Le 23/02/2015
Personne ne cherchera à savoir si les affreux de Chelsea avaient connu l'exclusion, la misère, le chômage, s'ils étaient devenus racistes en prison, s'ils avaient manqué de père...
L’empire du bien est à la fête !
Un super bonus de Noël vient d’arriver pour eux en février.
Il faut dire que les pauvres avaient bien du souci ces derniers temps, avec toutes les mauvaises nouvelles arrivées depuis janvier.
Cela avait même commencé dès le mois de décembre lorsque plusieurs « chauffards » écrasèrent des piétons en criant Alla akbar.
Le nombre des victimes n’avait pas permis que les médias nous cachent ces horreurs, mais ils avaient rapidement réussi à nous faire passer la pilule en l’enrobant de l’étiquette « déséquilibré ».
Tout allait donc bien à Noël, mais voilà que patatras, dès janvier, nos islamistes maison passaient à une vitesse très supérieure, nous donnant droit à un 11 septembre bien à nous, laissant la France stupéfaite, si triste et traumatisée qu’il fallut bien du talent à tous les gens sympas pour la rouler plus que jamais dans la farine cotonnée du multiculturalisme et la noyer sous les bisous.
Et voilà que les islamistes, remettant le couvert à Copenhague, secouaient une fois encore les bien-pensants, éternellement étonnés devant le spectacle, pourtant si habituel , de ces diversités visibles bien intégrées qui ne pensent qu’à désintégrer.
Les prêtres de l’empire du bien ont cru, enfin, qu’un événement conforme à leur doxa s’était produit lorsqu’un cimetière juif fut saccagé, mais là, quelle déception ce fut d’apprendre que les profanateurs étaient antifascistes, ce qui rendait l’information totalement inutilisable pour une rééducation citoyenne des apostats de la religion multiculturaliste.
Mais tout arrive, et voilà qu’enfin un beau fait divers, au milieu de tant d’événements affreux situés dans le même décor, et qu’on ne pourrait raconter de peur de faire monter Le Pen, leur tomba, tel un cadeau du ciel : un vrai Noir fut vraiment exclu d’un wagon bondé, au milieu de gens non Noirs et exclus aussi, par une équipe de supporters chantant leur racisme à gorge déployée.
La victime était parfaite, les criminels tout autant, tout le monde s’en est mêlé, jusqu’à l’ONU qui n’a pas dû voir de crime aussi épouvantable depuis des lustres, et nos médias vont pouvoir se vautrer avec délectation dans la position de l’indigné professionnel, se consolant de toutes les vilaines histoires remplies de victimes à peau claire dont il vaut mieux ne pas parler.
Gageons que personne ne cherchera à savoir si les affreux de Chelsea avaient connu l’exclusion, la misère, le chômage, s’ils étaient devenus racistes en prison, s’ils avaient manqué de père.
On ne verra aucun reportage mettant en scène des voisins surpris.
Aucune excuse ne leur sera jamais trouvée. Il faut dire qu’ils l’ont bien cherché, à une époque où il est plus grave de prononcer des paroles racistes que de poignarder ou violer quelqu’un dans le métro.
Un super bonus de Noël vient d’arriver pour eux en février.
Il faut dire que les pauvres avaient bien du souci ces derniers temps, avec toutes les mauvaises nouvelles arrivées depuis janvier.
Cela avait même commencé dès le mois de décembre lorsque plusieurs « chauffards » écrasèrent des piétons en criant Alla akbar.
Le nombre des victimes n’avait pas permis que les médias nous cachent ces horreurs, mais ils avaient rapidement réussi à nous faire passer la pilule en l’enrobant de l’étiquette « déséquilibré ».
Tout allait donc bien à Noël, mais voilà que patatras, dès janvier, nos islamistes maison passaient à une vitesse très supérieure, nous donnant droit à un 11 septembre bien à nous, laissant la France stupéfaite, si triste et traumatisée qu’il fallut bien du talent à tous les gens sympas pour la rouler plus que jamais dans la farine cotonnée du multiculturalisme et la noyer sous les bisous.
Et voilà que les islamistes, remettant le couvert à Copenhague, secouaient une fois encore les bien-pensants, éternellement étonnés devant le spectacle, pourtant si habituel , de ces diversités visibles bien intégrées qui ne pensent qu’à désintégrer.
Les prêtres de l’empire du bien ont cru, enfin, qu’un événement conforme à leur doxa s’était produit lorsqu’un cimetière juif fut saccagé, mais là, quelle déception ce fut d’apprendre que les profanateurs étaient antifascistes, ce qui rendait l’information totalement inutilisable pour une rééducation citoyenne des apostats de la religion multiculturaliste.
Mais tout arrive, et voilà qu’enfin un beau fait divers, au milieu de tant d’événements affreux situés dans le même décor, et qu’on ne pourrait raconter de peur de faire monter Le Pen, leur tomba, tel un cadeau du ciel : un vrai Noir fut vraiment exclu d’un wagon bondé, au milieu de gens non Noirs et exclus aussi, par une équipe de supporters chantant leur racisme à gorge déployée.
La victime était parfaite, les criminels tout autant, tout le monde s’en est mêlé, jusqu’à l’ONU qui n’a pas dû voir de crime aussi épouvantable depuis des lustres, et nos médias vont pouvoir se vautrer avec délectation dans la position de l’indigné professionnel, se consolant de toutes les vilaines histoires remplies de victimes à peau claire dont il vaut mieux ne pas parler.
Gageons que personne ne cherchera à savoir si les affreux de Chelsea avaient connu l’exclusion, la misère, le chômage, s’ils étaient devenus racistes en prison, s’ils avaient manqué de père.
On ne verra aucun reportage mettant en scène des voisins surpris.
Aucune excuse ne leur sera jamais trouvée. Il faut dire qu’ils l’ont bien cherché, à une époque où il est plus grave de prononcer des paroles racistes que de poignarder ou violer quelqu’un dans le métro.
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