Cher Monsieur, Poutine est un vrai politique qui défend sa nation bec et ongles. Démonstration.
Quand j’ai lu, sur Boulevard Voltaire, le « Requiem pour Vladimir Poutine » de monsieur Yves-Marie Laulan, j’ai bondi de mon fauteuil !
À moins d’être américain ou atlantiste, comment avoir une telle analyse de la situation ?
Cher Monsieur, Poutine est un vrai politique qui défend sa nation bec et ongles.
Démonstration.
Avec son ministre Lavrov, la diplomatie reprend ses lettres de noblesse, sérieusement écornées par les mensonges de Kerry et Fabius.
Et non, Vlad sait très bien où il va, il excelle comme un vrai joueur d’échecs avec plusieurs coups d’avance.
Voyons un peu ce que Poutine l’incompétent a fait pour son pays depuis 2 ans.
Au Moyen-Orient, il a évité un nouvel Irak en évitant les frappes en Syrie et en gardant Assad, son fidèle allié qui lui prête Tartous comme base navale. Mieux : il a évité de froisser la Turquie et Israël, tout en restant ami du Hezbollah et allié objectif de l’Iran.
Pour se venger, Washington crée Maïdan à Kiev pendant que sa fierté nationale renaît à Sotchi. Objectif pour les atlantistes ?
Récupérer l’Ukraine dans les rangs de l’OTAN.
Résultat ?
La Crimée revient à la mère patrie, et la Novorussie renaît !
En un coup gagnant, Poutine récupère Sébastopol et les gisements gaziers de la mer Noire.
La junte de Kiev perd ses guerres dans l’Est et se liquéfie. Privée des mines du Donbass, elle doit importer de l’énergie !
Ruinée, elle n’a que ses deux yeux pour pleurer, le froid sibérien attend son tour et scellera son sort.
Criminelle à Odessa et à Donetsk, elle se coupe à jamais de sa population russophone.
Poutine, grand seigneur, ne coupe pas le gaz.
Pendant ce temps en Occident, on « isole » ce grand pays pour des arguments de pacotille.
Malaysian Airlines !
Quelles preuves ?
Troupes russes à Donetsk !
Combien de divisions ?
Mon Dieu, Poutine est un imbécile, il a perdu sur toute la ligne.
On va le faire souffrir, tudieu, en ne lui livrant pas les Mistral !
Grand perdant, il scelle des alliances avec l’Amérique du Sud et l’Iran pour les produits agricoles. Pour vendre son énergie, il construit un pipeline avec un petit pays comme la Chine et organise des exercices militaires communs.
Les sanctions financières ?
Il contre-attaque avec la coopération de Shanghai et convertit ses pétrodollars en or physique.
Ah oui, dernière nouvelle : il vient de conclure un accord historique avec la Turquie.
En fournissant de l’énergie à bas prix, Poutine va avoir accès au marché européen et à l’agriculture turque.
La Turquie ne ferait-elle pas partie de l’OTAN ?
M. Laulan, Poutine ne sait-il donc pas où il va ?
En provoquant l’ours russe, l’Occident recueille les fruits de ses échecs.
On est bien loin d’une personnalité molle, dominée, hésitante, lâche et déconnectée de son peuple, de la nation souveraine et de ses intérêts.
Toute ressemblance avec quelqu’un n’est que fortuite.
À moins d’être américain ou atlantiste, comment avoir une telle analyse de la situation ?
Cher Monsieur, Poutine est un vrai politique qui défend sa nation bec et ongles.
Démonstration.
Avec son ministre Lavrov, la diplomatie reprend ses lettres de noblesse, sérieusement écornées par les mensonges de Kerry et Fabius.
Et non, Vlad sait très bien où il va, il excelle comme un vrai joueur d’échecs avec plusieurs coups d’avance.
Voyons un peu ce que Poutine l’incompétent a fait pour son pays depuis 2 ans.
Au Moyen-Orient, il a évité un nouvel Irak en évitant les frappes en Syrie et en gardant Assad, son fidèle allié qui lui prête Tartous comme base navale. Mieux : il a évité de froisser la Turquie et Israël, tout en restant ami du Hezbollah et allié objectif de l’Iran.
Pour se venger, Washington crée Maïdan à Kiev pendant que sa fierté nationale renaît à Sotchi. Objectif pour les atlantistes ?
Récupérer l’Ukraine dans les rangs de l’OTAN.
Résultat ?
La Crimée revient à la mère patrie, et la Novorussie renaît !
En un coup gagnant, Poutine récupère Sébastopol et les gisements gaziers de la mer Noire.
La junte de Kiev perd ses guerres dans l’Est et se liquéfie. Privée des mines du Donbass, elle doit importer de l’énergie !
Ruinée, elle n’a que ses deux yeux pour pleurer, le froid sibérien attend son tour et scellera son sort.
Criminelle à Odessa et à Donetsk, elle se coupe à jamais de sa population russophone.
Poutine, grand seigneur, ne coupe pas le gaz.
Pendant ce temps en Occident, on « isole » ce grand pays pour des arguments de pacotille.
Malaysian Airlines !
Quelles preuves ?
Troupes russes à Donetsk !
Combien de divisions ?
Mon Dieu, Poutine est un imbécile, il a perdu sur toute la ligne.
On va le faire souffrir, tudieu, en ne lui livrant pas les Mistral !
Grand perdant, il scelle des alliances avec l’Amérique du Sud et l’Iran pour les produits agricoles. Pour vendre son énergie, il construit un pipeline avec un petit pays comme la Chine et organise des exercices militaires communs.
Les sanctions financières ?
Il contre-attaque avec la coopération de Shanghai et convertit ses pétrodollars en or physique.
Ah oui, dernière nouvelle : il vient de conclure un accord historique avec la Turquie.
En fournissant de l’énergie à bas prix, Poutine va avoir accès au marché européen et à l’agriculture turque.
La Turquie ne ferait-elle pas partie de l’OTAN ?
M. Laulan, Poutine ne sait-il donc pas où il va ?
En provoquant l’ours russe, l’Occident recueille les fruits de ses échecs.
On est bien loin d’une personnalité molle, dominée, hésitante, lâche et déconnectée de son peuple, de la nation souveraine et de ses intérêts.
Toute ressemblance avec quelqu’un n’est que fortuite.
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