A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas.
Les antifas et les binationaux franco-maghrébins se sont ligués…
On a pu le constater la semaine dernière à Lyon après la victoire de l’équipe d’Algérie où le « Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite » a participé activement aux émeutes provoquées dans le centre ville au côté des jeunes casseurs franco-algériens.
Il est à craindre que cette alliance de circonstance au niveau régional puisse devenir national devant son succès très partiellement réprimé et que cette collaboration de se poursuive lors de toute manifestation concernant des sujets sociétaux ou politiques et contre tout rassemblement protestataire de la droite.
A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas et l’on a assisté ainsi à une première alliance entre extrémistes de gauche et casseurs uniquement au nom de la haine contre la France.
Plusieurs milliers d’antifas composent ces groupuscules d’extrême-gauche que, bien entendu, on veut ignorer et surtout se garder de dissoudre.
Dans les années 90 l’ennemi à combattre était Jean-Marie Le Pen mais aujourd’hui ce sont aux institutions de la république française qu’ils s’en prennent.
Des bandes telles les Ducky Boys, les Ruddy Fox ou les Red Warriors n’avaient d’autre but que de combattre les skinheads et l’extrême droite islamophobe et identitaire.
Aujourd’hui ils estiment que l’Etat ne protège plus et qu’il faut donc faire justice soit même.
C’est ce dernier point qui les rapproche des binationaux franco-maghrébins.
Ils apportent leur idéologie et les autres le nombre.
Cela dans l’objectif de porter la violence dans les rues de nos villes et de nos campagnes dès que l’occasion se présente, et elles risquent de plus en plus nombreuses au cours des prochaines années.
Une évolution sociologique s’est construite au cours de la dernière décennie.
Les antifas se considèrent comme des communistes libertaires et, ce qui peut sembler contradictoire, staliniens.
Ils peuvent apporter une structure, un encadrement, et des armes, à ces regroupements de « casseurs » éparpillés autour d’un islamisme radical et de quelques sites d’influence djihadiste en y associant les leurs, tels REFLEXes, La Horde ou la récente plateforme Antifa-net.fr
Le ministre de l’Intérieur aurait grand intérêt à s’y intéresser de très près.
Les antifas et les binationaux franco-maghrébins se sont ligués…
On a pu le constater la semaine dernière à Lyon après la victoire de l’équipe d’Algérie où le « Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite » a participé activement aux émeutes provoquées dans le centre ville au côté des jeunes casseurs franco-algériens.
Il est à craindre que cette alliance de circonstance au niveau régional puisse devenir national devant son succès très partiellement réprimé et que cette collaboration de se poursuive lors de toute manifestation concernant des sujets sociétaux ou politiques et contre tout rassemblement protestataire de la droite.
A Lyon quelques 800 émeutiers d’origine maghrébine se sont vus rejoindre par une cinquantaine d’antifas et l’on a assisté ainsi à une première alliance entre extrémistes de gauche et casseurs uniquement au nom de la haine contre la France.
Plusieurs milliers d’antifas composent ces groupuscules d’extrême-gauche que, bien entendu, on veut ignorer et surtout se garder de dissoudre.
Dans les années 90 l’ennemi à combattre était Jean-Marie Le Pen mais aujourd’hui ce sont aux institutions de la république française qu’ils s’en prennent.
Des bandes telles les Ducky Boys, les Ruddy Fox ou les Red Warriors n’avaient d’autre but que de combattre les skinheads et l’extrême droite islamophobe et identitaire.
Aujourd’hui ils estiment que l’Etat ne protège plus et qu’il faut donc faire justice soit même.
C’est ce dernier point qui les rapproche des binationaux franco-maghrébins.
Ils apportent leur idéologie et les autres le nombre.
Cela dans l’objectif de porter la violence dans les rues de nos villes et de nos campagnes dès que l’occasion se présente, et elles risquent de plus en plus nombreuses au cours des prochaines années.
Une évolution sociologique s’est construite au cours de la dernière décennie.
Les antifas se considèrent comme des communistes libertaires et, ce qui peut sembler contradictoire, staliniens.
Ils peuvent apporter une structure, un encadrement, et des armes, à ces regroupements de « casseurs » éparpillés autour d’un islamisme radical et de quelques sites d’influence djihadiste en y associant les leurs, tels REFLEXes, La Horde ou la récente plateforme Antifa-net.fr
Le ministre de l’Intérieur aurait grand intérêt à s’y intéresser de très près.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.