Publié le 01.10.2013, 07h29 | Mise à jour : 08h05
Le Parti socialiste, financé par une partie des cotisations de ses élus, craint de voir ses recettes chuter après les prochaines échéances électorales.
(AFP/ PATRICK KOVARIK.)
Tout faire pour ne pas vivre la récente crise financière de l'UMP et des comptes dans le rouge.
Selon RTL, le Parti socialiste cherche actuellement à réaliser des économies pour faire face à une éventuelle défaite lors des prochaines élections municipales de mars 2014.
(AFP/ PATRICK KOVARIK.)
Tout faire pour ne pas vivre la récente crise financière de l'UMP et des comptes dans le rouge.
Selon RTL, le Parti socialiste cherche actuellement à réaliser des économies pour faire face à une éventuelle défaite lors des prochaines élections municipales de mars 2014.
Le chiffre de 15 millions d'économies est avancé pour éviter des difficultés financières.
RTL rapporte que si les finances du PS sont actuellement jugées prospères avec des recettes qui atteignent 60 millions d'euros cette année, la crainte de l'avenir a été sérieusement envisagée du côté de la rue de Solférino.
Le parti dirigé par Harlem Désir, financé en grande partie par les cotisations des élus, y compris municipaux, veut faire face à toutes les situations à commencer par une cuisante défaite aux élections municipales.
Selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche, 26 % des Français envisagent de sanctionner François Hollande lors des élections municipales de mars 2014, soit 10 points de plus qu'en 2008.
Au Parti socialiste, on cherche donc à éviter un scénario catastrophe semblable à celui de l'UMP.
Le mouvement UMP, qui comptait plus de cent permanents, a dû se séparer d'une cinquantaine de salariés en CDD depuis la campagne présidentielle de 2012. Ces mesures de rigueur concernant le personnel, le premier poste de dépense, auraient permis de réaliser une économie de près de 3 millions d'euros par an.
L'UMP a également été dans l'obligation de lancer une grande souscription nationale cet été après l'annulation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
Près de 11 millions d'euros avaient été ainsi récoltés pour rembourser les banques créancières.
http://www.leparisien.fr/politique/municipales-le-ps-fait-des-economies-par-crainte-d-une-defaite-electorale-01-10-2013-3185373.php
RTL rapporte que si les finances du PS sont actuellement jugées prospères avec des recettes qui atteignent 60 millions d'euros cette année, la crainte de l'avenir a été sérieusement envisagée du côté de la rue de Solférino.
Le parti dirigé par Harlem Désir, financé en grande partie par les cotisations des élus, y compris municipaux, veut faire face à toutes les situations à commencer par une cuisante défaite aux élections municipales.
Selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche, 26 % des Français envisagent de sanctionner François Hollande lors des élections municipales de mars 2014, soit 10 points de plus qu'en 2008.
Au Parti socialiste, on cherche donc à éviter un scénario catastrophe semblable à celui de l'UMP.
Le mouvement UMP, qui comptait plus de cent permanents, a dû se séparer d'une cinquantaine de salariés en CDD depuis la campagne présidentielle de 2012. Ces mesures de rigueur concernant le personnel, le premier poste de dépense, auraient permis de réaliser une économie de près de 3 millions d'euros par an.
L'UMP a également été dans l'obligation de lancer une grande souscription nationale cet été après l'annulation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
Près de 11 millions d'euros avaient été ainsi récoltés pour rembourser les banques créancières.
http://www.leparisien.fr/politique/municipales-le-ps-fait-des-economies-par-crainte-d-une-defaite-electorale-01-10-2013-3185373.php
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