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mercredi 14 mai 2014

Lampedusa charrie chaque jour son lot de morts : arrêtons net l’immigration !


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Le 13 mai 2014

   
Nous ne pouvons plus laisser des migrants mourir dans des conditions dramatiques alors que nous n’avons, par ailleurs, plus rien à leur offrir.

Jean Raspail publiait en 1973 son roman Le Camp des saints.
 Succès jamais démenti, cette œuvre prophétique décrit les conséquences d’une arrivée massive de cargos chargés d’immigrants extra-européens, qui échouent sur la Côte d’Azur.
La première édition comportait une citation datée de Jean Raspail, plutôt interrogative quant au futur des flux migratoires.
Chaque réimpression de l’ouvrage fut l’occasion, pour lui, de changer cette citation.
À mesure que cette arrivée massive de migrants s’intensifiait dans le temps, son état d’esprit évolua.
 D’abord révolté, il semble aujourd’hui presque résigné.
Jean Raspail avoua lui-même s’être trompé sur les modalités de l’« invasion » mais pas sur le fond.
Il n’y a jamais eu l’arrivée d’un million de migrants en même temps, mais plutôt une infiltration constante dans le temps.
Lundi 12 mai 2014, 41 ans après la publication de l’ouvrage, une embarcation chargée d’immigrants clandestins s’est échouée au large de l’île de Lampedusa en Italie.
 La marine italienne a pu sauver près de 200 personnes de ce naufrage, mais certains n’ont pu en réchapper.

 Des morts qui s’ajoutent à une triste liste de kamikazes sacrifiés au nom d’un rêve biaisé et destructeur.
 Déjà, le 3 octobre dernier, 350 migrants avaient péri près de Lampedusa.
Nos bonnes âmes s’en émeuvent à chaudes larmes dès qu’on leur tend un micro ; ils sont pourtant les premiers responsables de ces malheurs.
Il serait difficile de blâmer ces migrants qui prennent tous les risques pour essayer d’atteindre un monde qu’ils supposent, probablement à tort, comme meilleur pour eux.
 Non, il faut blâmer les gouvernements européens qui encouragent à ces quasi-invasions tant destructrices pour les pays d’Afrique que déstabilisatrices pour le continent européen, qui ne peut plus se le permettre.
Nous sommes confrontés à une contre-colonisation démographique qui est l’enjeu majeur du siècle, et déterminera la survie de la France et du continent européen dans ce qu’ils incarnent historiquement.
Les pompes aspirantes françaises sont bien connues : Aide médicale d’État, scolarité gratuite, droit du sol…

 Ces luxes de générosité ne sont plus dans nos moyens, il faut d’abord et en priorité s’occuper des nationaux.
Il faut le marteler constamment, ça n’est plus possible.
Au-delà du coût, c’est la perturbation humaine et culturelle qui est problématique.
La France est déjà profondément divisée, est-il bien raisonnable de ne pas tout mettre en œuvre à l’échelle continentale pour arrêter le massacre ?

Ces élections européennes devraient être l’occasion de rappeler ce qu’est l’Europe, et ce à quoi elle peut servir.
 L’Europe est un ensemble civilisationnel divers mais cohérent qui doit se doter d’une frontière extérieure de toute urgence.

Si cela n’est pas possible en l’état, la France devra dire non à l’Union européenne.

 Nous ne pouvons plus laisser des migrants mourir dans des conditions dramatiques alors que nous n’avons, par ailleurs, plus rien à leur offrir.

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