Les citoyens sont délibérément mis en danger et nos enfants endoctrinés. Pour une présidence qui se voulait normale, il reste beaucoup de progrès à faire.
Ils ont osé, ils l’ont fait.
François Hollande et Manuel Valls ont maintenu Christiane Taubira au ministère de la Justice et ont confié à Najat Belkacem celui de l’Éducation nationale.
L’une au service du laxisme et de l’insécurité généralisés, l’autre au service des minorités et de la destruction définitive de l’instruction.
Des trahisons politiques.
Najat Belkacem s’était déjà distinguée, en tant que porte-parole du gouvernement, par sa promotion du mariage homosexuel dans les collèges.
Ou encore par son expérimentation de la théorie du genre dans les crèches.
D’ailleurs, Najat doit être ravie : après SOS Racisme et Contact, l’association Le Refuge – qui sévit depuis 2010 dans les établissements scolaires du Languedoc-Roussillon – vient d’obtenir son agrément au niveau national.
« Nos séances sont indispensables », témoigne son président Nicolas Noguier, « car les préjugés et les stéréotypes sur l’homosexualité et la transsexualité sont très ancrés chez une majorité de lycéens. »
Avec Najat, c’est la sexualité au cœur de la rééducation nationale.
Même Julien Dray s’émeut de sa ligne ultra-féministe qui est « en train d’émasculer les sexes ». C’est dire…
Elle s’était distinguée aussi par ses prises de position sur les mariages forcés… catholiques, et en répondant « Inch’Allah » au journaliste qui lui suggérait la présence de Berbères à l’Élysée.
Au passage, accepter dans un gouvernement français des Franco-Marocaines – Najat Belkacem et Myriam El Khomri, la nouvelle secrétaire d’État à la Ville –, c’est renier l’interdiction par notre Constitution de la double nationalité quand il n’y a pas réciprocité.
Concernant Christiane Taubira, il n’y a pas davantage de raisons de se réjouir.
Malgré son soutien à Arnaud Montebourg dans ses critiques du gouvernement, Président et Premier ministre ne voient aucun inconvénient à garder à son poste celle qui les désavoue publiquement. Celle-là même qui fut rappelée à l’ordre par François Hollande quand elle faisait voter en commission des lois des amendements auquel lui-même s’opposait, notamment l’extension de la contrainte pénale à tous les délits.
Un garde des Sceaux dont la popularité ne concerne que les partisans du mariage homosexuel et qui préfère vider les prisons plutôt que les transformer en véritables centres d’insertion.
Un garde des Sceaux, selon Frédéric Mitterrand, qui aurait apporté à la politique française « son génie d’outre-mer » !
Une chose est certaine : le point commun entre Christiane Taubira et Najat Belkacem, c’est l’art du mensonge et de l’esquive.
La première lorsqu’elle brandit des papiers contredisant ses affirmations de ne pas avoir été au courant de la mise sur écoute de Nicolas Sarkozy, la seconde quand à la question d’un intervenant sur la théorie du genre, elle a le culot d’affirmer que celle-ci n’existe pas.
Ou quand à propos de ses introuvables doctorats en économie et en ethnologie, elle dira qu’on ne les lui a jamais demandés.
« Je veux une République exemplaire », qu’il disait, le président de la République, tandis que quelques mois plus tard son ministre du Budget se faisait prendre la main dans le sac.
Un « gouvernement de clarté », souhaitait-il, cependant traité de menteur invétéré par Arnaud Montebourg, tout juste démissionné.
Faire la clarté, c’est dire qu’il existe au moins trois menteurs dans ce gouvernement.
Les citoyens sont délibérément mis en danger et nos enfants endoctrinés.
Pour une présidence qui se voulait normale, il reste beaucoup de progrès à faire.
François Hollande et Manuel Valls ont maintenu Christiane Taubira au ministère de la Justice et ont confié à Najat Belkacem celui de l’Éducation nationale.
L’une au service du laxisme et de l’insécurité généralisés, l’autre au service des minorités et de la destruction définitive de l’instruction.
Des trahisons politiques.
Najat Belkacem s’était déjà distinguée, en tant que porte-parole du gouvernement, par sa promotion du mariage homosexuel dans les collèges.
Ou encore par son expérimentation de la théorie du genre dans les crèches.
D’ailleurs, Najat doit être ravie : après SOS Racisme et Contact, l’association Le Refuge – qui sévit depuis 2010 dans les établissements scolaires du Languedoc-Roussillon – vient d’obtenir son agrément au niveau national.
« Nos séances sont indispensables », témoigne son président Nicolas Noguier, « car les préjugés et les stéréotypes sur l’homosexualité et la transsexualité sont très ancrés chez une majorité de lycéens. »
Avec Najat, c’est la sexualité au cœur de la rééducation nationale.
Même Julien Dray s’émeut de sa ligne ultra-féministe qui est « en train d’émasculer les sexes ». C’est dire…
Elle s’était distinguée aussi par ses prises de position sur les mariages forcés… catholiques, et en répondant « Inch’Allah » au journaliste qui lui suggérait la présence de Berbères à l’Élysée.
Au passage, accepter dans un gouvernement français des Franco-Marocaines – Najat Belkacem et Myriam El Khomri, la nouvelle secrétaire d’État à la Ville –, c’est renier l’interdiction par notre Constitution de la double nationalité quand il n’y a pas réciprocité.
Concernant Christiane Taubira, il n’y a pas davantage de raisons de se réjouir.
Malgré son soutien à Arnaud Montebourg dans ses critiques du gouvernement, Président et Premier ministre ne voient aucun inconvénient à garder à son poste celle qui les désavoue publiquement. Celle-là même qui fut rappelée à l’ordre par François Hollande quand elle faisait voter en commission des lois des amendements auquel lui-même s’opposait, notamment l’extension de la contrainte pénale à tous les délits.
Un garde des Sceaux dont la popularité ne concerne que les partisans du mariage homosexuel et qui préfère vider les prisons plutôt que les transformer en véritables centres d’insertion.
Un garde des Sceaux, selon Frédéric Mitterrand, qui aurait apporté à la politique française « son génie d’outre-mer » !
Une chose est certaine : le point commun entre Christiane Taubira et Najat Belkacem, c’est l’art du mensonge et de l’esquive.
La première lorsqu’elle brandit des papiers contredisant ses affirmations de ne pas avoir été au courant de la mise sur écoute de Nicolas Sarkozy, la seconde quand à la question d’un intervenant sur la théorie du genre, elle a le culot d’affirmer que celle-ci n’existe pas.
Ou quand à propos de ses introuvables doctorats en économie et en ethnologie, elle dira qu’on ne les lui a jamais demandés.
« Je veux une République exemplaire », qu’il disait, le président de la République, tandis que quelques mois plus tard son ministre du Budget se faisait prendre la main dans le sac.
Un « gouvernement de clarté », souhaitait-il, cependant traité de menteur invétéré par Arnaud Montebourg, tout juste démissionné.
Faire la clarté, c’est dire qu’il existe au moins trois menteurs dans ce gouvernement.
Les citoyens sont délibérément mis en danger et nos enfants endoctrinés.
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