Le 19 décembre 2014
Quelle est cette maladie qui pousse nos dirigeants politiques à fouler aux pieds la mémoire collective de notre patrie ?
Bernard Cazeneuve est le ministre de l’Intérieur ; et sans savoir, il ne cesse de donner raison à la thèse d’Éric Zemmour selon laquelle notre civilisation a atteint un tel degré de détestation de soi qu’elle ne cesse de donner à ses adversaires, si ce n’est à ses ennemis, des gages de bonne volonté.
Monsieur Cazeneuve n’est d’ailleurs même plus un ministre français : la photographie officielle de son compte Twitter montre en arrière-plan le drapeau européen.
Comme la plupart de ses collègues, il ne conçoit plus de poser à côté du drapeau national si ce dernier n’est pas associé aux symboles de la soumission française à la technocratie bruxelloise : toujours la honte d’être ce que l’on est…
C’est en Algérie, en voyage officiel, que monsieur Cazeneuve s’est livré à cet exercice désormais habituel d’autoflagellation.
En Algérie, pays dirigé depuis plus de 50 ans par un groupuscule terroriste auquel la France a depuis longtemps reconnu le monopole de la représentativité ; en Algérie, pays dirigé par un ancien chef de guerre au palmarès duquel se trouvent des milliers de Français – civils et militaires – et de harkis égorgés, sans compter les malheureuses populations locales coupables de ne pas avoir fait allégeance au FLN ; en Algérie, dont le chef de l’État est venu insulter la France à la tribune de l’Assemblée nationale il y a quelques années sans qu’aucun député n’ait le courage de se lever et de sortir avec fracas face à cette atteinte à l’honneur de notre pays.
À l’occasion d’un voyage officiel au cours duquel il a annoncé une nouvelle loi qui facilitera le transfert de populations algériennes sur notre territoire, Bernard Cazeneuve, revenant sur les récentes polémiques qui agitent de leurs soubresauts le microcosme politique ou médiatique français, a déclaré : « Toute manifestation d’islamophobie doit être poursuivie et condamnée car on ne négocie pas avec les valeurs de la République. »
Selon le Huff Post Maghreb, il aurait ajouté en citant explicitement les propos d’Éric Zemmour : « Certaines paroles peuvent blesser et diviser et la France, ce n’est pas cela. Nous ne laisserons rien passer. »
Mais qui donc Éric Zemmour a-t-il égorgé ?
Qui a-t-il torturé, écorché vif et roulé dans du sel, condamné à mort à cause d’une conversion à une autre religion que celle du prophète ?
À quelles familles a-t-il enjoint de choisir entre la valise et le cercueil, et sans délai ?
Monsieur Cazeneuve est-il à ce point ignorant, pour oublier que tout cela s’est passé ou se passe encore en Algérie, dans ce pays que la France a construit, sur cette terre où tant des siens ont versé leur sueur et leur sang ; dans ce pays envers lequel elle a fait le pire choix qui soit, en l’abandonnant du jour au lendemain, après avoir mené une guerre longue et victorieuse qui n’a débouché que sur le massacre des vainqueurs, les cris et la peur ?
Est-ce en France que l’on égorge des otages ?
Que l’on assassine de paisibles moines ?
Quelle est cette maladie qui pousse nos dirigeants politiques à fouler aux pieds la mémoire collective de notre patrie ?
Qui leur interdit de voir les choses en face, et les mène à présenter leurs excuses à un pays qui n’a aucune leçon à nous donner ?
Nous sommes nombreux à l’avoir écrit depuis quelques jours : le crime d’Éric Zemmour est de décrire la réalité et de décortiquer les mécanismes qui font d’un ministre français une lavette devant des potentats de seconde zone.
Pendant ce temps, la France fait la leçon à Poutine : lui, au moins, ne risque pas – car il est le chef d’un État civilisé – de nous envoyer des égorgeurs et des terroristes.
Décidément, Cazeneuve est bien le révélateur de l’état dans lequel se trouve notre pays…
Monsieur Cazeneuve n’est d’ailleurs même plus un ministre français : la photographie officielle de son compte Twitter montre en arrière-plan le drapeau européen.
Comme la plupart de ses collègues, il ne conçoit plus de poser à côté du drapeau national si ce dernier n’est pas associé aux symboles de la soumission française à la technocratie bruxelloise : toujours la honte d’être ce que l’on est…
C’est en Algérie, en voyage officiel, que monsieur Cazeneuve s’est livré à cet exercice désormais habituel d’autoflagellation.
En Algérie, pays dirigé depuis plus de 50 ans par un groupuscule terroriste auquel la France a depuis longtemps reconnu le monopole de la représentativité ; en Algérie, pays dirigé par un ancien chef de guerre au palmarès duquel se trouvent des milliers de Français – civils et militaires – et de harkis égorgés, sans compter les malheureuses populations locales coupables de ne pas avoir fait allégeance au FLN ; en Algérie, dont le chef de l’État est venu insulter la France à la tribune de l’Assemblée nationale il y a quelques années sans qu’aucun député n’ait le courage de se lever et de sortir avec fracas face à cette atteinte à l’honneur de notre pays.
À l’occasion d’un voyage officiel au cours duquel il a annoncé une nouvelle loi qui facilitera le transfert de populations algériennes sur notre territoire, Bernard Cazeneuve, revenant sur les récentes polémiques qui agitent de leurs soubresauts le microcosme politique ou médiatique français, a déclaré : « Toute manifestation d’islamophobie doit être poursuivie et condamnée car on ne négocie pas avec les valeurs de la République. »
Selon le Huff Post Maghreb, il aurait ajouté en citant explicitement les propos d’Éric Zemmour : « Certaines paroles peuvent blesser et diviser et la France, ce n’est pas cela. Nous ne laisserons rien passer. »
Mais qui donc Éric Zemmour a-t-il égorgé ?
Qui a-t-il torturé, écorché vif et roulé dans du sel, condamné à mort à cause d’une conversion à une autre religion que celle du prophète ?
À quelles familles a-t-il enjoint de choisir entre la valise et le cercueil, et sans délai ?
Monsieur Cazeneuve est-il à ce point ignorant, pour oublier que tout cela s’est passé ou se passe encore en Algérie, dans ce pays que la France a construit, sur cette terre où tant des siens ont versé leur sueur et leur sang ; dans ce pays envers lequel elle a fait le pire choix qui soit, en l’abandonnant du jour au lendemain, après avoir mené une guerre longue et victorieuse qui n’a débouché que sur le massacre des vainqueurs, les cris et la peur ?
Est-ce en France que l’on égorge des otages ?
Que l’on assassine de paisibles moines ?
Quelle est cette maladie qui pousse nos dirigeants politiques à fouler aux pieds la mémoire collective de notre patrie ?
Qui leur interdit de voir les choses en face, et les mène à présenter leurs excuses à un pays qui n’a aucune leçon à nous donner ?
Nous sommes nombreux à l’avoir écrit depuis quelques jours : le crime d’Éric Zemmour est de décrire la réalité et de décortiquer les mécanismes qui font d’un ministre français une lavette devant des potentats de seconde zone.
Pendant ce temps, la France fait la leçon à Poutine : lui, au moins, ne risque pas – car il est le chef d’un État civilisé – de nous envoyer des égorgeurs et des terroristes.
Décidément, Cazeneuve est bien le révélateur de l’état dans lequel se trouve notre pays…
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