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mardi 12 novembre 2019

Reportage à la “marche contre l’islamophobie” – La marche de la honte


 
 
 
 
Simple manifestation antiraciste ou provocation islamiste ?
 
La mise en scène est soignée : ambiance calme, des drapeaux français, La Marseillaise chantée, appels à la tolérance, à la laïcité, « on t’aime, tu dois nous protéger ».
 
Tout l’art de la taqiya, car cette image lissée ne doit pas cacher la réalité.
 
Une Femen torse nu, proclamant que « le blasphème est un droit républicain », est vite écartée par le service d’ordre.
La marche débute.
Les manifestants proclament leur « solidarité avec les femmes voilées », nombreuses dans le cortège, et chantent sur un air bien connu des Gilets jaunes : « On est là, on est là, pour l’honneur des musulmans, le respect de leurs mamans, même si Blanquer ne veut pas, nous, on est là. » La carte d’identité française ou la carte électorale sont brandies par plusieurs femmes, comme si cela suffisait à prouver l’appartenance à la communauté française.
Puis « Allah akbar » est scandé par les manifestants à la demande de Marwan Muhammad, ancien dirigeant du CCIF, pour montrer qu’ils sont « fiers d’être musulmans et citoyens français ».
En quoi ce cri poussé par des terroristes est-il un cri de fierté ?
Ces mots ont précédé la mort de milliers d’innocents, tant en France qu’à l’étranger.
C’est une honte d’oser les prononcer en plein Paris à quelques jours de la commémoration de la tuerie du Bataclan.
Aucun respect pour les victimes ni leurs familles.
 
C’est aussi parce qu’ils sont fiers d’être Français que la plupart des drapeaux sont d’origine étrangère (algérien, tunisien, palestinien) ?
 
La présence d’autocollants représentant une étoile jaune à cinq branches accompagnée du mot « muslim » va faire couler beaucoup d’encre.
Ceux qui l’arborent n’hésitent pas à comparer la situation des musulmans aujourd’hui avec celle des juifs dans les années 1930…
Toujours prêts à se victimiser.
Et pour bien montrer qu’il s’agit d’une religion de paix et d’amour, des appels à la haine sont lancés contre Zemmour, Zineb El Rhazoui, Laurent Bouvet et même Manuel Valls.
Des politiques s’affichent, à la chasse aux voix.
Il est loin le temps où Jean-Luc Mélenchon expliquait à propos des musulmans : « Ils se stigmatisent eux-mêmes, car qu’est-ce que porter le voile, si ce n’est s’infliger un stigmate, et se plaignent ensuite de la stigmatisation dont ils se sentent victimes. » C’était en 2010.
Un intervenant réclame « l’application égalitaire de la loi de 1905 ».
Un autre menace : « Ceux qui étaient absents aujourd’hui sont largement repérés et on leur fera largement payer. »
Plusieurs parlent d’une manif historique.
Oui, historique dans leur logique de conquête.
 
Mais cette « marche contre l’islamophobie » a très vite été qualifiée de « marche de la honte » sur les réseaux sociaux.
De Gaulle disait déjà que si une communauté « se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre.
Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras.
Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs. »
Il est plus que temps que les Français ouvrent les yeux : l’islamisme conquérant ne se cache plus.

Pour le stopper, rendez-vous le dimanche 17 novembre pour la manifestation « Face aux islamistes, défendons la France ! »
Jean Kroub
Article paru dans Présent daté du 12 novembre 2019

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