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mardi 21 octobre 2014

(Tribune) Corbeil-Essonnes, une zone de non-droit parmi tant d’autres sous l’emprise de la racaille.

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[Tribune] Corbeil-Essonnes, une zone de non-droit parmi tant d'autres sous l'emprise de la racaille


Franck Guiot est membre de l’UMP, ancien membre de l’UNI, et a été élu de 1995 à 2014 dans l’Essonne.
 Il a participé a de nombreuses manifestations contre le “mariage pour tous” en tant qu’élu et citoyen, ainsi qu’au jour de colère en tant que citoyen.
 Franck Guiot a déjà réalisé plusieurs tribunes pour Novopress.
Il nous livre ici son point de vue sur les évènements graves qui se déroulent depuis quelques semaines à Corbeil-Essonnes.


Le 20 octobre 2014, une école a été incendiée à Corbeil-Essonnes, il s’agit du deuxième acte criminel similaire depuis le début du mois dans cette ville (le 6 octobre 2014, la médiathèque et une école du quartier des Tarterêts avaient été incendiées selon le même mode opératoire).
 

 Ce 20 octobre, deux personnes ont été vues par des riverains, et le véhicule ayant servi de voiture-bélier pour incendier l’école a été déclaré volé quelques heures plus tôt dans une commune voisine selon des sources policières.
Les incendiaires de la médiathèque et de l’école du quartier des Tarterêts n’ont toujours pas été retrouvés, les deux sinistres sont-ils liés ?
La ville de Corbeil-Essonnes figure au triste palmarès de ces zones où les forces police ne peuvent plus se rendre sous peine d’être attaquées à coup de pavés.
 Un énième cas de caillassage a eu lieu le 17 octobre 2014 dans le quartier des Tarterêts où 3 policiers ont été blessés. Et ce n’est pas la première fois.
Valeurs Actuelles, dans son édition du 21 août 2014, a titré en Une : « L’enfer en France ».
 On y dénombre plus de 750 zones de non-droit, où la loi de la République ne s’applique plus.
 Des zones qui subissent une véritable « Dictature des racailles ».


Face à ces actes d’une grande violence, il devient difficile pour la police d’agir avec les moyens dont elle dispose et surtout les ordres qui lui sont délivrés par le pouvoir.
Une question se pose alors : pourquoi, alors que des agents de police se retrouvent fréquemment en état de légitime défense, ne font-ils pas usage de leurs armes ?
Un policier victime d’un caillassage n’est-il pas en état de légitime défense ?

Certains politiques, qui achètent la fameuse « paix sociale » pour masquer leur faute d’avoir favorisé ou organisé une immigration de masse devenue incontrôlable dans de nombreux quartiers, sont-ils à l’origine de ce manque de réaction des forces de police ?

Quid de l’influence du pouvoir judiciaire sur les forces de police ?
Quels sont les politiques qui oseront s’attaquer à ces phénomènes de violence dans ces cités de non-droit ?
Nicolas Sarkozy et son « karcher » ?
L’usage d’un « karcher » semble désormais bien léger pour lutter contre ces phénomènes de bandes ethniques qui veulent en découdre et n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à la police.

Comme le propose le Front National, il devient impératif de mettre en place une politique de « tolérance zéro » en matière de sécurité et de donner les moyens et surtout les ordres aux forces de police de la mettre en œuvre sur l’ensemble du territoire.

Franck Guiot
@FrkGuiot
Crédit photo : DR

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