Le 21/01/2015
20 morts — malheureusement pas tous terroristes — apportent + 20 points de popularité au Président Hollande !
20 morts — malheureusement pas tous terroristes — apportent + 20 points de popularité au Président Hollande !Celui-ci a ainsi transformé un Waterloo politique (qui, sinon le chef de l’État, n’a pas su protéger les 17 personnes assassinées ?) en un Austerlitz politicard (en piégeant les Français de droite avec les « Je suis Charlie » !).
Il était évident qu’en acceptant une « Union nationale » concoctée aux petits oignons par le Parti Socialiste — Union, il faut le reconnaître, qu’il leur était quasiment impossible de refuser —, les responsables de droite, dans le sens le plus large de l’échiquier politique, se sont fait piéger : un refus les aurait marginalisés mais un accord les a piégés car le bénéfice politique en revenait inévitablement au Président en tête de la marche.
Alors qu’il est le chef d’État, celui donc qui n’a pas su tout mettre en œuvre afin que :
1/ les terroristes ne puissent accomplir leurs actions assassines : même si le risque zéro n’existe pas, si la justice appliquait pleinement les verdicts, certains ne sortiraient pas de prison avant la fin de leur peine.
Des terroristes n’ont-ils pas perpétré des attentats alors qu’ils auraient dû être encore incarcérés ?
2/ les forces de l’ordre — renseignements, recherches, protection… —, que ce soient les polices nationale et municipales ou les forces armées dont, c’est évident, les gendarmes, puissent faire face à ce terrorisme fortement armé et, trop souvent, extrêmement bien entraîné.
Cela en renforçant leurs effectifs tout en leur donnant les moyens nécessaires à leurs missions de l’informatique à l’armement.
Mais, peut-on objecter, où trouver les moyens financiers ?
Ne serait-il pas possible de lancer un emprunt national destiné uniquement à ces nécessités de lutte contre un terrorisme intérieur ?
Les Français, dans leur plus large majorité, seraient d’accord pour aider l’État, quel qu’il soit politiquement, à éradiquer complètement le cancer qui ronge la France !
Et c’est donc cet échec dramatique, cette défaite face à un terrorisme nourri en notre sein, ce Waterloo politique que l’équipe Hollande-Valls-Cazeneuve a su transformer en une victoire flamboyante, un Austerlitz politicard !
Cela en faisant oublier les causes — à savoir leur incapacité à lutter pleinement contre le terrorisme, leur angélisme face à certains Français dont des bi-nationaux pour lesquels la France n’est plus ou n’a jamais été dans leur cœur — pour ne voir que les avantages politiques à en retirer.
D’où l’idée de cette marche dite « d’Union nationale »…
Nicolas Sarkozy a accepté d’y participer, dit-on, dès le second appel téléphonique des socialistes.
Il aurait mieux fait de tourner sept fois autour de son téléphone avant de prendre une telle décision : si lui-même ne la regrette pas (encore), nombre de ses électeurs doivent piétiner dans leur coin en voyant grimper la côte de popularité des Hollande, Valls et consorts avec le sentiment de s’être fait piéger par les socialistes
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