Action des Femen à Notre-Dame de Paris, en février 2013. (Michel Euler/AP/SIPA)
Les militantes féministes avaient salué à leur manière la démission du pape Benoît XVI en février 2013 en faisant irruption dans la cathédrale.
Le procès de 9 militantes Femen, poursuivies pour dégradations lors d'une action à Notre-Dame de Paris, a été renvoyé ce mercredi au 9 juillet prochain.
Trois vigiles de la cathédrale étaient également poursuivis pour violences.
Le tribunal correctionnel de Paris a décidé de reporter l'examen du dossier notamment car l'un des vigiles, actuellement à l'étranger, n'a pu être convoqué.
Par ailleurs, l'avocat de Femen avait demandé le renvoi du procès.
Le 12 février 2013, les militantes avaient fait irruption dans la cathédrale.
Seins nus, elles avaient fait tinter les cloches, alors disposées provisoirement dans la nef, avec des morceaux de bois.
Elles avaient aussi scandé des slogans pour saluer à leur manière la démission du pape Benoît XVI et dénoncer l'homophobie.
Accusées de dégradations sur l'une des cloches, les jeunes femmes devaient être jugées le 13 septembre 2013 devant le tribunal correctionnel de Paris, mais le procès avait déjà été renvoyé en attendant l'issue de l'enquête portant sur les conditions de leur expulsion houleuse de l'édifice.
L'une des jeunes femmes avait été tirée par les cheveux et avait eu une dent cassée.
Les Femen traversent une nouvelle période de turbulences.
L'une de ses membres a décidé de quitter l'organisation féministe pour dénoncer son "organisation dictatoriale" et doit sortir prochainement un livre.
Par ailleurs, le député UMP Georges Fenech a estimé récemment que la Mission interministérielle de lutte contre les sectes (Milivudes) devait demander la dissolution du mouvement dont les actions, selon lui, "s'apparentent à des pratiques à caractère sectaire".
(Avec AFP)
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Les Femen, une secte comme une autre ?
Une ex-Femen dénonce une "organisation dictatoriale"
Un député UMP demande la dissolution du mouvement des Femen
Trois vigiles de la cathédrale étaient également poursuivis pour violences.
Le tribunal correctionnel de Paris a décidé de reporter l'examen du dossier notamment car l'un des vigiles, actuellement à l'étranger, n'a pu être convoqué.
Par ailleurs, l'avocat de Femen avait demandé le renvoi du procès.
Le 12 février 2013, les militantes avaient fait irruption dans la cathédrale.
Seins nus, elles avaient fait tinter les cloches, alors disposées provisoirement dans la nef, avec des morceaux de bois.
Elles avaient aussi scandé des slogans pour saluer à leur manière la démission du pape Benoît XVI et dénoncer l'homophobie.
Accusées de dégradations sur l'une des cloches, les jeunes femmes devaient être jugées le 13 septembre 2013 devant le tribunal correctionnel de Paris, mais le procès avait déjà été renvoyé en attendant l'issue de l'enquête portant sur les conditions de leur expulsion houleuse de l'édifice.
Les Femen fragilisées
Au terme de ces investigations, le parquet a décidé de faire citer devant le tribunal trois vigiles, poursuivis pour des violences passibles d'une contravention de 750 euros pour l'un, 1.500 euros pour les deux autres.L'une des jeunes femmes avait été tirée par les cheveux et avait eu une dent cassée.
Les Femen traversent une nouvelle période de turbulences.
L'une de ses membres a décidé de quitter l'organisation féministe pour dénoncer son "organisation dictatoriale" et doit sortir prochainement un livre.
Par ailleurs, le député UMP Georges Fenech a estimé récemment que la Mission interministérielle de lutte contre les sectes (Milivudes) devait demander la dissolution du mouvement dont les actions, selon lui, "s'apparentent à des pratiques à caractère sectaire".
(Avec AFP)
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