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Alors qu’en France, le gouvernement s’essaye à des démantèlements de campements de Roms, le scandale de la gestion de ses populations ne doit pas faire oublier que depuis plusieurs décennies, les Roms saccagent et pillent nos contrées sous le couvert d’un humanisme dégoulinant qui est en fait criminel.
A gauche, les récents démantèlements font déjà hurler aux loups les désormais déçus du gouvernement de M. Hollande, qui avait déclaré, énième fanfaronnade, qu’il n’y aurait plus de démantèlement sans relogement… La formule déjà ferait rire une poule de Bresse, et je suis connaisseur ! Lorsque l’on pense que les Roms en question sont pour la plupart des itinérants, il s’agit même là du fondement, d’un des fondements de leur culture. Je ne sais pas si vous avez déjà traversé un camp de Roms, mais ce fut mon cas, un jour de l’été 2010, dans un parc naturel dijonnais, qui se nomme « La combe à la Serpent ».
Ce jour-là, accompagné de ma sœur, nous étions partis en randonnée, heureux de partager un moment de nature ensemble, un moment privilégié. Il le fut en effet lorsque soudainement nous nous trouvâmes sur un sentier asphalté dans les hauteurs du parc, une odeur épouvantable se dégageait de l’endroit, nous étions tombés sur les « toilettes » d’un camp illégal de Roms. Je ne vous fais pas le tableau de centaines de défécations accompagnées du « papier » et autres serviettes hygièniques de toutes marques que nous avions découvert, et nous fûmes encore plus surpris de tomber sur un camp sauvage de Roms.
Nous nous trouvâmes également très mal à l’aise lorsque nous comprîmes que nous allions devoir le traverser, au milieu d’une population bigarrée qui ne nous fît pas mauvais accueil, mais qui fut d’une froideur glaciale. Aboiements des chiens, aucune réponse à nos bonjours vite éteints, énormes fourgons Mercedes flambants neufs, des caravanes toutes aussi énormes et rutilantes, une accumulation incroyable de la dernière gamme des constructeurs allemands, Mercedes, BMW… Le camp avait été installé aux abords d’un point toilette, installé sur les hauteurs de la combe pour le confort des promeneurs, le tout dans un capharnaüm indescriptible, étendages à linge pittoresques, laissant entrevoir l’histoire du sous-vêtement… des poubelles éventrées, et une foule de gamins les fesses à l’air qui hurlant dans leurs jeux ne nous remarquèrent qu’à peine.
Après avoir traversé l’endroit, franchement dégoûtés par le spectacle d’un lieu dévoyé et souillé, du non-respect et de l’impolitesse de ces gens, nous ne pouvions qu’être tristes de voir à quel point l’accueil de la France était à ce point bafoué. Pourtant j’avais bien observé les dizaines de plaques d’immatriculation des véhicules en question, 40 départements français étaient étalés ici ! Toutefois, nous n’avions pas entendu durant notre traversée le moindre mot de la langue de Molière, bien au contraire. Lorsque nous fûmes descendus, une camionnette d’agents municipaux de la ville de Dijon se présenta à nous, pour nous demander si nous avions vu « Les Romanichels ». Nous apprîmes tristement que déjà par deux fois, ils avaient forcés les barrages et les cadenas du parc, pour venir s’installer ici, où par deux fois ils avaient saccagés et répandus leurs ordures mais n’étant pas sanctionnés revenaient sans cesse « aux bons endroits ».
C’est dans un silence profond que nous avions terminé notre randonnée, nous ne sommes, ma sœur et moi, ni des extrémistes, ni des racistes et nous n’avons pas de haine pour qui que ce soit. Cela n’empêche pas ma colère à lire encore et toujours ces histoires de malheureux Roms, dont le moindre fonctionnaire de Police pourra vous raconter comment « les pauvres » Roms vivent chichement, si chichement qu’ils ont les moyens de payer comptant un attelage de caravane avec un fourgon Mercedes… Et vous verrez rarement l’un de ses engins ayant plus de cinq ans. A notre retour, une image d’enfant me revînt à l’esprit, celle d’un campement de Roms que nous avions longé en voiture avec mes parents dans la région de Nevers, vers 1980… un gamin dépenaillé sur le bord de la route avait projeté sur notre pare-brise un énorme crachat. Choqué, avec mon regard d’enfant j’avais demandé à mon père « Pourquoi ? ».
