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vendredi 3 avril 2015

Le violeur récidiviste qui avait brisé son bracelet électronique relaxé par la justice rouge

3 avril 2015
 
honnête


De Mike Borowski, Rédacteur en Chef de La Gauche M’a Tuer  
    
Je ne suis pas de ceux qui veulent envenimer les choses en mettant en avant les errements de la justice sur les faits divers les sordides.

 Seulement, elles impactent la vie des Français et elles sont de plus en plus fréquentes.
Elles doivent mis à la connaissance de nos compatriotes, car elles sont un message politique de nos magistrats.
Ceux-ci sont devenus les militants et par conséquents les bras armés de notre Garde des sceaux.
Alors que de tout temps, nos sociétés ont mis de côté en enfermant tous ceux qui contrevenaient aux règles, nous avons décidé au nom de la modernité de changer cette donne.
 Ainsi, plus vous semez le mal, plus vous aurez de chance de rester en liberté et de continuer votre basse œuvre de destruction.
Nos gouvernants pensant réinsérer ces gens hors de la prison.
 Mais le but d’un centre de détention n’a jamais été de réinsérer mais de l’éloigner de la communauté, afin que ceux qui ont choisi la marginalité ne détruisent l’œuvre des actifs.

 Là est l’erreur.
 Dans toute civilisation, vous avez un pourcentage d’êtres humains dont l’objectif n’est pas de s’insérer dans un cadre mais de le contourner.
Et aucune méthode ne les changera, c’est comme ça et pas autrement.
 Penser différemment est dépenser inutilement l’argent du contribuable, pour un résultat quasi-nul.
Le dire est une évidence, seulement il faut le répéter toujours et sans cesse, vu que cela ne rentre pas dans l’esprit d’une élite mondialisée.
Je ne l’ai pas inventé, ce n’est pas une position d’un « facho de droite » comme aiment à me définir les lecteurs de gauche qui me suivent, c’est tout simplement une réalité humaine.
Ne pas le reconnaître est une méconnaissance de l’homme ou une volonté délibérer de mettre au tapis ce que nos ancêtres ont mis des siècles à ériger.

Prenons l’exemple de ce dernier cas spécifique à ce que devient la France de 2015, « Jean-Luc Moindrot, 48 ans, avait été condamné en première instance à 18 mois de prison pour avoir fui début juin son domicile de Nancy avant d’être interpellé trois semaines plus tard à la frontière espagnole.
Mais lors de son deuxième procès, le 4 mars dernier, l’avocat général avait requis la relaxe.
Car si le bracelet électronique peut permettre à certains détenus de bénéficier d’aménagements de peine, Jean-Luc Moindrot, lui, avait déjà purgé la sienne lorsqu’il s’est vu placer sous surveillance judiciaire, compte tenu de son caractère dangereux de violeur en série »

« Le quadragénaire avait en effet été condamné en 1991 à Orléans à 9 ans d’emprisonnement pour un viol, puis en 2001 à Auxerre à 20 ans de réclusion, dont 13 ans de sûreté, pour trois nouveaux viols.
 «Avec les réductions et les remises de peine, il arrivait en fin de peine le 3 décembre 2013», avait expliqué le procureur Thomas Pison en juin.
Moindrot avait alors été placé sous surveillance judiciaire avec bracelet électronique pendant quarante-cinq mois, «soit exactement ce qu’il avait obtenu en réductions et remises lors de sa détention».
La surveillance s’accompagnait d’injections pour contrôler sa libido, ainsi que d’un suivi socio-judiciaire et psychiatrique soutenu, «qu’il avait observé sans difficultés depuis décembre 2013», avait précisé le procureur.
Jean-Luc Moindrot ne pouvait sortir de son domicile que quatre heures par jour, afin de trouver un emploi, qu’il venait d’ailleur de décrocher au moment de sa fuite. »

« Le 12 juin 2014 au matin, il avait arraché son bracelet électronique avec une pince coupante avant de l’abandonner dans une rue proche de chez lui à Nancy et de prendre la fuite. Un avis de recherche avait été lancé et l’homme avait été aperçu à plusieurs endroits avant d’être finalement interpellé. Il avait expliqué s’être rendu dans le sud pour aller voir la mer, en passant les nuits dans sa voiture, et en survivant pendant ces trois semaines de cavale de ses maigres économies. »

L’histoire de ce violeur récidiviste est symptomatique de la folie actuelle de nos magistrats, et de leur idéologie de réinsertion à tout prix.

 En s’obstinant dans l’erreur ils mettent en dangers nos concitoyens.

A moins que cela soit l’objectif non avoué pour se débarrasser du peuple de France.

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