La ministre kényane des Affaires étrangères, Amina Mohamed, a confirmé lundi soir sur la chaîne de télévision américaine PBS la présence au sein de ce commando armé de deux ou trois Américains et d'une Britannique.
La ministre a indiqué que cette Britannique avait déjà commis des actes terroristes similaires «à de nombreuses reprises».
Lundi, la police kényane envisageait que soit «impliquée» la Britannique Samantha Lewthwaite, veuve d'un des kamikazes des attentats du 7 juillet 2005 à Londres.
http://by-jipp.blogspot.fr/2013/09/attentat-de-nairobi-les-noms-et-la.html
Des survivants du raid des shebabs disent avoir vu une femme voilée donner des ordres au commando lors de la fusillade.
Celle que les médias londoniens appellent la «Veuve Blanche» a entrainé des groupes de femmes-kamikaze en Somalie. Elle est aujourd'hui suspectée d'être le cerveau de l'opération de Nairobi.
En mars dernier, déjà, elle aurait envisagé une opération pour libérer un de ses complices britannique, Jermaine Grant, emprisonné pour avoir planifié une attaque au Kénya.
En ce qui concerne les Américains, a précisé la ministre, ce sont «de jeunes hommes, entre 18 et 19 ans (...) d'origine somalienne ou arabe, mais qui vivaient aux Etats-Unis, dans le Minnesota et dans un autre endroit».
Selon les autorités kényanes, trois assaillants sont mort lundi. Mais le sort des autres membres du groupe restait inconnu tôt mardi matin.
La ministre a indiqué que cette Britannique avait déjà commis des actes terroristes similaires «à de nombreuses reprises».
Lundi, la police kényane envisageait que soit «impliquée» la Britannique Samantha Lewthwaite, veuve d'un des kamikazes des attentats du 7 juillet 2005 à Londres.
http://by-jipp.blogspot.fr/2013/09/attentat-de-nairobi-les-noms-et-la.html
Des survivants du raid des shebabs disent avoir vu une femme voilée donner des ordres au commando lors de la fusillade.
Celle que les médias londoniens appellent la «Veuve Blanche» a entrainé des groupes de femmes-kamikaze en Somalie. Elle est aujourd'hui suspectée d'être le cerveau de l'opération de Nairobi.
En mars dernier, déjà, elle aurait envisagé une opération pour libérer un de ses complices britannique, Jermaine Grant, emprisonné pour avoir planifié une attaque au Kénya.
En ce qui concerne les Américains, a précisé la ministre, ce sont «de jeunes hommes, entre 18 et 19 ans (...) d'origine somalienne ou arabe, mais qui vivaient aux Etats-Unis, dans le Minnesota et dans un autre endroit».
Selon les autorités kényanes, trois assaillants sont mort lundi. Mais le sort des autres membres du groupe restait inconnu tôt mardi matin.
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