Crédit : BORIS HORVAT / AFP Une voiture de police (illustration)
INFO RTL - Un magistrat ivre s'est fait remarquer par des policiers, à Montpellier. Après les avoir insultés et frappés, il a été transféré en cellule de dégrisement.
Un magistrat de 48 ans a été interpellé début août, à Montpellier, où il était en vacances après avoir copieusement insulté et menacé des policiers.
Accompagné de ses deux enfants en bas âge et ivre, il a exigé qu'une voiture de police, croisée vers 23 heures dans une rue, le ramène chez lui.
Insultes envers les policiers
Ce magistrat a commis une première erreur.
Il a confondu une voiture de police avec un taxi.
Alertés par ces grands gestes, les fonctionnaires s'arrêtent et comprennent vite que l'homme est ivre, bien qu'il soit accompagné de deux enfants en bas âge.
Il veut que les policiers le ramènent chez lui.
Ces derniers refusent.
Le vice-président en poste dans un tribunal du nord de la France revisite alors tout le dictionnaire des insultes.
Ses enfants pleurent et tentent de le raisonner mais rien n'y fait.
Il est interpellé et installé dans la voiture qu'il convoitait tant quelques instants plus tôt.
Le juge continue à insulter les policiers.
Il poursuit sa nuit d'ivresse au commissariat où il frappe deux policiers.
La soirée s'est achevée pour lui en cellule de dégrisement, puis en garde à vue.
La prochaine étape pour lui est sans doute un procès où il découvrira l'autre côté de la barre.
Il a confondu une voiture de police avec un taxi.
Alertés par ces grands gestes, les fonctionnaires s'arrêtent et comprennent vite que l'homme est ivre, bien qu'il soit accompagné de deux enfants en bas âge.
Il veut que les policiers le ramènent chez lui.
Ces derniers refusent.
Le vice-président en poste dans un tribunal du nord de la France revisite alors tout le dictionnaire des insultes.
Ses enfants pleurent et tentent de le raisonner mais rien n'y fait.
Il est interpellé et installé dans la voiture qu'il convoitait tant quelques instants plus tôt.
Le juge continue à insulter les policiers.
Il poursuit sa nuit d'ivresse au commissariat où il frappe deux policiers.
La soirée s'est achevée pour lui en cellule de dégrisement, puis en garde à vue.
La prochaine étape pour lui est sans doute un procès où il découvrira l'autre côté de la barre.
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