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vendredi 22 août 2014

James Foley décapité par un Britannique : nos élites frémissent


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Le 21 août 2014

   
Non seulement l'innommable est commis au nom de l'islam au Moyen-Orient, mais des milliers de "jeunes" Européens y participent.

En apprenant la nouvelle, David Cameron est, paraît-il, rentré dare-dare à Londres.
 L’excellent Pat Condell y aurait sans doute vu l’un de ces grands succès multiculturalistes que la couardise des élites anglaises (pardon d’insulter le mot) imposent à son pays, et plus généralement la couardise des élites européennes à l’ensemble de l’Europe : le meurtrier qui a décapité le journaliste américain James Foley serait britannique !
De partout dans le monde nous vient la bonne nouvelle : l’intégration en marche d’un certain nombre de « citoyens occidentaux » dans le djihad.
Récemment, un Australien parti en Syrie combattre aux côtés de l’État islamique en Irak et au Levant (EILL) posta une photo de son petit gars de 7 ans portant fièrement la tête d’un soldat syrien décapité. « C’est mon garçon », rajoute l’homme, à l’esprit manifestement perturbé.
Bien longtemps après un certain nombre de leurs concitoyens dont elles ont pourtant en charge la sécurité et l’avenir, l’on sent cependant des prémices de réactions chez ces fameuses élites qui jamais, jamais au cours de l’histoire, n’ont semblé si dangereusement ramollies du bulbe.
 À La Haye en juillet – la Hollande étant toujours en avance d’une guerre –, l’on put assister à une manifestation ouvertement pro-EIIL (pas pro-Gaza !) et, sur un cliché, on distingue les fameux drapeaux noirs, un petit ado avec le maillot orange de Robben et certains adultes qui m’ont l’air de parfaits petits Hollandais nés en Hollande (je veux dire « de souche »)…

 Un représentant du parti de centre droit CDA considère notamment qu’il ne faut plus tolérer ces soutiens sur la voie publique.
Ainsi, non seulement l’innommable est commis au nom de l’islam au Moyen-Orient, mais des milliers de « jeunes » Européens y participent.
 L’affaire se trouve grandement facilitée par la suppression des frontières internes de l’Europe, et la grande porosité de ses frontières extérieures, ainsi que la substitution de l’intégration et/ou de l’assimilation par un communautarisme imposé.
Toutes choses que la dictature antiraciste de mise en Europe interdit d’aborder explicitement.
Il y a des signes, pourtant, qui ne devraient pas tromper des élites dignes de ce nom.

 Il y a à peine un an, il y eut ce précédent, sur le sol anglais, lorsque le soldat Lee Rigby, 25 ans, se fit découper à la machette au titre « d’infidèle », le 22 mai 2013 en pleine rue devant des témoins médusés, du côté de Londres, par un musulman dénommé Michael Adebolajo.

 Devant l’urgence posée par ces problèmes politiques, idéologiques, religieux, culturels, n’a-t-on pas l’impression que l’intégralité de la caserne de pompiers pose pour la photo de famille, cependant qu’à l’arrière-plan, la maison Europe flambe ?

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