Mis à jour le 19/10/2013 à 17:50
Publié le 19/10/2013 à 17:46
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Six hommes résidant dans un camp rom à Chatenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine, ont été mis en examen vendredi et écroués, soupçonnés d'avoir volé 200 moutons, destinés à être découpés sur place dans un abattoir sauvage avant d'être revendus.
Les six hommes âgés de 26 à 53 ans ont été arrêtés mardi lors d'un coup de filet de la sûreté territoriale dans le camp de Roms de Châtenay, établi le long de la N118 depuis 2008.
Le parquet de Nanterre a ouvert une information judiciaire pour "vol et recel en bande organisée", à l'issue d'une d'une enquête de trois mois, selon Le Parisien qui a révélé l'affaire.
Les enquêteurs vont maintenant s'attacher à remonter la filière pour savoir à qui était revendue la viande.
Dans un premier temps, ce sont d'abord les vols de matériel de chantier et de cuivre
, en recrudescence dans le sud du département, qui ont porté l'attention des policiers sur ce camp regroupant environ 70 Roms venus de Roumanie.
La mise en place de surveillances et d'écoutes téléphoniques ont permis d'identifier les six suspects, qui se livraient à des activités illicites très diversifiées.
Sur place, les policiers ont découvert des bobines de cuivre ainsi que des restes de moutons entreposés dans un abattoir sauvage et très rudimentaire.
Grâce aux bagues d'identité retrouvées sur place, les enquêteurs ont pu établir que les moutons avaient été dérobés dans des cheptels de l'Est de la France, essentiellement en Lorraine.
Les animaux étaient ensuite ramenés morts ou vivants dans le campement puis découpés sans aucun respect des règles d'hygiène avant d'être revendus.
Certains des six hommes ont reconnu plusieurs vols d'ovins commis ces dernières semaines lors d'expéditions en Lorraine.
Les six hommes âgés de 26 à 53 ans ont été arrêtés mardi lors d'un coup de filet de la sûreté territoriale dans le camp de Roms de Châtenay, établi le long de la N118 depuis 2008.
Le parquet de Nanterre a ouvert une information judiciaire pour "vol et recel en bande organisée", à l'issue d'une d'une enquête de trois mois, selon Le Parisien qui a révélé l'affaire.
Les enquêteurs vont maintenant s'attacher à remonter la filière pour savoir à qui était revendue la viande.
Dans un premier temps, ce sont d'abord les vols de matériel de chantier et de cuivre
, en recrudescence dans le sud du département, qui ont porté l'attention des policiers sur ce camp regroupant environ 70 Roms venus de Roumanie.
La mise en place de surveillances et d'écoutes téléphoniques ont permis d'identifier les six suspects, qui se livraient à des activités illicites très diversifiées.
Sur place, les policiers ont découvert des bobines de cuivre ainsi que des restes de moutons entreposés dans un abattoir sauvage et très rudimentaire.
Grâce aux bagues d'identité retrouvées sur place, les enquêteurs ont pu établir que les moutons avaient été dérobés dans des cheptels de l'Est de la France, essentiellement en Lorraine.
Les animaux étaient ensuite ramenés morts ou vivants dans le campement puis découpés sans aucun respect des règles d'hygiène avant d'être revendus.
Certains des six hommes ont reconnu plusieurs vols d'ovins commis ces dernières semaines lors d'expéditions en Lorraine.
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