Que pouvait donc me répondre mon père à cette heure ? Aujourd’hui 32 ans ont passé, et le problème des Roms est un chancre qui ronge la société française. Au sein de cette minorité se développe le crime et le vol, ce que personne n’ose écrire mais que chaque citoyen français ne peut ignorer tellement cela relève de la notoriété publique. A Dijon, une de ses bandes a raflé en une nuit plusieurs dizaines des vélos publics du nouveau réseau, qui ont disparu pour se retrouver comme par enchantement dans le fin fond de la Roumanie… Avec l’ouverture des frontières, ils arrivent ainsi en terre bénite, la France, un pays où le potentiel cambriolage et autres pillage de demeures secondaires est providentiel.
Extrêmement organisés, avec une distribution des rôles très intelligente, ils marquent les cibles potentielles qu’ils repèrent plusieurs mois à l’avance. Les repérages peuvent se faire par le biais d’activités légales, brocanteurs, antiquaires, rempailleurs, rémouleurs et nous en passerons. Les faits divers des journaux français sont remplis depuis des décennies des forfaits de ces gens. Derrière le social, ou de quelques communautés qui vivent dans le sein des Français depuis bien longtemps et tout à fait honnêtement, une sombre démagogie cherche à lisser la situation que le gouvernement de Monsieur Hollande n’ignore pas. Ils représentent une nuisance importante, une nuisance qui ne peut être réglée avec des logements que de toute façon ils ne souhaitent pas.
L’Etat français selon Messieurs Valls et Hollande devrait donc subventionner des logements « préférentiels » pour ses honorables citoyens qui n’ont en fait que faire de la France. Combien de Français ont été agressés par eux dans des bals de campagne où ils aiment se trouver et « casser du Français » ? Certains arrivent de très loin, comme cette famille de Serbie arrivée à Mâcon en 2006. Demandeurs d’asiles, les voilà pris en charge par les travailleurs sociaux, il y a un couple et quatre enfants. Selon les lois françaises, le Préfet réquisitionne une chambre d’hôtel où est logée au frais de la République la famille. La plus grande des enfants, une jeune fille de 14 ans est scolarisée dans un des collèges de la ville. Elle est intégrée dans une classe FLE où elle ne restera que quelques semaines…
En effet, soudainement, il s’avère que la jeune fille est atteinte d’une maladie qui nécessite une intervention chirurgicale compliquée. Les travailleurs sociaux font leur travail, elle reçoit les soins nécessaires grâce à la Sécurité Sociale universelle voulut par un autre gouvernement de gauche… Après plusieurs mois, la famille se voit refuser « l’asile politique » qu’ils avaient demandé, la jeune fille est de retour dans son collège pour quelques jours montrant ostensiblement depuis le départ son complet désintérêt pour l’enseignement du français. Une nuit de la fin du printemps, toute la petite famille ne comptant pas attendre l’expulsion, a chargé dans un autre camion Mercedes flambant neuf, tout le mobilier de la chambre d’hôtel et les nombreux dons récoltés auprès des travailleurs sociaux ou du Secours Catholique. Ils ont disparu sans laisser de traces, direction la Serbie…
Le cas de cette famille de Roms est un cas parmi des centaines, et je serais curieux de savoir la facture que cela a coûtée, entre le logement, la nourriture, les dons, l’opération médicale et tout le reste… L’épilogue de cette histoire est sinistre, ils avaient abandonné dans la pièce d’hôtel vidée, une seule chose : les livres d’apprentissage du français. Un an plus tard ils étaient de retour à Mâcon, mais ils se trouvaient 4 ou 5 familles, il fallut en venir à la réquisition d’un centre de la Croix Rouge pour héberger nos braves et malheureux Roms…
Là s’arrête ce que je sais de cette histoire. La charité est dans mes valeurs, mais la bêtise décidément n’entre pas dans mon esprit, la bêtise qui veut que la France soit une victime consentante de pillards qui sans vergogne la mettent en coupe réglée, avec l’assentiment tapageur de quelques démagogues dont Monsieur François Hollande n’est pas le dernier, ni le premier…
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