Le 24/03/2015
Si la France en avait assez, de toutes ces associations prétendument antiracistes mais parfaitement antifrançaises ?
Cent vingt-cinq associations soutenues par l’extrême gauche ont défilé « contre le racisme et contre le fascisme », le 21 mars, la veille des élections départementales, dans quelque vingt villes de France.
Avec – entres autres exigences – « la fin des contrôles au faciès, l’arrêt des démantèlements des camps de Roms, le retrait des lois racistes contre les musulmans, la régularisation de tous les sans-papiers, la fermeture des centres de rétention, le droit de vote des étrangers », etc.
On n’y comprend plus rien.
Antiracistes, ceux qui brandissent dans les rues de Paris des pancartes en hurlant « Nique la France et son passé (barré d’une croix) son présent colonialiste » ?
Républicains, les Indigènes de la République quand leur mot d’ordre fétiche est « La République est une religion islamophobe » ?
Contre l’antisémitisme, ces mêmes Indigènes, quand ils publient un communiqué pour en finir « avec tous les visages du racisme républicain dont l’islamophobie, la négrophobobie, la romophobie, et le… philosémitisme » ?
Républicains, le racisme, l’islamophobie et autres « négrophobie » ?
Mais alors, quand nos républicains brandissent la tolérance, l’antiracisme et l’antisémitisme comme nos valeurs républicaines, ils nous… mentiraient ?
« Philosémitisme », c’est nouveau, ça.
L’État serait coupable de sympathie particulière envers les juifs ?
Après les récents attentats de Charlie Hebdo et du magasin casher par des musulmans radicaux, pourtant, Bernard Cazeneuve l’a dit : « La République, et c’est son rôle, protège tous ses enfants, et notamment les mosquées » […].
Notamment, synonyme : « en particulier », « particulièrement ».
Les mosquées avant les synagogues ?
Les mosquées… avant tout ?
Il est très préoccupant d’entendre ces autoproclamés antiracistes crier, du matin au soir et du soir au matin, au retour de « la bête immonde » mais ne voir aucune forme d’antisémitisme à accuser l’État de trop aimer les juifs.
Ont-ils perdu tout sens commun ou cherchent-ils à embrouiller définitivement l’esprit des Français ?
Pour preuve, le slogan, à Toulouse : « Valls ou Le Pen, c’est pareil ».
Manuel, paraît-il, a eu un nouvel accès de rage.
Mais c’est surtout presque drôle de la part de 125 associations qui ne veulent « pas se résigner à la montée de l’extrême droite, qu’elle prenne la forme du Front national, des groupes fascistes et ouvertement islamophobes et/ou antisémites » !
Comique, aussi, de voir des représentants de l’Éducation nationale porter une banderole dont le slogan pourrait tout aussi bien signifier « Éducation sans frontières » que « Sans éducation », « Sans frontières » !
« Peut-être que la France n’ayant jamais connu la dictature, elle a envie d’essayer avec le FN », s’interroge une manifestante très instruite.
Mais si la France en avait assez, de la dictature européo-mondialiste ?
Si la France en avait assez, de toutes ces associations prétendument antiracistes mais parfaitement antifrançaises ?
Si la France n’en pouvait plus, de subir la francophobie et la blancophobie – à l’exception de Mazarine Pingeot, qui « n’en a jamais souffert », dit-elle – et voulait essayer le retour à la souveraineté nationale promis par Marine Le Pen ?
Avec – entres autres exigences – « la fin des contrôles au faciès, l’arrêt des démantèlements des camps de Roms, le retrait des lois racistes contre les musulmans, la régularisation de tous les sans-papiers, la fermeture des centres de rétention, le droit de vote des étrangers », etc.
On n’y comprend plus rien.
Antiracistes, ceux qui brandissent dans les rues de Paris des pancartes en hurlant « Nique la France et son passé (barré d’une croix) son présent colonialiste » ?
Républicains, les Indigènes de la République quand leur mot d’ordre fétiche est « La République est une religion islamophobe » ?
Contre l’antisémitisme, ces mêmes Indigènes, quand ils publient un communiqué pour en finir « avec tous les visages du racisme républicain dont l’islamophobie, la négrophobobie, la romophobie, et le… philosémitisme » ?
Républicains, le racisme, l’islamophobie et autres « négrophobie » ?
Mais alors, quand nos républicains brandissent la tolérance, l’antiracisme et l’antisémitisme comme nos valeurs républicaines, ils nous… mentiraient ?
« Philosémitisme », c’est nouveau, ça.
L’État serait coupable de sympathie particulière envers les juifs ?
Après les récents attentats de Charlie Hebdo et du magasin casher par des musulmans radicaux, pourtant, Bernard Cazeneuve l’a dit : « La République, et c’est son rôle, protège tous ses enfants, et notamment les mosquées » […].
Notamment, synonyme : « en particulier », « particulièrement ».
Les mosquées avant les synagogues ?
Les mosquées… avant tout ?
Il est très préoccupant d’entendre ces autoproclamés antiracistes crier, du matin au soir et du soir au matin, au retour de « la bête immonde » mais ne voir aucune forme d’antisémitisme à accuser l’État de trop aimer les juifs.
Ont-ils perdu tout sens commun ou cherchent-ils à embrouiller définitivement l’esprit des Français ?
Pour preuve, le slogan, à Toulouse : « Valls ou Le Pen, c’est pareil ».
Manuel, paraît-il, a eu un nouvel accès de rage.
Mais c’est surtout presque drôle de la part de 125 associations qui ne veulent « pas se résigner à la montée de l’extrême droite, qu’elle prenne la forme du Front national, des groupes fascistes et ouvertement islamophobes et/ou antisémites » !
Comique, aussi, de voir des représentants de l’Éducation nationale porter une banderole dont le slogan pourrait tout aussi bien signifier « Éducation sans frontières » que « Sans éducation », « Sans frontières » !
« Peut-être que la France n’ayant jamais connu la dictature, elle a envie d’essayer avec le FN », s’interroge une manifestante très instruite.
Mais si la France en avait assez, de la dictature européo-mondialiste ?
Si la France en avait assez, de toutes ces associations prétendument antiracistes mais parfaitement antifrançaises ?
Si la France n’en pouvait plus, de subir la francophobie et la blancophobie – à l’exception de Mazarine Pingeot, qui « n’en a jamais souffert », dit-elle – et voulait essayer le retour à la souveraineté nationale promis par Marine Le Pen ?
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