C'est la chute de Constantinople que l'on rejoue, mais en plus grand.
L’Europe vit les pires heures de son histoire mais ne le sait pas encore.
Les deux conflits mondiaux du siècle dernier semblaient la limite infranchissable du mal, voyant le Vieux Continent se déchirer et s’autodétruire à coups de millions de morts.
Mais en réalité, la substance de la civilisation n’était pas menacée.
Biologiquement, l’Europe demeurait.
Même un temps victorieux, l’empire dégénéré des nazis n’aurait pas tenu.
En 2014, beaucoup plus radicalement, deux phénomènes sont en train, sous nos yeux, de mettre à bas 3.000 ans d’épopée : l’effondrement démographique total et continu depuis 40 ans et – la nature ayant horreur du vide – l’invasion des populations africaines.
Voisinage mortel.
C’est la chute de Constantinople que l’on rejoue, mais en plus grand : une forteresse riche de culture, mais appauvrie moralement, où le sexe des anges est devenu l’alpha et l’oméga de toute discussion, forteresse entourée d’armées vigoureuses dont les ventres terriblement féconds sont des canons.
Disons-le froidement : il n’est pas question, ici, de faire des immigrés la source du mal.
Ils agissent finalement comme toute masse humaine désespérée le ferait.
C’est nous-mêmes qui nous suicidons.
Au delà du « Suicide français » de Zemmour, c’est un « Suicide européen » qu’il faudrait écrire.
Les autorités italiennes ont, ce samedi, annoncé le sauvetage de 900 migrants en mer dans le cadre de l’opération Mare Nostrum.
Chaque mois, ce sont des milliers d’Africains qui sont ainsi récupérés et ramenés à bon port par nos propres soins.
Ils feront souche dans leur pays d’accueil, deviendront des dizaines puis des centaines de milliers par le biais du regroupement familial.
Dans cette situation ubuesque, voyez-vous, tout est inversé : les envahisseurs sont appelés des « migrants » et l’envahi vient les « sauver ».
Les historiens du futur auront un mal fou à comprendre.
Dans cette chronique de l’absurde, les chapitres sont chaque jour plus délirants : c’est un évêque espagnol qui s’insurge parce que son gouvernement a réinstallé des barbelés au sommet du mur de Ceuta, c’est la police d’Oslo qui avoue « avoir perdu la ville » face à l’immigration, c’est le ministre de l’Intérieur français qui déclare que les terroristes islamiques « ont abandonné les valeurs de l’islam », c’est l’ancienne ministre UMP Valérie Pécresse qui défend le droit à porter le foulard…
Il reste peu de solutions pour éviter à l’Europe la submersion démographique : vu l’extrême misère des pays d’origine des « migrants », même la fermeture du robinet des aides sociales ne suffirait plus.
Les gouvernements du futur proche auront le choix entre organiser une certaine résistance militaire face aux « migrants » ou alors ériger des murs gigantesques et infranchissables, sortes de nouveaux limes romain.
Le reste n’est que littérature…
Les deux conflits mondiaux du siècle dernier semblaient la limite infranchissable du mal, voyant le Vieux Continent se déchirer et s’autodétruire à coups de millions de morts.
Mais en réalité, la substance de la civilisation n’était pas menacée.
Biologiquement, l’Europe demeurait.
Même un temps victorieux, l’empire dégénéré des nazis n’aurait pas tenu.
En 2014, beaucoup plus radicalement, deux phénomènes sont en train, sous nos yeux, de mettre à bas 3.000 ans d’épopée : l’effondrement démographique total et continu depuis 40 ans et – la nature ayant horreur du vide – l’invasion des populations africaines.
Voisinage mortel.
C’est la chute de Constantinople que l’on rejoue, mais en plus grand : une forteresse riche de culture, mais appauvrie moralement, où le sexe des anges est devenu l’alpha et l’oméga de toute discussion, forteresse entourée d’armées vigoureuses dont les ventres terriblement féconds sont des canons.
Disons-le froidement : il n’est pas question, ici, de faire des immigrés la source du mal.
Ils agissent finalement comme toute masse humaine désespérée le ferait.
C’est nous-mêmes qui nous suicidons.
Au delà du « Suicide français » de Zemmour, c’est un « Suicide européen » qu’il faudrait écrire.
Les autorités italiennes ont, ce samedi, annoncé le sauvetage de 900 migrants en mer dans le cadre de l’opération Mare Nostrum.
Chaque mois, ce sont des milliers d’Africains qui sont ainsi récupérés et ramenés à bon port par nos propres soins.
Ils feront souche dans leur pays d’accueil, deviendront des dizaines puis des centaines de milliers par le biais du regroupement familial.
Dans cette situation ubuesque, voyez-vous, tout est inversé : les envahisseurs sont appelés des « migrants » et l’envahi vient les « sauver ».
Les historiens du futur auront un mal fou à comprendre.
Dans cette chronique de l’absurde, les chapitres sont chaque jour plus délirants : c’est un évêque espagnol qui s’insurge parce que son gouvernement a réinstallé des barbelés au sommet du mur de Ceuta, c’est la police d’Oslo qui avoue « avoir perdu la ville » face à l’immigration, c’est le ministre de l’Intérieur français qui déclare que les terroristes islamiques « ont abandonné les valeurs de l’islam », c’est l’ancienne ministre UMP Valérie Pécresse qui défend le droit à porter le foulard…
Il reste peu de solutions pour éviter à l’Europe la submersion démographique : vu l’extrême misère des pays d’origine des « migrants », même la fermeture du robinet des aides sociales ne suffirait plus.
Les gouvernements du futur proche auront le choix entre organiser une certaine résistance militaire face aux « migrants » ou alors ériger des murs gigantesques et infranchissables, sortes de nouveaux limes romain.
Le reste n’est que littérature…
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