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mardi 27 octobre 2015

Petite chronique de la violence ordinaire contre les autochtones désarmés et indéfendus

                                                    

Le 27/10/2015
Nos concitoyens sont livrés en pâture à la guise des nouveaux caïdats qui gangrènent progressivement tout le territoire.
   
Le « vivrensemble » qu’on nous vend sans relâche à coups de propagande soviétoïde est un enfer pavé par les délires idéologiques de manipulateurs qui vouent, en vérité, une haine sans merci à leur propre peuple.
En voici un témoignage, parmi tant d’autres :


Un soir de juillet dernier, à 23 h 30, une bande de voyous, pour la plupart gens du voyage sédentarisés, frappent à la porte du domicile de mon fils.
 La gendarmerie recensera plus tard une bonne vingtaine d’agresseurs.
 Mon fils, son épouse et ses deux enfants regardaient à ce moment la télévision.
 Malgré l’étonnement d’entendre frapper à la porte à cette heure-là, mon fils décide d’aller ouvrir.
La porte d’entrée est violemment poussée et mon fils est traîné sur le pas de la porte par trois ou quatre individus et là, roué de coups pendant plus de cinq minutes…
 Ma belle-fille reçoit un coup de barre de fer en pleine poitrine et plusieurs coups au visage.
 Mon petit-fils aîné, 16 ans, est sévèrement cogné à plusieurs reprises pendant que le second petit-fils (12 ans) a le réflexe d’appeler Police-Secours…
Vingt-cinq minutes après, débarquement d’une équipe d’intervention de la gendarmerie qui trouve mon fils inanimé.
Il saigne abondamment de la bouche : il a reçu un coup de couteau dans la joue.
Les pompiers interviennent, et tous sont amenés aux urgences de l’hôpital.


Prévenu, je vais passer la nuit aux urgences avec mes enfants et je discute avec le chef de la brigade d’intervention : je subis un sermon de morale pour le cas où mes intentions seraient de me venger.

Il m’explique alors de ne pas m’inquiéter, d’autant que les agresseurs sont connus des services de police et qu’ils vont être appréhendés très vite.
Ils ne le sont toujours pas aujourd’hui…

L’origine de cette affaire : mon fils encadre les jeunes équipes de rugby du club local.

Il a 40 ans, il est sportif et honorablement connu.
Trois jours avant l’agression, il s’est interposé entre un groupe de trois jeunes et une fillette de 14 ans qui se faisait rosser près de chez lui.
Après avoir ramené la fillette chez elle, dont les parents portent plainte aussitôt, mon fils va subir des menaces de mort.
Il n’y aura aucune réaction à suivre de la part de la maréchaussée.
Elle jugera même que les menaces ne peuvent « être que des propos en l’air ».
 Le lendemain de l’agression, j’ai eu un entretien houleux avec les forces de l’ordre.

J’ai fini par avoir des propos qui ont déplu à mes interlocuteurs, ce qui m’a valu d’être surveillé pendant trois jours !

Nous sommes toujours, à ce jour, dans l’attente des suites de cette affaire.


Nos concitoyens, désarmés et abandonnés par l’État, sont livrés en pâture à la guise des nouveaux caïdats qui gangrènent progressivement tout le territoire – qui, pis est, sous la menace judiciaire, policière, et sociale s’ils s’avisaient tant soit peu de réagir pour défendre leur droit et même leur vie.

L’impuissance des forces de l’ordre est voulue par un État qui a démissionné, sauf pour réprimer ceux qu’il doit défendre.

 De l’autoroute A1 à Moirans ou Castres en passant par Calais, l’État se désagrégeant, ne s’imposent et ne sont ménagées que les communautés où règne une solidarité clanique, tribale ou ethnico-religieuse.

 Les « Français de souche », coupés de leurs attaches et enserrés dans un lacis liberticide de lois et règlements qui ne s’appliquent qu’à eux, sont, sur le sol de leur patrie, livrés pieds et poings liés aussi bien à la violence de l’État qu’aux violences communautaires.

Il est grand temps qu’ils s’organisent.

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