D’après des sites locaux au Tchad, un gendarme français en mission de formation en Afrique centrale serait grièvement blessé à N’Djaména dans un accrochage dont on ne connaît toujours pas les détails, bien qu’il ait eu lieu vendredi dernier.
L’État-major français n’a toujours pas fait de déclaration à ce sujet, après avoir déclaré samedi ne pas être au courant de l’incident.
L’information a été divulguée par RFI et puis relayée par le site tchadien Alwihda qui a évoqué une fusillade entre militaires français et tchadiens, ayant fait deux blessés de chaque côté, dans la nuit de vendredi à samedi à N’Djamena.
Selon les rares détails disponibles et parfois contradictoires, le militaire français a été blessé dans un échange de coups de feu : il a reçu plusieurs balles dans le corps, et a été évacué.
Son collègue a été plus légèrement touché et est resté sur place, sans doute pour les besoins de l’enquête.
On n’a pas d’informations sur l’état des blessés tchadiens, ni sur les motifs de cette fusillade.
Selon les rares détails disponibles et parfois contradictoires, le militaire français a été blessé dans un échange de coups de feu : il a reçu plusieurs balles dans le corps, et a été évacué.
Son collègue a été plus légèrement touché et est resté sur place, sans doute pour les besoins de l’enquête.
On n’a pas d’informations sur l’état des blessés tchadiens, ni sur les motifs de cette fusillade.
Une semaine après, pas une fois cet incident n’a été évoqué officiellement par les autorités françaises et tchadiennes.
Le site tchadien Tchadactuel vient de publier sa version sur cet incident envoyé aux oubliettes.
Selon Tchadactuel, les renseignements militaires tchadiens (B2) auraient constaté que les éléments français s’addonnaient à un trafic intense d’achat d’armes.
Et alors, il a été décidé de piéger les français en chargeant un élément du service du B2 de vendre des armes aux français.
Selon Tchadactuel, les renseignements militaires tchadiens (B2) auraient constaté que les éléments français s’addonnaient à un trafic intense d’achat d’armes.
Et alors, il a été décidé de piéger les français en chargeant un élément du service du B2 de vendre des armes aux français.
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