Le 28/12/2015
Mépris pour le peuple de France, mépris pour nos traditions, mépris pour notre culture.
Pour l’instant, pas plus François Hollande que Manuel Valls n’ont daigné présenter leurs vœux aux Français pour les festivités de Noël de l’année 2015.
Pas un mot, pas un message sur les réseaux sociaux, pas un communiqué.
À l’exception de la présence discrète de Bernard Cazeneuve à une messe de Noël.
À la place, un silence radio devenu assourdissant.
Un silence qui suinte le mépris.
Mépris pour le peuple de France, mépris pour nos traditions, mépris pour notre culture.
Parmi ces élus indignes de notre histoire, Anne Hidalgo occupe une place de premier choix.
Confondant laïcité et destruction de notre mémoire collective, madame le maire de Paris a tenu à ne pas souhaiter un joyeux Noël à ses administrés.
Pourtant, le jeudi 16 juillet 2015, Anne Hidalgo organisait une nuit du ramadan en la salle des fêtes de l’hôtel de ville de Paris, réunissant pour l’occasion 450 convives attirés par un buffet luxueux et un orchestre.
Outre la susnommée Anne Hidalgo, le battu Claude Bartolone montrait alors patte blanche à la communauté musulmane pour s’en attirer les faveurs lors des élections régionales.
Cela n’a, semble-t-il, pas été suffisant pour présider la région Île-de-France.
Noël est bien évidemment une fête religieuse chrétienne, mais elle est aujourd’hui un peu plus que cela.
Au-delà de la foire consumériste gênante, Noël appartient à notre patrimoine culturel indivis tout autant qu’au patrimoine cultuel d’une foi particulière.
Les romains fêtaient déjà le dies natalis solis invicti à la date du 25 décembre, et les festivités liées au solstice d’hiver sont célébrées depuis la plus haute Antiquité en France comme dans le reste de l’Europe.
Une laïcité bien pensée ne doit pas avoir pour objectif de nier toutes nos traditions.
C’est pourtant ce que s’emploient à faire avec le plus grand zèle les représentants de notre nation bimillénaire.
En reléguant Noël au rang de jour anonyme, François Hollande et les siens relèguent leur pays au rang de pays anonyme dans le monde.
Pire : ils méprisent même ces « communautés » qu’ils entendent choyer, car leurs flatteries n’en font que de simples clientèles électorales.
Dans ces conditions, il est peu étonnant que l’État soit faible et laxiste.
Si ses dirigeants ne sont même plus capables d’assumer l’histoire de la patrie qu’ils sont censés protéger, comment peuvent-ils être forts face aux caïds des zones de non-France qui caillassent nos pompiers et qui poseront peut-être des bombes au milieu de foules d’innocents ?
Avant que les citoyens d’Ajaccio ne réagissent suite à l’abandon de l’État, Manuel Valls n’avait pas eu un mot pour les pompiers agressés.
Il faut dire que nos forces de l’ordre et nos forces de protection sont quotidiennement harcelées par des voyous.
Manuel Valls y est donc habitué.
Personnellement, je ne m’y habitue pas.
Quand des racailles – car c’est ainsi qu’il faut les appeler – insultent les pompiers d’Ajaccio aux cris de « sales Corses », c’est ma chair de Français qui est blessée.
Ailleurs, nous entendons « sales babtous », « sales Français » et autre « sales paysans », le tout avec l’autorisation (voire sous les encouragements discrets) de la gauche « Terra Nova » représentée par Christiane Taubira.
Quant à la « droite », elle ne pipe mot.
L’État doit être digne de son histoire.
Pour cela, il doit être respectueux de nos traditions et faire respecter l’ordre public.
Surtout le jour de Noël, si symbolique à bien des égards.
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