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mercredi 24 juin 2020

Que "nos Noirs" comparent leur sort avec celui des Blancs en Afrique du Sud !




Afrique du Sud : reportage dans les bidonvilles de blancs (Photos ...

Publié le 23 juin 2020 - par Jacques Guillemain -

Assez ! Les jérémiades des décoloniaux et des antiracistes, les mensonges sur les soi-disant  persécutions des immigrés victimes de violences policières, ça suffit !

En Afrique ou au Moyen-Orient, jeter un pavé sur un policier conduit directement en prison après un sévère passage à tabac.

Que tous ces braillards qui crachent sur la France à longueur de temps retournent dans leur pays d’origine si la soupe est si indigeste. 
La France n’est pas une prison, on peut en sortir.
Que le gouvernement supprime la nationalité française à tous ces immigrés binationaux qui n’aiment pas la France et  n’y viennent que pour son social.
Cela calmera le débat !
On en a marre de se faire cracher dessus pour un passé révolu, que ces immigrés n’ont même pas connu.
Voilà 172 ans que l’esclavage est aboli, voilà 60 ans que l’Afrique est indépendante. 
Si ce continent est en train de sombrer, incapable de suivre l’exemple de l’Asie, ce n’est pas notre problème.

Qu’attendent nos Noirs pour demander repentance aux Arabes, pour la traite arabo-islamique ?
Qu’attendent-ils pour demander repentance aux ethnies africaines esclavagistes, qui ont  alimenté les traites atlantique et inter-africaine ?
Qu’attendent-ils pour demander repentance aux esclavagistes africains du XXIe siècle, qui exploitent encore des malheureuses victimes, esclaves de père en fils depuis la nuit des temps ?
Évidemment, il est tellement plus facile de demander à un gouvernement capitulard et sans honneur ni fierté de s’agenouiller et de se répandre en mea-culpa pitoyables.
L’esclavage, les guerres tribales, le cannibalisme, les sacrifices humains, les famines et les épidémies, tous ces fléaux, les salauds de Blancs les avaient éradiqués.
Que les Noirs et les Arabes comparent leur sort à celui des Blancs d’Afrique du Sud, au lieu de bêler au racisme.

En France, il n’y a pas de ghettos noirs comme il y a des ghettos blancs en Afrique du sud, la nation Arc-en-ciel paradisiaque, modèle de diversité…
En France, on ne distribue pas le social selon la couleur de peau.
En France l’école et les soins sont gratuits, y compris pour les sans-papiers.
En France, on ne met pas les immigrés délinquants en prison parce que ce sont des immigrés, mais parce que ce sont des délinquants !

En France, on ne massacre pas les Noirs ou les Arabes.
Mais en Afrique du Sud, il y a bien un génocide de Blancs depuis la fin de l’apartheid.
Ce massacre des Blancs sud-africains est systématiquement passé sous silence, mais en France, la presse monte en épingle une arrestation qui a mal tourné, parce qu’un délinquant souffrant d’insuffisance cardiaque est décédé lors de son arrestation.


Barend Pienaar, fermier se revendiquant comme un « patriote de la nation afrikaner », se recueille devant un monument qu’il a participé à créer : chaque croix blanche sur le flanc de cette colline, près de Pietersburg, représente un fermier assassiné.

L’Afrique du Sud de 2020, c’est ça ! Tout le reste n’est que mensonge des médias.

La  barbarie de trois tueurs noirs qui ont assassiné une famille sud-africaine blanche, poussant l’horreur jusqu’à plonger le fils de 12 ans dans une baignoire d’eau bouillante afin qu’il ne puisse témoigner du meurtre de ses parents, nous amène à parler de cette nation « Arc-en-ciel » pour laquelle se sont pâmés nos élus et nos intellectuels de tous bords, quand Nelson Mandela prit le pouvoir, à la fin de l’apartheid en 1994.
Le rêve d’une société multiraciale harmonieuse n’aura pas duré bien longtemps, car à l’indéfendable apartheid a succédé un racisme anti-Blancs de plus en plus violent.
Mais la grande différence est que les mêmes apôtres de l’antiracisme qui dénonçaient l’apartheid se taisent  aujourd’hui et restent sourds aux cris de désespoir des Sud-Africains blancs.

Soweto les indignait, mais les bidonvilles de Blancs, victimes des lois raciales de discrimination positive, les indiffèrent.

Car à qualification égale, le Blanc n’a aucune chance d’obtenir un emploi.
Mieux vaut être surdiplômé quand on est blanc.
Pour ceux qui ont connu les pays d’Afrique avant et après l’indépendance, ainsi que l’Afrique du Sud d’avant Mandela, l’euphorie planétaire qui a accompagné le passage du flambeau aux mains des Sud-Africains noirs n’était pas le gage d’un avenir meilleur pour ce grand et beau pays, loin s’en faut.
Et malheureusement, les faits leur donnent raison.
L’Afrique du Sud est l’illustration  parfaite de l’échec de la société multiculturelle.

Car les successeurs de Mandela, qui n’était pas tout à fait le grand sage que l’on nous dépeint, se sont révélés incapables d’enrayer le racisme anti-Blancs qui est en train de détruire le pays.

Voir la vidéo ci-dessus qui montre, entre autres, Jacob Zuma, l’ex-président, chanter un appel au meurtre des Blancs !

