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lundi 25 mai 2015

« On est chez nous »: nouveau slogan des clandestins

                                                    


Le 25/05/2015
On laisse manifester des hommes qui devraient être hors de France et on arrête en quelques minutes une manifestation pacifique de jeunes Français qui en ont assez de vivre dans une république où ils se sentent de moins en moins chez eux.

Deux faits m’ont particulièrement marqué, en cette fin de semaine, juste avant que le Saint Esprit ne descende sur nous, mais hélas pas sur nos gouvernants accrochés à leur athéisme laïcard.
Le premier s’est déroulé devant l’Assemblée Nationale, le 22 mai, deux ou trois cents Africains battant tam tam, hurlaient « On est chez nous, on est chez nous !  ».
 Ce qui aurait été parfait si cela était avéré, mais tous, sans exception, étaient des clandestins, des sans-papiers, des migrants sans visa, sans identité, donc des hors-la loi.
 Ils brandissaient un bandeau demandant…un ministère de la régularisation des sans-papier !
 Et évidemment ils n’étaient pas chez eux, pas encore en tout cas, pas avant que le généreux Bernard Cazeneuve ne leur accorde le droit d’asile et de généreuses allocations qui ne coûtent rien, puisque, selon notre bien aimé Président, « c’est l’Etat qui paie »
Quelques policiers, une poignée de ninjas bon enfant, avaient été dépêchés sur les lieux pour s’assurer que des « souchiens » ne viennent pas les ennuyer…
Mais aucune dispersion.


Le lendemain, une autre vision, face à l’Assemblée nationale, au siège parisien de la Commission de l’Union européenne.
 Onze jeunes gens, disons-le onze « souchiens » justement, avaient escaladé au moyen d’une échelle de chantier la façade pour se hisser sur le balcon de la dite Commission afin d’y accrocher une banderole décrivant leur action : «  L’émigration tue l’Afrique, l’immigration tue l’Europe ».
Traduction, tous ces migrants seraient sûrement plus utiles à leurs pays en les aidant à progresser plutôt que d’envahir l’Europe pour l’appauvrir et en tuer ses cultures.
Réaction immédiate du dit ministre de l’Intérieur : l’envoi de 20 estafettes de la Police nationale, d’une dizaine de véhicules de Gendarmerie, et de deux camions… de pompier, dont la grande échelle pour déloger ces jeunes gens, membres du mouvement « Génération identitaire » dont le but principal est de vouloir garder aux pays européens leur identité.
Par cette action, ces jeunes ont voulu tirer la sonnette d’alarme contre l’immigration massive qui nous arrive d’Afrique et du Moyen Orient et parmi laquelle se glissent des terroristes.
 Après avoir dénoncé dans leur tract la passivité des gouvernements européens face à ces migrants, leur accueil des bateaux, la folle politique des quotas, et leur complicité passive avec les passeurs, ils ont été priés de descendre pour se faire interpeller au pied de l’échelle des sapeurs pompiers.
Fouillés puis contrôlés par les forces de l’ordre, ils ont été reconduits vers la première bouche de métro.
Deux poids deux mesure, une fois de plus.
On laisse manifester des hommes qui devraient être hors de France, sans les empêcher de bloquer les rues.
Et on arrête en quelques minutes une manifestation pacifique de jeunes Français qui en ont assez de vivre dans une république où ils se sentent de moins en moins chez eux.


Manuel Valls qui pense déja, dit-on, à trouver un moyen juridique d’interdire le Front national trouvera t-il ce prétexte pour dissoudre ce mouvement de jeunes gens dont le seul extrémisme est de vouloir défendre leur identité culturelle et religieuse.


Sous un gouvernement libéré de toute idéologie marxiste, ce sont les violents antifas qui devraient voir leur mouvement interdit.


Ces jeunes de la gauche la plus extrême, à qui notamment l’on doit la profanation du cimetière juif de Sarre-Union, en février dernier, sans compter les multiples destructions de biens urbains lors de leur violentes manifs.


Mais non, il est urgent de faire taire ces jeunes identitaires qui osent protester ouvertement, mais toujours pacifiquement, contre l’islamisation et la colonisation de leurs pays par des populations qui refusent de se fondre dans leur pays d’accueil.

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