via le Salon Beige
La Brigade de Gendarmerie des Transports Aériens (BGTA), qui s’intéressait de près à ce pilote métapolitique, avait donné hier (14 août) l’ordre de ne pas réparer l’avion, provoquant la surprise de nombreux pilotes, avocats et syndicats contactés par le pilote et son équipe."notre courageux pilote était requis à 10h du matin aujourd’hui (15 août) par la gendarmerie et l’aviation civile, qui avait profité de son léger accident du 13 août pour le clouer au sol. En réalité, il était déjà là quand David Van Hemelryck est arrivé à 9h30.
Il est inhabituel que la gendarmerie aérienne se déplace en masse, un jour férié, pour un simple ULM, dont elle ne sait d’ailleurs pas officiellement le lieu !
Il n’est donc pas si étonnant que de nombreux gendarmes aient confirmé officieusement l’illégalité de l’ordre donné hier soir (14 août, à 19h) : celui de ne pas réparer le véhicule.
Après de longs et (apparemment) tumultueux échanges entre le capitaine - présent - et son colonel - à qui il devait rendre des comptes, la gendarmerie a conclu que rien, c’est-à-dire aucun motif légal, ne pouvait retenir cet aéronef, lequel n’est pratiquement pas endommagé.
Les réparations ont donc pu se poursuivre. Une fois terminées, le pilote a pris l’avion (sans banderole pour l’instant) pour le faire superviser à Frossay (44) par des professionnels."
Michel Janva
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