Le 27/01/2016
On entend des Allahou Akbar de plus en plus forts tandis que les migrants, aidés par les militants d'extrême gauche, défoncent une première grille...
Je viens de regarder une vidéo que les télés, une fois de plus obséquieuses d’un gouvernement qui ne gouverne plus, ne montreront pas, et je comprends pourquoi la France en est arrivée à tous les niveaux à ce point de faiblesse.
Nous sommes à Calais, en France.
Un haut lieu des échanges touristiques et commerciaux avec la Grande-Bretagne.
On y voit, en pleine ville, à proximité des quais où s’amarrent les ferrys, une poignée de policiers, bardés comme des ninjas, bouclier et bombe lacrymogène à la main face à un groupe de migrants dont le leader parle, hurle, sa voix amplifiée par un mégaphone, en afghan ou en tout cas une langue inconnue.
Les quelques CRS qui leur barrent la route essayent de leur demander poliment d’aller sur leur gauche.
Que nenni.
En quelques minutes, les manifestants sont plusieurs centaines.
Ils avancent car ils savent que les forces qui représentent l’État français ne sont plus une force mais une faiblesse qui va reculer.
Et, effectivement, débordés, les CRS reculent tandis que la horde de migrants sur laquelle flottent quelques drapeaux rouges à l’emblème du NPA se précipite en direction du port.
Leur leader vaque tranquillement à son affaire, passant et repassant entre les policiers.
Et la foule court de plus en plus vite aux cris de “UK, UK”, car ils savent qu’un ferry vient d’accoster et qu’il repartira… avec eux, espèrent-ils !
On entend des Allahou Akbar de plus en plus forts tandis que les migrants, aidés par les militants d’extrême gauche, défoncent une première grille.
Puis c’est un véritable assaut qui est lancé en direction du quai.
L’imposante clôture qui protège les quais n’y résistera pas.
Le grillage est abattu, brèche par laquelle des dizaines d’entre eux réussissent à pénétrer dans la zone sous douane et commencent l’abordage de l’énorme ferry.
Quelques grenades éclatent devant la brèche, semant la panique parmi les migrants, mais ils se reprennent très vite et ce sont des centaines de clandestins et de militants du NPA et autres groupuscules qui montent à bord du navire, drapeaux du NPA en tête.
Du haut de la passerelle, le personnel essaye vaguement de les repousser avec une lance à incendie, sans effet.
Quinze manifestants seulement seront interpellés !
Une fois de plus, alors que Cazeneuve a envoyé mille policiers et gendarmes sur la zone de Calais, c’est la débandade parmi des forces de l’ordre désorganisées qui ont reçu l’ordre de laisser faire pour éviter tout incident.
Mieux vaut voir taguer la statue du général de Gaulle d’un rageur « Nik la France », mieux vaut voir des Calaisiens qui n’en peuvent plus essayer de se défendre plutôt que de montrer que force doit rester à la loi, pourtant exigée par l’article 7 de notre Constitution.
Est-il admissible qu’un gouvernement appelé à gouverner laisse ainsi pourrir une situation qui, au fil des mois, devient intolérable pour les Calaisiens, pour la France, pour l’honneur d’un ordre policier qui ne peut agir comme il le souhaite.
Le premier responsable de cette dramatique situation est notre Président, qui préfère aller faire le beau parleur aux quatre coins de la planète plutôt que de prendre les décisions qui s’imposent à Calais comme partout où les migrants, clandestins ou hors-la-loi agissent en toute impunité, encouragés par des militants de mouvements dont la dissolution aurait dû être examinée depuis longtemps.
« C’est par la lutte qu’on survit et qu’on gagne ce qu’on veut. Par la force, et non par la faiblesse. »
MM. Hollande, Valls, Cazeneuve et Mme Taubira feraient bien de réfléchir à cette pensée de Jean-François Somcynsky.
Mais la faiblesse est sans doute la seule arme politique qu’ils savent utiliser…
Nous sommes à Calais, en France.
Un haut lieu des échanges touristiques et commerciaux avec la Grande-Bretagne.
On y voit, en pleine ville, à proximité des quais où s’amarrent les ferrys, une poignée de policiers, bardés comme des ninjas, bouclier et bombe lacrymogène à la main face à un groupe de migrants dont le leader parle, hurle, sa voix amplifiée par un mégaphone, en afghan ou en tout cas une langue inconnue.
Les quelques CRS qui leur barrent la route essayent de leur demander poliment d’aller sur leur gauche.
Que nenni.
En quelques minutes, les manifestants sont plusieurs centaines.
Ils avancent car ils savent que les forces qui représentent l’État français ne sont plus une force mais une faiblesse qui va reculer.
Et, effectivement, débordés, les CRS reculent tandis que la horde de migrants sur laquelle flottent quelques drapeaux rouges à l’emblème du NPA se précipite en direction du port.
Leur leader vaque tranquillement à son affaire, passant et repassant entre les policiers.
Et la foule court de plus en plus vite aux cris de “UK, UK”, car ils savent qu’un ferry vient d’accoster et qu’il repartira… avec eux, espèrent-ils !
On entend des Allahou Akbar de plus en plus forts tandis que les migrants, aidés par les militants d’extrême gauche, défoncent une première grille.
Puis c’est un véritable assaut qui est lancé en direction du quai.
L’imposante clôture qui protège les quais n’y résistera pas.
Le grillage est abattu, brèche par laquelle des dizaines d’entre eux réussissent à pénétrer dans la zone sous douane et commencent l’abordage de l’énorme ferry.
Quelques grenades éclatent devant la brèche, semant la panique parmi les migrants, mais ils se reprennent très vite et ce sont des centaines de clandestins et de militants du NPA et autres groupuscules qui montent à bord du navire, drapeaux du NPA en tête.
Du haut de la passerelle, le personnel essaye vaguement de les repousser avec une lance à incendie, sans effet.
Quinze manifestants seulement seront interpellés !
Une fois de plus, alors que Cazeneuve a envoyé mille policiers et gendarmes sur la zone de Calais, c’est la débandade parmi des forces de l’ordre désorganisées qui ont reçu l’ordre de laisser faire pour éviter tout incident.
Mieux vaut voir taguer la statue du général de Gaulle d’un rageur « Nik la France », mieux vaut voir des Calaisiens qui n’en peuvent plus essayer de se défendre plutôt que de montrer que force doit rester à la loi, pourtant exigée par l’article 7 de notre Constitution.
Est-il admissible qu’un gouvernement appelé à gouverner laisse ainsi pourrir une situation qui, au fil des mois, devient intolérable pour les Calaisiens, pour la France, pour l’honneur d’un ordre policier qui ne peut agir comme il le souhaite.
Le premier responsable de cette dramatique situation est notre Président, qui préfère aller faire le beau parleur aux quatre coins de la planète plutôt que de prendre les décisions qui s’imposent à Calais comme partout où les migrants, clandestins ou hors-la-loi agissent en toute impunité, encouragés par des militants de mouvements dont la dissolution aurait dû être examinée depuis longtemps.
« C’est par la lutte qu’on survit et qu’on gagne ce qu’on veut. Par la force, et non par la faiblesse. »
MM. Hollande, Valls, Cazeneuve et Mme Taubira feraient bien de réfléchir à cette pensée de Jean-François Somcynsky.
Mais la faiblesse est sans doute la seule arme politique qu’ils savent utiliser…
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