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samedi 1 novembre 2014

De quoi Manuel Valls est-il le nom ?


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Le 31 octobre 2014


   
Derrière le matamore, un bourgeois veule et fraudeur ! Derrière le socialiste, Augusto Pinochet !

Il revient donc à cet apparatchik pur sucre du PS, éternel planqué du monde du travail, d’achever la précarisation du monde du travail français (contrat unique après la loi dite de « sécurisation de l’emploi ») conformément aux vœux de Wall Street et de Goldman Sachs.
Mais de quoi, au juste, Manuel Valls est-il le nom ?
 Fantoche botulien de l’antiracisme, Manuel Valls, en bon Tartuffe, manifeste lors d’une visite d’Évry un racisme décomplexé (qu’on peut voir sur YouTube).
Fils de famille au parcours académique médiocre (une licence d’histoire obtenue à l’âge de 24 ans), il est toutefois expert en optimisation fiscale : l’excellent ouvrage (jamais recensé par les médias mainstream) d’Emmanuel Ratier nous révèle son ascendance bourgeoise, fils d’un artiste catalan en cour sous le franquisme et d’une banquière suisse.
Sa famille bénéficie encore aujourd’hui – à quel titre ? – d’un logement attribué par la ville de Paris depuis 1951 dans l’un des quartiers les plus huppés de la capitale sur les quais de Seine, avec vue sur l’île Saint-Louis et Notre-Dame.
Charlie Hebdo révèle, pour sa part, que le Premier ministre de la France, ne déclarant que 93.000 € d’actifs, détient, via une SCI, un appartement de 250 m2 en plein Paris.

Il est aussi et surtout, de par la politique de réformes qu’il entend mener, l’agent d’un totalitarisme new age mondialisé, privatisé et déréglementé : depuis Milton Friedman, les classes dirigeantes occidentales ont appris à utiliser les crises qu’engendre leur gouvernance désastreuse pour accélérer un agenda de réformes antisociales, cocktail d’austérité, de dérégulation des marchés, de privatisations des services publics et de mutualisation des pertes.
Ce capitalisme du désastre (décrit dans La Stratégie du choc de Naomi Klein) a été inauguré au Chili en 1973 à l’occasion d’un coup d’État mené par le général Augusto Pinochet qui n’avait – déjà – rien à refuser au Département d’État américain.
Manuel Valls, donc ?
Derrière le matamore, un bourgeois veule et fraudeur !
Derrière le socialiste, Augusto Pinochet !

Pourtant, ce menteur face caméra ne sera jamais démenti ni exposé par des médias qui se gardent bien de lui mettre ces éléments sous le nez.

C’est sans doute que, dépourvus de lecteurs, nos journaux et télés ne doivent leur survie qu’aux subventions de l’État et aux recettes publicitaires.

Manuel Premier ministre ne peut avoir d’obligés plus serviles que ces « nourris » ; il doit en outre lui être agréable de conserver l’amitié de Stéphane Fouks, présentement vice-président d’Havas.

En définitive, seul son souhait de débaptiser un Parti socialiste, qui semble précisément être né pour déshonorer le mot de socialisme, pourrait trouver grâce à nos yeux.

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