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Le 29/06/2015
L’attentat inqualifiable que la France vient de subir est un odieux message électrochoc venant de l’islam terroriste. Cela suffit ! Citoyens, à nous d’agir !
L’attentat inqualifiable que la France vient de subir est un odieux message électrochoc venant de l’islam terroriste.
Cela suffit !
Citoyens, à nous d’agir !
Enfin le brusque éclairage jeté sur une réalité horrible, trop camouflée jusqu’à présent, va devoir imposer une politique conforme à notre honneur, à nos racines, à nos convictions.
Un vaste rassemblement national des citoyens devrait compenser l’hypocrite manifestation du 11 janvier.
Nos concitoyens regardent, hébétés, la désastreuse actualité, sans pouvoir trouver la réaction qui s’impose.
Nous n’avons encore enregistré aucune réaction ni condamnation de la part de la communauté musulmane en France.
En effet, nous sommes en guerre, l’horrible attentat d’hier nous le confirme.
Dans ce cas, il n’y a plus que des patriotes ou des collaborateurs ou des traîtres.
Assez d’ambiguïté, assez d’enfumage !
Arrêtons les mensonges et les faux-fuyants qui sont autant de trahisons vis-à-vis de nos valeurs nationales.
Plus de discours anesthésiants, mais des actes rigoureux sans concession.
Aucune atteinte aux lois de la République ne peut plus être tolérée.
On ne peut plus se laisser imposer un mode de vie à l’opposé de celui qui nous vient de 2.000 ans d’évolution civilisée.
Nous avons bien compris qu’à la base, il y a un problème d’éducation à l’école, un problème de déformation en prison et dans les mosquées, des provocations inadmissibles dans les domaines du vêtement, de la langue, de l’alimentation, et des quartiers de notre territoire atteints par une infiltration dangereuse.
Face au tsunami de l’immigration irrégulière, l’Europe est impuissante, empêtrée dans les vulgaires habitudes d’une politique démocratique dégénérée.
L’État national doit donc assumer sa responsabilité en exigeant de tous le respect des comportements conformes à une société civilisée.
Il appartient au peuple français de démontrer sa détermination à faire respecter ses valeurs.
Ce n’est pas un héritage à conserver, mais c’est un patrimoine de l’humanité dont nous avons la charge depuis que nous avons combattu, à plusieurs reprises dans notre histoire, les tyrannies et les barbaries.
C’est pourquoi la France est particulièrement visée par les conquérants d’un monde de brutes.
La gravité de la situation en France dépasse le soutien sollicité par le gouvernement et sa majorité, chancelants et dépourvus de confiance, et exclut désormais l’écoute passive des médias complices.
Nous sommes appelés à l’union nationale.
C’est également l’heure du redressement qui, dans la Ve République, passe naturellement par une élection présidentielle anticipée, motivée par un programme de salut public, faisant place à l’engagement d’un référendum populaire, et par une équipe gouvernementale composée de 15 personnalités, ayant rompu avec les partis politiques et irréprochables, pour une durée limitée à la réalisation des réformes qu’exige la nation.
Dans ce type de défi dramatique, les Français ont su trouver, dans le passé, la voie d’une telle exigence.
« Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire ; quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire » (Clemenceau). « Qu’est-ce que le peuple ? C’est ce qui, dans une nation, ne veut jamais s’agenouiller » (Albert Camus).
Cela suffit !
Citoyens, à nous d’agir !
Enfin le brusque éclairage jeté sur une réalité horrible, trop camouflée jusqu’à présent, va devoir imposer une politique conforme à notre honneur, à nos racines, à nos convictions.
Un vaste rassemblement national des citoyens devrait compenser l’hypocrite manifestation du 11 janvier.
Nos concitoyens regardent, hébétés, la désastreuse actualité, sans pouvoir trouver la réaction qui s’impose.
Nous n’avons encore enregistré aucune réaction ni condamnation de la part de la communauté musulmane en France.
En effet, nous sommes en guerre, l’horrible attentat d’hier nous le confirme.
Dans ce cas, il n’y a plus que des patriotes ou des collaborateurs ou des traîtres.
Assez d’ambiguïté, assez d’enfumage !
Arrêtons les mensonges et les faux-fuyants qui sont autant de trahisons vis-à-vis de nos valeurs nationales.
Plus de discours anesthésiants, mais des actes rigoureux sans concession.
Aucune atteinte aux lois de la République ne peut plus être tolérée.
On ne peut plus se laisser imposer un mode de vie à l’opposé de celui qui nous vient de 2.000 ans d’évolution civilisée.
Nous avons bien compris qu’à la base, il y a un problème d’éducation à l’école, un problème de déformation en prison et dans les mosquées, des provocations inadmissibles dans les domaines du vêtement, de la langue, de l’alimentation, et des quartiers de notre territoire atteints par une infiltration dangereuse.
Face au tsunami de l’immigration irrégulière, l’Europe est impuissante, empêtrée dans les vulgaires habitudes d’une politique démocratique dégénérée.
L’État national doit donc assumer sa responsabilité en exigeant de tous le respect des comportements conformes à une société civilisée.
Il appartient au peuple français de démontrer sa détermination à faire respecter ses valeurs.
Ce n’est pas un héritage à conserver, mais c’est un patrimoine de l’humanité dont nous avons la charge depuis que nous avons combattu, à plusieurs reprises dans notre histoire, les tyrannies et les barbaries.
C’est pourquoi la France est particulièrement visée par les conquérants d’un monde de brutes.
La gravité de la situation en France dépasse le soutien sollicité par le gouvernement et sa majorité, chancelants et dépourvus de confiance, et exclut désormais l’écoute passive des médias complices.
Nous sommes appelés à l’union nationale.
C’est également l’heure du redressement qui, dans la Ve République, passe naturellement par une élection présidentielle anticipée, motivée par un programme de salut public, faisant place à l’engagement d’un référendum populaire, et par une équipe gouvernementale composée de 15 personnalités, ayant rompu avec les partis politiques et irréprochables, pour une durée limitée à la réalisation des réformes qu’exige la nation.
Dans ce type de défi dramatique, les Français ont su trouver, dans le passé, la voie d’une telle exigence.
« Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire ; quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire » (Clemenceau). « Qu’est-ce que le peuple ? C’est ce qui, dans une nation, ne veut jamais s’agenouiller » (Albert Camus).
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