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mardi 19 novembre 2013

Respublica – Une politique de caniveau.

par
     
 
Vraiment, j’ai l’impression d’être à la fin de quelque chose.
 
La politique, cette chose noble, la gestion de la chose publique, est devenue une sorte de cloaque puant où les hommes et les femmes en charge de responsabilités s’écharpent à coup d’insultes, de dessins, d’invectives et il n’ y en a pas un pour racheter l’autre…
 
Cela est d’autant plus grave que toutes ces allusions finissent par blesser notre mémoires collective.
 
Je ne vais pas jouer les père la pudeur, mais quand même.
Je commencerais par les allusions sur Mme Taubira, bon je n’aime pas cette femme, indépendantiste à une époque donc traître à la France et « traître un jour, traître toujours » mais il ne me semble pas utile de l’abreuver d’allusions racistes ou non, qui n’ont rien à voir avec les idées.

D’autre part, je connais bien ce genre d’allusion et je sais pertinemment ce que pensent vraiment les gens qui sont derrière.
 A qui vous voulez, mais pas à moi, c’est non pas du racisme mais de la bêtise de comptoir.
Nous avons suffisamment d’arguments politiques à faire valoir pour nous éviter ce genre d’allusion.
Qu’entre nous, on se laisse aller un peu , admettons mais je pense que nous avons une autre idée de la politique que ce genre de caricature.
Bon, mon coté c’est fait, aux autres maintenant : joignant la stupidité à la méchanceté, les socialo-trotskistes prennent tout et n’importe quoi en injure raciste.
On ne peu plus émettre la moindre critique sur une personne de couleur ou étrangère, ou sur un normand, sans se faire traiter de raciste ou que sais je encore.
 
Non mais ! Les gens au gouvernement !
 
Oui, vous qui vous drapez dans votre dignité alors que lorsque vous étiez dans l’opposition avez insulté les anciens d’Indochine et d’Algérie, outragé le drapeau Français, pactisé avec l’ennemi allemand, viet ou fellaga, vous qui voulez la destruction de l’église catholique, n’est ce pas monsieur Peillon, vous qui traitez les commerçants qui paient vos salaires avec vos impôts de poujadistes, vous qui avez été fêté par des drapeaux étrangers à la Bastille, vous qui refusez une stèle aux soldats morts pour la France en Afghanistan… oui vous tous, vous n’avez rien d’autre a faire que de rentrer dans des querelles stériles, dignes de soûlots de comptoir ?
 
Je vous rappelle que vous avec un pays à diriger.
 
Et oui, et le problème est là, diriger la France, dans l’intérêt des Français, de toutes races, toutes religions, de toute conditions, vous en êtes incapable.
Vous en êtes réduit à interdire ou essayer d’interdire un journal confidentiel, à arrêter tout porteur de bonnet rouge et d’en interdire la vente, à arrêter des gens sous prétexte qu’il est marqué sur leur véhicule « Hollande dégage ».
 
Vous en êtes arrivés à des méthodes de basse dictature pour maintenir vos misérables places en ne pensant qu’à votre intérêt et pas à celui de la France, car si un instant, un instant seulement, vous y pensiez, messieurs et mesdames les socialistes vous auriez déjà démissionné…
Comme vous le voyez, chers camarades et compagnons, nous n’avons pas besoin de caricaturer madame Taubira pour montrer son véritable visage, qui est celui d’une personne qui a lutté dans sa vie contre l ‘unité de la France, une personne qui a soutenu les émeutes dans les Tom Dom soutenues par des gens qui affirmaient leur intention de tuer leurs adversaires.
 
Contrairement à nos ennemis, nous avons des valeurs millénaires et n’avons pas besoin de caricatures de caniveau pour faire entendre notre voix et c’est donner de trop belles armes à nos adversaires.
 
Utilisons la simple intelligence et le bon sens, et ce sera suffisant.
 
D’autre part, en attaquant de cette façon, nous froissons aussi les français de couleur dont les ancêtres se sont battus à nos cotés en 14, en 40, et je n’en vois pas l’intérêt.
Cette population doit être de notre coté, justement parque leur ancêtres se sont battus pour nous. Ne les faisons pas passer du coté de nos adversaire par bêtise.
 
Mais il semble que cet enfumage antiraciste ne suffise pas.
 
Après les soupçons de corruption sur le contrat Ecomouv, la justice s’intéresse à la Cité du cinéma et devinez qui aurait donné l’accord de financement ? Nicolas Sarkozy…
 
Il faudrait peut-être leur dire que concernant le vase de Soissons, Sarkozy n’y est pour rien ! Parce que au train ou vont les choses…
 
Source photo : memoireonline.com

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