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jeudi 25 novembre 2021

Pour calmer la Guadeloupe, le gouvernement comme par magie sort de son chapeau un vaccin traditionnel


  par 23 novembre 2021

La Guadeloupe est en flamme, et le gouvernement en panique.

Pour calmer la révolte qui gronde et qui monte, qui monte, et dont la première cause est la vaccination obligatoire des soignants, comme par magie, Macron & Co ont sorti de leur chapeau un vaccin traditionnel.

Le gouvernement a annoncé ce mardi qu’il allait fournir des vaccins sans ARN messager aux Outre-mer.

 Le but du gouvernement est de convaincre les soignants et les pompiers, concernés par l’obligation vaccinale, de se faire vacciner… et de ne pas perdre la face. Par cette décision, le gouvernement reconnaît implicitement, et publiquement, que ce sont bien les injections expérimentales anti-covid et leur nocivité de plus en plus visible, leur manque de recul quant à leur dangerosité,  qui sont rejetées par les soignants, les pompiers, tant en Guadeloupe qu’en France. Sur les quatre vaccins autorisés en France, trois ne le sont plus, ce qui montrent bien qu’il existe des problèmes qui n’ont pas été vus, ou ont été tus, au cours de la campagne de vaccination.  



Avec les soignants, « on est aussi sur un dialogue social entre l’employeur, le ministère de la Santé et des solidarités, et ses employés pour trouver les solutions », ainsi « on s’est engagé hier soir à trouver d’autres types de vaccins » pour ceux qui refusent les vaccins à ARN messager, a indiqué le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu sur France 2. Les vaccins disponibles jusqu’ici en Guadeloupe étaient « essentiellement des vaccins » Pfizer/BioNtech, a précisé le ministère des Outre-mer à l’AFP.

« Pour ceux qui refusent de se faire vacciner et préfèrent abandonner leur qualité de soignants et demandent d’ores et déjà une reconversion professionnelle, on va les accompagner et là on va avoir besoin du conseil régional, donc Ary Chalus (président du conseil régional de Guadeloupe, NDLR) va être mobilisé sur ces sujets », a ajouté le ministre des Outre-mer.

Il se trouve, -hasard du calendrier ?-, que pour cette sortie de crise, le gouvernement peut compter sur le premier vaccin dit « classique »  à virus inactivé, éthique, celui de Valneva, qui arrive sur le marché.

 La biotech franco-autrichienne a su profiter de solides résultats de phase III. Fort d’une commande de 60 millions de doses par l’Union européenne, le directeur général de Valneva, Franck Grimaud, compte bien propulser son entreprise dans l’arène des vaccins, où Pfizer et Moderna se partagent la quasi-intégralité du marché.

L’avocat Di Vizio a fait immédiatement savoir sur twitter qu’il saisissait le ministre de la Santé pour que les soignants bénéficient des mêmes droits que ceux de Guadeloupe :

« Je viens de dicter un courrier à @olivierveran pour que les soignants métropolitains bénéficient des mêmes droits que leurs homologues de Guadeloupe ! J’ai adresse copie à  @JeanCASTEX@EmmanuelMacron et aux présidents des 2 assemblées ! Je déposerai un recours si besoin. » « J’interpelle immédiatement @olivierveran et les présidents des ordres pour qu’en France métropolitaine on accompagne les soignants privés de toute ressources comme en Guadeloupe et que l’Etat prenne le relais de notre trop modeste action ! »



Il clôt en twittant « #jesuisunefaille #j’ensuisfier » allusion à la dernière sortie inique de Dupont-Moretti pour qui « les personnes qui refusent le vaccin sont une faille dans notre système » et agissent « comme si la liberté était de contaminer les autres… Et donc de tuer ».



Francesca de Villasmundo

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