PARIS (NOVOPress via Bulletin de réinformation) - Après des mois et des mois de propagande pour le mariage des homosexuels, la PMA, GPA, et le simulacre d’un premier mariage homosexuel, de nouvelles mesures anti-famille ont été présentées par le gouvernement cette semaine.
Au vu de la répression policière et judiciaire qui s’est abattue sur les défenseurs de la famille, on pouvait deviner facilement la volonté sans faille du gouvernement de détruire la famille.
François Hollande a présenté jeudi différentes mesures pour économiser selon le gouvernement plus de deux milliards d’euros à l’horizon de 2016.
Ces mesures ont pour conséquence de décourager les couples désireux d’avoir des enfants en supprimant les compensations financières dont ils pouvaient bénéficier. La mesure‑phare présentée consiste à moduler les allocations familiales en fonction des revenus des ménages. Une autre mesure avancée consiste à revenir sur le quotient familial, utilisé lors de la déclaration fiscale et qui permet de tenir compte partiellement de la charge financière des enfants. Le plafonnement du quotient serait abaissé à 1.500 €.
D’autres pistes d’économies existent bien sûr, comme la suppression de la CMU ou l’AME au bénéfice exclusif des étrangers. Mais l’exécutif n’y touchera pas…
Tout semble être fait pour que les couples autochtones ne fassent plus d’enfant, en diminuant la participation financière pour les couples avec enfants mais aussi en empêchant ceux qui n’ont pas de revenus importants de faire des enfants. Depuis son instauration, le quotient familial est un des instruments les plus importants de la politique familiale française. Il permet aux familles de bénéficier d’allégements d’impôts pour compenser partiellement le coût d’éducation des enfants.
Selon le rapport rendu au gouvernement sur le sujet en avril par le président du Haut conseil à la famille, Bertrand Fragonard, cette piste aurait des conséquences pour plus d’un million de foyers, sans compter les conséquences dévastatrices à venir sur les politiques de natalité.
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