Une indignité de plus à porter au crédit de l’équipe de la mairie de Paris. Cette dernière synthétise, à elle seule, ce que le peuple français rejette désormais en masse.
Nous vivons une époque sidérante.
Il est même difficile de trouver les adjectifs adéquats pour qualifier le temps présent, tant chaque jour apporte sa nouvelle marque, que l’on pourrait croire, à tort, indépassable.
Au programme du jour, l’installation place Vendôme à Paris, d’un « plug anal géant » (sex toy spécialement dédié aux plaisirs inversés).
L’œuvre est signée de l’artiste américain Paul McCarthy.
L’équipe de l’émission « Tracks », sur la chaîne franco-allemande Arte, présente l’exposition de Paul Mac Carthy, place Vendôme, en ces termes : « Habitué des performances gargantuesques tendance scato, l’artiste américain Paul McCarthy s’apprête à couler un bronze géant place Vendôme à Paris, face au ministère de la Justice. »
L’artiste est célèbre, notamment pour l’obsession qu’il porte au concept freudien de « stade anal » ; parmi ses créations les plus fameuses figurent des étrons géants, des sculptures zoo-pédophiles ou bien encore un père Noël brandissant des godemichés.
Paul McCarthy est bien coté et ses « œuvres » fortement pornographiques ne pouvaient être inconnues de la mairie de Paris, et de l’adjoint à la culture, monsieur Bruno Julliard (ancien du MJS, celui-ci s’est fait remarquer pour avoir publié un tweet dans lequel il souhaitait que les participants à la Manif pour tous soient victimes d’un attentat).
Pourtant, les dénégations de la gauche sociétaliste se sont multipliées hier.
Nul ne semblait souhaiter assumer cette blague proctologique.
À commencer par l’un des derniers soutiens du gouvernement, le journal Libération.
Par la plume d’un certain Quentin Girard, le journal a déclaré (dans un français très incorrect) : « La sculpture qui est un plug anal, mais un arbre en fait. »
En fait de rire, peut-être devrions-nous pleurer en lisant un tel mensonge.
Le journaliste est-il inculte, mal renseigné ou de mauvaise foi ?
Il feint, bien sûr, et se moque.
En effet, Quentin Girard se gausse ouvertement des « réacs » choqués par cette provocation, laquelle n’a rien de transgressif mais tout de nihiliste.
Pour cet homme, Paris défiguré par un sex toy géant, c’est drôle ; comme il le dit lui-même dans l’article, nous devrions « péter un coup ».
Plutôt que drôle, la provocation de Paul McCarthy est représentative du marché de l’art post-moderne, tant par sa morbidité formelle que par son vide esthétique.
Cette installation est laide, scatologique, grotesque.
Bref, c’est un néant qui n’a sa place que dans la collection d’un milliardaire sans affect spirituel, tels ceux que décrivait Michel Houellebecq dans son dernier ouvrage, La Carte et le Territoire.
Une indignité de plus à porter au crédit de l’équipe de la mairie de Paris.
Cette dernière synthétise, à elle seule, ce que le peuple français rejette désormais en masse.
Ne parlons pas d’une élite déconnectée du réel et au goût douteux, car « élite » est un mot qui ne sied guère à ces nains.
Il est même difficile de trouver les adjectifs adéquats pour qualifier le temps présent, tant chaque jour apporte sa nouvelle marque, que l’on pourrait croire, à tort, indépassable.
Au programme du jour, l’installation place Vendôme à Paris, d’un « plug anal géant » (sex toy spécialement dédié aux plaisirs inversés).
L’œuvre est signée de l’artiste américain Paul McCarthy.
L’équipe de l’émission « Tracks », sur la chaîne franco-allemande Arte, présente l’exposition de Paul Mac Carthy, place Vendôme, en ces termes : « Habitué des performances gargantuesques tendance scato, l’artiste américain Paul McCarthy s’apprête à couler un bronze géant place Vendôme à Paris, face au ministère de la Justice. »
L’artiste est célèbre, notamment pour l’obsession qu’il porte au concept freudien de « stade anal » ; parmi ses créations les plus fameuses figurent des étrons géants, des sculptures zoo-pédophiles ou bien encore un père Noël brandissant des godemichés.
Paul McCarthy est bien coté et ses « œuvres » fortement pornographiques ne pouvaient être inconnues de la mairie de Paris, et de l’adjoint à la culture, monsieur Bruno Julliard (ancien du MJS, celui-ci s’est fait remarquer pour avoir publié un tweet dans lequel il souhaitait que les participants à la Manif pour tous soient victimes d’un attentat).
Pourtant, les dénégations de la gauche sociétaliste se sont multipliées hier.
Nul ne semblait souhaiter assumer cette blague proctologique.
À commencer par l’un des derniers soutiens du gouvernement, le journal Libération.
Par la plume d’un certain Quentin Girard, le journal a déclaré (dans un français très incorrect) : « La sculpture qui est un plug anal, mais un arbre en fait. »
En fait de rire, peut-être devrions-nous pleurer en lisant un tel mensonge.
Le journaliste est-il inculte, mal renseigné ou de mauvaise foi ?
Il feint, bien sûr, et se moque.
En effet, Quentin Girard se gausse ouvertement des « réacs » choqués par cette provocation, laquelle n’a rien de transgressif mais tout de nihiliste.
Pour cet homme, Paris défiguré par un sex toy géant, c’est drôle ; comme il le dit lui-même dans l’article, nous devrions « péter un coup ».
Plutôt que drôle, la provocation de Paul McCarthy est représentative du marché de l’art post-moderne, tant par sa morbidité formelle que par son vide esthétique.
Cette installation est laide, scatologique, grotesque.
Bref, c’est un néant qui n’a sa place que dans la collection d’un milliardaire sans affect spirituel, tels ceux que décrivait Michel Houellebecq dans son dernier ouvrage, La Carte et le Territoire.
Une indignité de plus à porter au crédit de l’équipe de la mairie de Paris.
Cette dernière synthétise, à elle seule, ce que le peuple français rejette désormais en masse.
Ne parlons pas d’une élite déconnectée du réel et au goût douteux, car « élite » est un mot qui ne sied guère à ces nains.
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