Mais pas un mot dans les médias français ou occidentaux !

Ce pays, qui produisait à lui seul 25 % du PIB de toute l’Afrique, est en train de sombrer sous la violence et la corruption généralisées.
Il est en récession.
L’Afrique du Sud possède un des taux de criminalité les plus élevés au monde.
19 000 meurtres par an pour 56 millions d’habitants, officiellement.
700 meurtres en France pour 67 millions d’habitants.
Et deux meurtres sur cinq visent des Blancs, soit 40 % des victimes.
70 000 Blancs ont été assassinés depuis 1994. 
Certains avancent des chiffres bien supérieurs.
Mais pour Interpol, les statistiques sont truquées.
Ce sont 48 000 homicides et tentatives d’homicide qu’il faut comptabiliser.
L’Afrique du Sud détient le record mondial de viols. 25 % des hommes reconnaissent avoir violé, selon un sondage du Medical Research Council.
La piraterie routière est la plus élevée au monde.
Et les zones de danger  sont signalées par des panneaux « hi-jacking hotspot ».
Dans le Crime index Mid-Year de 2017, 7 villes sud-africaines sont classées en tête des villes les plus dangereuses d’Afrique, devant Lagos à la huitième place.
Pour qui connaît Lagos, ville dangereuse s’il en est, ce classement en dit long sur la criminalité en Afrique du Sud, alors qu’en 1994 la sécurité était totale.
Mais les grandes victimes du racisme anti-Blancs sont les fermiers sud-africains qui subissent un véritable génocide dans l’indifférence générale et le grand silence de nos médias, apôtres de l’antiracisme à sens unique.

http://dev.nrt24.ru/le-figaro-brise-lomerta-sur-le-massacre-des-blancs-en-afrique-du-sud/#prettyPhoto

« Les fermiers sont torturés jusqu’à la mort dans leurs fermes, dans des proportions inhabituelles », affirme Ernst Roets, le responsable d’AfriForum, une ONG de défense de la minorité blanche.
Viols, mutilations à la machette et massacres sont la norme.
C’est ainsi que le nouveau pouvoir vient de décider de spolier les fermiers blancs sans indemnisation, en les chassant de leurs terres.

La leçon du Zimbabwe n’aura donc servi à rien.

Ce pays, qui était le grenier à blé de l’Afrique, avait plongé dans la famine après que le sinistre Mugabe avait décidé d’en chasser les 4 000 fermiers blancs.

« Les assassins de fermiers blancs ne seront pas poursuivis » avait dit Mugabe.
Je n’ai jamais entendu nos association antiracistes s’offusquer pour cette incitation à la haine et au meurtre des Blancs.
Les fermiers chassés du Zimbabwe étaient partis vers l’Afrique du Sud, pour la plupart.
Pays d’où ils sont encore chassés !
Aujourd’hui, alors que l’Europe se moque éperdument du sort des fermiers sud-africains, c’est le Premier ministre australien qui leur tend la main.
L’Europe préfère accueillir toute la misère d’Afrique et du Moyen-Orient… ou larmoyer sur le sort des Rohingyas.
Quant au pape, qui nous donne chaque jour des leçons de morale à sens unique, on ne l’entend  pas.

Salauds de Blancs sud-africains !

Pour conclure, je citerai Thabo Mbeki, successeur de la légende Mandela et sage parmi les sages, qui s’interrogeait sur la capacité des nations noires à prendre leur destin en mains.
En 2004, année du bicentenaire de l’indépendance d’Haïti, il avait prononcé un discours lucide à l’université jamaïcaine de Kingston.
« Quand nous disons l’histoire de la révolution haïtienne, nous ne devrions pas nous arrêter à la glorieuse victoire de 1804. Nous devrions également parler de ce qui s’est produit après, de ce qui s’est produit après que la diaspora africaine a donné aux Africains de partout le grand cadeau de la première république noire d’Haïti. »
« A cet égard, nous devons reconnaître que les révolutions américaines et françaises ont réussi à créer les conditions du développement des Américains et Français, tandis que tel n’a pas été le cas d’Haïti. En effet, ce pays a pris une voie diamétralement opposée à celle du développement. »
« En tant qu’Africains, en Afrique et dans la diaspora africaine, nous devons répondre à la question de savoir pourquoi il y a eu cette divergence d’expérience au lendemain des révolutions américaine, française et haïtienne, qui sont liées ».
« En répondant à cette question, nous pourrons également dire pourquoi, à bien des égards, la condition africaine, certainement en Afrique sub-saharienne, a été catastrophique durant de nombreuses années, en dépit de notre existence comme républiques noires, tel le cas d’Haïti pendant deux-cents ans. »

Quel franc-parler !
On est loin du discours victimaire tenu par nos immigrés et entretenu par nos propres sanglots de salauds de Blancs, éternels coupables.
Car Mbeki pose la bonne question qui dérange nos ayatollahs du multiculturalisme et de l’antiracisme à sens unique.

Pourquoi Haïti, première république noire de l’histoire, et indépendante depuis 1804, pourquoi cette île qui était « la Perle des Antilles » quand elle était française, est-elle devenue le pays le plus pauvre du monde en 2020 ?

Qu’en pensent nos éternels pourfendeurs de la colonisation ?

Jacques Guillemain

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