Crédit photo : Jreberlein, via Wikipédia, (cc). |
31/01/2014 – 12h00
PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
– Depuis vendredi, des centaines d’élèves ont été retirés de l’école pour une journée par leurs parents.
Motif : demander la suppression de l’enseignement de la théorie du genre à l’école (photo, Judith Butler, philosophe féministe “papesse” de la théorie du genre).
Que se passe-t-il réellement à l’Education nationale ?
Cette année, l’Education nationale teste dans dix académies le programme : ABCD de l’égalité.
Ce programme est destiné aux élèves de maternelle et de primaire.
Il s’agit d’un enseignement flou se basant sur les études du genre.
Un des manuels conseillés aux enseignants, « 50 activités fille-garçon à l’école » se veut un manuel d’éducation sexuelle des petits enfants.
La résistance à ce viol des consciences prend la forme de la déscolarisation…
Farida Belghoul, une enseignante musulmane de cinquante ans, a lancé le 24 janvier un appel à une « journée de retrait de l’école ».
Les parents sont invités à ne pas mettre leur enfant à l’école un jour par mois, et d’en indiquer la raison à l’école.
Son appel est relayé sur le site internet JRE2014.
Le gouvernement dénonce des rumeurs infondées
Vincent Peillon, ministre socialiste de l’Education nationale, et Jean‑François Copé, pour l’UMP, ont vertement critiqué cette action, qui est fondée selon Peillon, sur de simples rumeurs.
Mais selon l’Observatoire de la théorie du genre, les parents ont parfaitement raison de s’inquiéter.
Et ce mouvement connaît un succès populaire
A ce stade, l’appel de Farida Belghoul a surtout connu le succès dans la communauté immigrée, qui montre sa défiance envers le pouvoir socialiste.
La créature migratoire semble échapper à son créateur.
Mais le mouvement est plus large.
Madame Belghoul est désormais proche du mouvement Egalité et Réconciliation.
Elle s’est en outre rapprochée de Béatrice Bourges, du printemps français.
Son appel trouve ainsi de l’écho tant chez les catholiques que chez les musulmans, surtout dans les milieux populaires.
Un élément de conjonction de plus pour la France en colère.
source
PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
– Depuis vendredi, des centaines d’élèves ont été retirés de l’école pour une journée par leurs parents.
Motif : demander la suppression de l’enseignement de la théorie du genre à l’école (photo, Judith Butler, philosophe féministe “papesse” de la théorie du genre).
Que se passe-t-il réellement à l’Education nationale ?
Cette année, l’Education nationale teste dans dix académies le programme : ABCD de l’égalité.
Ce programme est destiné aux élèves de maternelle et de primaire.
Il s’agit d’un enseignement flou se basant sur les études du genre.
Un des manuels conseillés aux enseignants, « 50 activités fille-garçon à l’école » se veut un manuel d’éducation sexuelle des petits enfants.
La résistance à ce viol des consciences prend la forme de la déscolarisation…
Farida Belghoul, une enseignante musulmane de cinquante ans, a lancé le 24 janvier un appel à une « journée de retrait de l’école ».
Les parents sont invités à ne pas mettre leur enfant à l’école un jour par mois, et d’en indiquer la raison à l’école.
Son appel est relayé sur le site internet JRE2014.
Le gouvernement dénonce des rumeurs infondées
Vincent Peillon, ministre socialiste de l’Education nationale, et Jean‑François Copé, pour l’UMP, ont vertement critiqué cette action, qui est fondée selon Peillon, sur de simples rumeurs.
Mais selon l’Observatoire de la théorie du genre, les parents ont parfaitement raison de s’inquiéter.
Et ce mouvement connaît un succès populaire
A ce stade, l’appel de Farida Belghoul a surtout connu le succès dans la communauté immigrée, qui montre sa défiance envers le pouvoir socialiste.
La créature migratoire semble échapper à son créateur.
Mais le mouvement est plus large.
Madame Belghoul est désormais proche du mouvement Egalité et Réconciliation.
Elle s’est en outre rapprochée de Béatrice Bourges, du printemps français.
Son appel trouve ainsi de l’écho tant chez les catholiques que chez les musulmans, surtout dans les milieux populaires.
Un élément de conjonction de plus pour la France en colère.
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