La faute à qui ? Aux Parisiens d’abord, en majorité gens non éduqués, goujats, impolis, champions d’incivilité qui ne font pas trois mètres pour déposer leurs saletés dans les poubelles publiques.
Voilà des décennies que Paris, capitale du tourisme à ce qu’il paraît, a la réputation – ô combien justifiée ! – d’être une ville sale.
Très sale même, surtout dans les arrondissements réputés populaires du nord et de l’est où l’on croirait qu’une armée de chiens est passée pour éventrer les poubelles.
La faute à qui ?
Aux Parisiens d’abord, en majorité gens non éduqués, goujats, impolis, champions d’incivilité qui ne font pas trois mètres pour déposer leurs saletés dans les poubelles publiques.
De magnifiques « corbeilles de rue », apparues trois mois avant les municipales.
Coût : 1 million d’euros.
Car on en a fait, des efforts, pour les municipales.
Paroles verbales, comme dit l’autre, et sitôt la pouliche de Delanoé revenue au paddock, la vie a repris son train-train.
Pas comme avant : pire qu’avant !
Ce n’est sûrement pas faute de personnel, car on voit, des petits hommes verts, balai de chiendent en plastique à la main.
Toujours ou presque occupés à pérorer, fumer leur clope, sans doute pour protester contre les cadences infernales.
Et on en voit, des vannes ouvertes sur l’eau qui coule à flots des journées entières, attendant que, par l’opération du saint Esprit sans doute, tout s’en aille gentiment à l’égout.
Egouts dont on nous dit qu’ils sont maintenant bouchés par les rouleaux de PQ “biodégradables” de M. Lotus…
Et puis il y a les fameux “potelets” chers à Delanoé (et à nos impôts !) qui empêchent les voitures se stationner – c’est leur rôle – mais surtout les piétons de se croiser, notamment quand il leur faut slalomer entre les ordures.
Au nombre de 354 649 dans les rues de la capitale, nous dit-on, les pylônes marrons coûtent de 30 à 40 euros pièce (selon les modèles) et autant pour la pose.
Effet pervers, majoritairement posés dans des rues étroites, ils dégagent la voie pour les automobilistes qui foncent comme des malades.
Touristes, je vous préviens : Paris est une ville dangereuse, et pas seulement parce qu’on vous y fait les poches.
Elle est dangereuse parce que personne ne s’arrête devant un passage piétons, parce qu’on y brûle allègrement les feux, parce que les motos roulent à bonne vitesse sur les trottoirs, parce que les vélos ne respectent aucune signalisation, parce que les bouts de trottoir où l’on pouvait encore passer sont maintenant mangés par des terrasses sauvages et des fumeurs exilés qui vous obligent à descendre sur la chaussée au péril de votre vie.
Enfin, last but nos least, on suppose que la mairie de Paris a licencié ses jardiniers car on a désormais des herbes hautes de 80 cm au pied des arbres !
Joli fourrage au milieu duquel s’incrustent papiers gras, merdes de chien et cannettes en tout genre.
Si Madame Hidalgo veut bien sortir de son palais pour savoir à quoi ressemble le Paris des vrais Parisiens et pas seulement celui des quais et de Paris Plage, on lui suggère une petite promenade : la rue du Fg Saint-Denis par exemple, entre la Porte du même nom et la gare de l’Est restaurée à grands frais.
On y trouve, en plus de tout ce qui vient d’être énoncé, un campement de clochards installé depuis plus d’un an à l’entrée d’un supermarché, avec son lot de déjections, nourriture pourrie, tessons de bouteilles.
Et l’on s’étonne, après cela, que Paris compte deux rats par habitant ?
Très sale même, surtout dans les arrondissements réputés populaires du nord et de l’est où l’on croirait qu’une armée de chiens est passée pour éventrer les poubelles.
La faute à qui ?
Aux Parisiens d’abord, en majorité gens non éduqués, goujats, impolis, champions d’incivilité qui ne font pas trois mètres pour déposer leurs saletés dans les poubelles publiques.
De magnifiques « corbeilles de rue », apparues trois mois avant les municipales.
Coût : 1 million d’euros.
Car on en a fait, des efforts, pour les municipales.
Paroles verbales, comme dit l’autre, et sitôt la pouliche de Delanoé revenue au paddock, la vie a repris son train-train.
Pas comme avant : pire qu’avant !
Ce n’est sûrement pas faute de personnel, car on voit, des petits hommes verts, balai de chiendent en plastique à la main.
Toujours ou presque occupés à pérorer, fumer leur clope, sans doute pour protester contre les cadences infernales.
Et on en voit, des vannes ouvertes sur l’eau qui coule à flots des journées entières, attendant que, par l’opération du saint Esprit sans doute, tout s’en aille gentiment à l’égout.
Egouts dont on nous dit qu’ils sont maintenant bouchés par les rouleaux de PQ “biodégradables” de M. Lotus…
Et puis il y a les fameux “potelets” chers à Delanoé (et à nos impôts !) qui empêchent les voitures se stationner – c’est leur rôle – mais surtout les piétons de se croiser, notamment quand il leur faut slalomer entre les ordures.
Au nombre de 354 649 dans les rues de la capitale, nous dit-on, les pylônes marrons coûtent de 30 à 40 euros pièce (selon les modèles) et autant pour la pose.
Effet pervers, majoritairement posés dans des rues étroites, ils dégagent la voie pour les automobilistes qui foncent comme des malades.
Touristes, je vous préviens : Paris est une ville dangereuse, et pas seulement parce qu’on vous y fait les poches.
Elle est dangereuse parce que personne ne s’arrête devant un passage piétons, parce qu’on y brûle allègrement les feux, parce que les motos roulent à bonne vitesse sur les trottoirs, parce que les vélos ne respectent aucune signalisation, parce que les bouts de trottoir où l’on pouvait encore passer sont maintenant mangés par des terrasses sauvages et des fumeurs exilés qui vous obligent à descendre sur la chaussée au péril de votre vie.
Enfin, last but nos least, on suppose que la mairie de Paris a licencié ses jardiniers car on a désormais des herbes hautes de 80 cm au pied des arbres !
Joli fourrage au milieu duquel s’incrustent papiers gras, merdes de chien et cannettes en tout genre.
Si Madame Hidalgo veut bien sortir de son palais pour savoir à quoi ressemble le Paris des vrais Parisiens et pas seulement celui des quais et de Paris Plage, on lui suggère une petite promenade : la rue du Fg Saint-Denis par exemple, entre la Porte du même nom et la gare de l’Est restaurée à grands frais.
On y trouve, en plus de tout ce qui vient d’être énoncé, un campement de clochards installé depuis plus d’un an à l’entrée d’un supermarché, avec son lot de déjections, nourriture pourrie, tessons de bouteilles.
Et l’on s’étonne, après cela, que Paris compte deux rats par habitant ?
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