« On doit haïr les mécréants, et couper la tête à ces gens. »
« Ce n’est pas encore l’heure pour moi de mourir en martyre ». « Notre chef d’état estAbu Bakr al Bagdadi ».
« Nous ne sommes pas Musulmans d’Italie, nous sommes ici dans le Califat pour faire le Djihad : on tue pour ça ». « D’abord, nous avons fait la guerre, puis nous avons brûlé les églises. Et maintenant, nous avons toute la Syrie. » « Papa, l’Islam t’appelle, tu commandes à la maison, prends la Maman par les cheveux et porte-la ici en Syrie. Tu es le mari, elle est obligée de t’obéir. »
Ce sont quelques-unes des écoutes épouvantables qui ont convaincu les magistrats de Milan de déclencher la première descente visant des Italiens faisant l’objet d’une enquête comme recruteurs et complices de ceux appelés « Etat Islamique » (Is, aussi nommé Isis ou Isil).
La police a éxécuté cette nuit un mandat d’arrêt à l’égard de dix accusés de terrorisme internationaux avec le nouveau délit criminel qui incrimine les départs de djihadistes vers les zones de guerres contrôlées par les organisations armée à caractère terroriste. (…)
Les arrestations ont été décidés d’urgence quand l’enquête, en cours depuis déjà le mois de Novembre, a révélé que la soeur Marianna de 31 ans, le père Sergio, 61 ans, et la mère Assunta, 60 ans, étaient prêts à partir pour s’allier au Califat islamique, après avoir retiré, il y a quelques jours, l’unique passeport à renouveler et mis en vente les meubles de la maison.
(…) Giula explique à la soeur, entre autres, que son mari, en Syrie, a participé aux exécutions avec les égorgements de mécréants (Chiites ou Chrétiens) et des prédicateurs sunnites non alignés au Califat.
Et Marianna approuve, se demandant avec les parents sexagénaires comment faire pour rejoindre le Califat.
L’unique doute, jusqu’à il y a un mois, concernait la mère napolitaine, qui demandait si dans l’état islamique elle aurait eu la machine à laver et si elle pouvait y cultiver un potager.
« Un potager ? Ici, ils te donneront toute la Syrie », lui répond Giulia la djihadiste
Et Marianna approuve, se demandant avec les parents sexagénaires comment faire pour rejoindre le Califat.
L’unique doute, jusqu’à il y a un mois, concernait la mère napolitaine, qui demandait si dans l’état islamique elle aurait eu la machine à laver et si elle pouvait y cultiver un potager.
« Un potager ? Ici, ils te donneront toute la Syrie », lui répond Giulia la djihadiste
L’Espresso via Fdesouche.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.