sont ces « no-borders », ces militants d'extrême gauche qui enfreignent les lois pour venir en aide aux clandestins ?

Les « no-borders » forment un collectif de militants fondé en 1999 et que l'on retrouve aujourd'hui dans l'ensemble de l'Europe et qui lutte pour la disparition des frontières.

A Calais, ces militants sont regroupés autour du collectif Calais Migrant Solidarity.

Ce sont ces extrémistes qui le 23 janvier dernier, ont aidé les migrants à s'introduire illégalement dans le port de Calais et à prendre possession d'un ferry.

Mais derrière l'image d'anarchistes et de militants d'extrême gauche se cache une réalité bien peu glorieuse.

On est pour le moins surpris de voir que ces gens là n'hésitent pas à présenter les organismes qui les soutiennent, des organismes qui révèlent la vraie nature de ce lobby pro-immigration.

Sur leur site internet, les « no-borders » affichent une liste de plus de 550 organisations dans tous les pays d'Europe qui les soutiennent.

Et là, grande surprise, on est très loin d'organisations d'extrême gauche.

 Pour en citer quelques unes, on retrouve, entre autre, le Conseil de l'Europe, la Commission Européenne, plusieurs groupes parlementaires du Parlement Européen, le Home Office (ministère de l'intérieur britannique), le Département fédéral des affaires étrangères suisse, le conglomérat d'entreprises suisses Migros, etc...
Cerise sur le gâteau, on retrouve également parmi ces soutiens, la très puissante et ultra-libérale Open Society Foundation, la fondation fondée par le milliardaire George Soros.
Une fondation qui est tristement connue pour avoir, entre autre, créé l'organisation OTPOR qui a renversé le gouvernement Serbe de Slobodan Milosevic avec le concours de la CIA.

En France, l'Open Society a également financé le Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF), une organisation dont le président Marwan Muhamad, avait déclaré en 2011 :
« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ?
Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. »


La nature de ces soutiens et le fait qu'ils soient clairement affichés sur leur site internet démontrent sans ambiguïté la réalité du mouvement « no-border ».

Jordi Vives, le 11 février 2016

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