Maryvonne a un gros défaut : elle est propriétaire.
D’une petite maison en l’occurrence, dans un quartier de Rennes.
C’est pourquoi depuis la fin avril, le cas de Maryvonne Thamin ne mobilise aucun des professionnels de l’indignation.
Pourtant, il y a de quoi !
A 83 ans, cette femme modeste se retrouve à la porte de son logement, squatté légalement grâce à une loi de 2007.
Les coucous ont changé les serrures et organisé une pendaison de crémaillère!
Cette histoire de fou est scandaleuse.
Elle est accablante pour la crédibilité du législateur.
Une telle loi, qui encourage le coup de force et pénalise la propriété, marche sur la tête.
Elle montre à quel point les minorités militantes ont réussi à imposer leur pouvoir.
Or l’injustice est bien, ici, du côté de Maryvonne, vieille dame sans fortune qui se retrouve à la rue. Il est révoltant de constater l’indifférence que suscite son sort.
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