Plusieurs méthodes pour achever l’éradication de ce qui reste de chrétien dans ce vieux pays...
Plusieurs méthodes pour achever l’éradication de ce qui reste de chrétien dans ce vieux pays.
La première, on l’a connaît.
Elle fait grand bruit actuellement autour des crèches de Noël : c’est celle des Robespierre de sous-préfecture qui en appellent aux robins de la justice administrative.
La seconde est plus sournoise, plus intelligente (ce qui n’est pas difficile, au reste).
Plutôt que de déraciner l’arbre, étouffons-le sous le lierre et les lianes.
Cela sera plus discret, donnera un aspect « soins palliatifs » du meilleur effet dans notre société compassionnelle.
On pourra même croire que les lianes sont des guirlandes.
C’est la méthode utilisée depuis plusieurs années par le maire socialiste de Carpentras, Francis Adolphe.
Le programme des festivités de fin d’année s’appelle « Noëls insolites ».
Déjà : non pas un Noël, mais des Noëls.
On prête à François Mauriac ces propos : « J’aime tellement l’Allemagne que je préfère qu’il y en ait deux. » « J’aime tellement Noël que je préfère qu’il y en ait plusieurs », pourrait paraphraser M. Adolphe.
« Insolites » : « Qui est différent de l’usage, de l’habitude, aux règles. »
Il s’agit bien de cela : nous couper de nos repères, nos coutumes, nos traditions.
En effet, le programme propose toute une série d’animations qui, globalement, sont à la fête de Noël ce que le tue-cochon est à la fête de l’Aïd.
Je cite la description d’une de ces animations, tirée du site officiel de la mairie de Carpentras : « Entre mirages et maléfices, les ensorceleurs, marabouts et autres chimères envoûteront la rue, troubleront vos sens et illumineront vos hallucinations. Suivez leurs facétieuses divagations, goûtez aux sortilèges ! »
Une autre : « Partez sur les traces des dragons, qui, dans des temps anciens, peuplaient le Comtat Venaissin. » Une dernière pour la route : « Les Irréels forment un peuple parallèle aux humains. On ne sait s’il s’agit d’une civilisation millénaire, d’une tribu futuriste ou d’une espèce méconnue. Vivent-ils à nos côtés depuis toujours sans que nous puissions les rencontrer ? Sont-ils l’image hybride de notre mutation à venir ? »
Inutile de préciser que, dans ce bazar fantasmagorique, les tambourins et galoubets ne sont pas à la fête et que le petit Jésus n’y a pas sa place.
Au fond, heureusement.
Noël devient ainsi le contraire, pire, la négation même de la fête de l’Incarnation.
Elle se transforme en véritable entreprise de désincarnation : nous arracher à toute référence historique, patrimoniale, traditionnelle, à tout ce qui peut nous enraciner dans un minimum de culture — je n’ose employer le mot civilisation — chrétienne.
Cet exemple de Carpentras est à l’image de l’utopie mortifère de nos socialistes.
François Hollande ne voulait-il pas réenchanter le rêve français ?
Je rappelle la définition du verbe enchanter : « soumettre à un pouvoir magique, ensorceler ». Au passage, on a vu le magicien !
Est-ce ainsi que l’on fera aimer nos petite et grande patries à ceux qui viennent d’ailleurs et qui resteront chez nous ?
En leur proposant un manège enchanté en guise de projet de société ?
On peut croire au père Noël !
La première, on l’a connaît.
Elle fait grand bruit actuellement autour des crèches de Noël : c’est celle des Robespierre de sous-préfecture qui en appellent aux robins de la justice administrative.
La seconde est plus sournoise, plus intelligente (ce qui n’est pas difficile, au reste).
Plutôt que de déraciner l’arbre, étouffons-le sous le lierre et les lianes.
Cela sera plus discret, donnera un aspect « soins palliatifs » du meilleur effet dans notre société compassionnelle.
On pourra même croire que les lianes sont des guirlandes.
C’est la méthode utilisée depuis plusieurs années par le maire socialiste de Carpentras, Francis Adolphe.
Le programme des festivités de fin d’année s’appelle « Noëls insolites ».
Déjà : non pas un Noël, mais des Noëls.
On prête à François Mauriac ces propos : « J’aime tellement l’Allemagne que je préfère qu’il y en ait deux. » « J’aime tellement Noël que je préfère qu’il y en ait plusieurs », pourrait paraphraser M. Adolphe.
« Insolites » : « Qui est différent de l’usage, de l’habitude, aux règles. »
Il s’agit bien de cela : nous couper de nos repères, nos coutumes, nos traditions.
En effet, le programme propose toute une série d’animations qui, globalement, sont à la fête de Noël ce que le tue-cochon est à la fête de l’Aïd.
Je cite la description d’une de ces animations, tirée du site officiel de la mairie de Carpentras : « Entre mirages et maléfices, les ensorceleurs, marabouts et autres chimères envoûteront la rue, troubleront vos sens et illumineront vos hallucinations. Suivez leurs facétieuses divagations, goûtez aux sortilèges ! »
Une autre : « Partez sur les traces des dragons, qui, dans des temps anciens, peuplaient le Comtat Venaissin. » Une dernière pour la route : « Les Irréels forment un peuple parallèle aux humains. On ne sait s’il s’agit d’une civilisation millénaire, d’une tribu futuriste ou d’une espèce méconnue. Vivent-ils à nos côtés depuis toujours sans que nous puissions les rencontrer ? Sont-ils l’image hybride de notre mutation à venir ? »
Inutile de préciser que, dans ce bazar fantasmagorique, les tambourins et galoubets ne sont pas à la fête et que le petit Jésus n’y a pas sa place.
Au fond, heureusement.
Noël devient ainsi le contraire, pire, la négation même de la fête de l’Incarnation.
Elle se transforme en véritable entreprise de désincarnation : nous arracher à toute référence historique, patrimoniale, traditionnelle, à tout ce qui peut nous enraciner dans un minimum de culture — je n’ose employer le mot civilisation — chrétienne.
Cet exemple de Carpentras est à l’image de l’utopie mortifère de nos socialistes.
François Hollande ne voulait-il pas réenchanter le rêve français ?
Je rappelle la définition du verbe enchanter : « soumettre à un pouvoir magique, ensorceler ». Au passage, on a vu le magicien !
Est-ce ainsi que l’on fera aimer nos petite et grande patries à ceux qui viennent d’ailleurs et qui resteront chez nous ?
En leur proposant un manège enchanté en guise de projet de société ?
On peut croire au père Noël !
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