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lundi 30 septembre 2019

Rétractation d’un article de « Nature » sur le réchauffement des océans

Quand la science climatique hoquette
 
 
  Le 31 octobre 2018, la prestigieuse revue scientifique Nature publiait un important article sur le réchauffement des océans.
 
Cet article était signé d’une demi douzaine de chercheurs d’institutions réputées (Université Princeton, Université Fudan de Shanghai, Centre de recherche sur les océans de Kiel), y compris un Français cumulard, qui se déclare affilié à la fois à l’Ecole Normale Supérieure, à l’Ecole Polytechnique, à l’Université Sorbonne, et au CNRS.
 
Répétons-le : il ne s’agissait pas d’un article publié par un débutant dans une revue de deuxième ordre, à prendre avec prudence, mais de ce qui se fait de plus solide en matière de science climatique.  
     Cet article démontrait que les océans se réchauffent bien plus rapidement qu’on ne le pensait jusqu’alors, et donc que la « sensibilité climatique » – l’augmentation de la température moyenne du globe causée par un doublement de la teneur en CO2 de l’atmosphère – est bien plus élevée que ce que l’on croyait, en bref que nous allons griller encore plus tôt que prévu.
Le doute n’était pas permis, la science climatique avait parlé.
     En réalité, elle avait hoqueté.
L’article était bidon.
Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la science elle-même qui le reconnaît.
Nature a demandé aux auteurs de retirer leur article, ils se sont exécutés et ils ont, la queue entre les jambes, publié en septembre 2019 dans Nature une « rétractation ».

INTERVIEW. « Les gens ont raison d’avoir peur s’ils étaient sous le panache », à Rouen


Sociologue de la santé et directrice honoraire de la santé, Annie Thébaud-Mony alerte sur les dangers liés à la toxicité différée liée au panache de fumée, jeudi 26  septembre 2019 à Rouen.


Sociologue de la santé et directrice de recherche honoraire à l’Inserm, Annie Thébaud-Mony alerte sur les dangers liés à la toxicité différée liée au panache de fumée, jeudi 26 septembre 2019 à Rouen. (©R-T/76actu)
 
Sociologue de la santé, Annie Thébaud-Mony ne décolère après l'incendie de Lubrizol à Rouen, jeudi 26 septembre.
 
Elle alerte sur les conséquences de la catastrophe industrielle.
 
Annie Thébaud-Mony est sociologue de la santé, directrice de recherche honoraire à l’Inserm et spécialiste des maladies professionnelles et environnementales.
Elle a, à plusieurs reprises, dénoncé à travers ses travaux « l’impunité des crimes industriels ».
Au lendemain de l’incendie de l’usine chimique Lubrizol à Rouen, elle soutient que « les gens ont raison d’avoir peur s’ils étaient sous le panache.
Les dangers liés à la toxicité différée et ses conséquences doivent être pris en compte et un suivi médical strict doit être mis en place ».

 
« La combustion redouble la toxicité »

76actu : Au lendemain de l’incendie de Lubrizol à Rouen, la peur gagne les habitants de la ville. Les gens ont-ils raison d’avoir peur ?

Annie Thébaud-Mony : Oui, il faut être inquiet.
Lubrizol est un site Seveso seuil haut, ça veut dire qu’il y a des produits toxiques. Et quand on brûle ce type de produits, la combustion redouble la toxicité.

L’incendie est terminé, les résultats d’analyses communiqués par la préfecture se veulent rassurants
Vous n’y croyez pas ?

Le préfet a pris soin hier [jeudi 26 septembre 2019, ndlr] d’avoir un discours rassurant parce que le danger imminent a effectivement été écarté : ils ont évité le pire.
Mais ce n’est pas parce que la toxicité immédiate est écartée qu’il ne faut pas évoquer la toxicité différée.
Les autorités savent très bien que ce nuage qui est passé au-dessus de Rouen est chargé en poussière hautement toxique qui est au minimum cancérogène.
On n’a toujours pas le détail de ce qui est parti en fumée, mais on sait que lorsque ça brûle il y a des hydrocarbures, ceux-là mêmes qui se trouvent dans le tabac.
Quant aux suies, quand il déclare que les résultats d’analyses sont globalement satisfaisants, il faut insister sur le fait que les suies sont intrinsèquement cancérogènes également.

Qui doit, selon vous, s’inquiéter de cette toxicité différée ?

Sectaires!

 

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
 
 
Ainsi, la famille Chirac aurait exprimé le souhait que Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, soit tenue au large des cérémonies funèbres accompagnant le départ de l’ancien président  pour, ce qu’il est convenu d’appeler, « un monde meilleur ».
 
Loin de nous le propos de nous lamenter sur le sort, ainsi réservé, au chef du RN,  mais nous trouvons  cette décision  particulièrement  injuste, pour tout dire sectaire.
 
Tous les leaders politiques de tous bords seront présents, à l’exception aussi de la France insoumise,   conviés à se recueillir sur la dépouille de l’ancien chef de l’État.
Pourquoi pas elle, qui représente tout de même, qu’elle soit appréciée ou détestée, louangée ou boycottée, plusieurs millions d’électeurs ?
Il y aurait donc, aux yeux de la famille Chirac, des  « bons » et des « mauvais » Français ?
Quand on parle de la « famille », se résume-t-elle à la seule Claude, la fille de son père, qui fut souvent, « le mauvais » génie de son papa ?
On voit mal madame Bernadette Chirac, assez conservatrice, très pieuse, lancer une telle « fatwa » !
 
Une girouette politique
 
Les médias, à l’occasion du décès de l’ancien président, en fond des tonnes, sans nuance aucune.
On tresse des louanges au défunt président sans aucune retenue, sans aucune mesure.
Qui était, en réalité, le « Grand Jacques » ?
Un aventurier de la politique, un bon vivant proche du petit peuple, un homme de gauche ayant fait carrière à droite ?
Un homme très  cultivé, malgré les apparences ?
Un peu tout cela à la fois, mon général !
Dans sa jeunesse, le petit corrézien était sympathisant communiste, ayant signé « l’Appel de Stockholm » contre le nucléaire, - le nucléaire occidental seulement, bien sûr -, et vendait, occasionnellement, l’Humanité à la criée.
Ce qui ne l’empêcha pas de faire un voyage aux États-Unis dont il resta marqué à vie.
« Algérie française » pendant son service militaire,- une bonne « maladie » selon nous !-, il fut un défenseur de l’immigration en cosignant  en 1976 avec Giscard d’Estaing, le funeste  décret ouvrant droit au regroupement familial pour les étrangers, tout en les fustigeant quelques années plus tard, avec sa célèbre phrase sur les « bruits et les odeurs ».

Coup de gueule d'un ancien militaire, après le matraquage des gilets jaunes par les CRS au Polygone de Montpellier samedi dernier

Convention de la droite : une première pierre… – Journal du lundi 30 septembre 2019

 
 




1) Convention de la droite : une première pierre…

Pari réussi pour la convention de la droite.
Avec plus de 2 000 personnes et une trentaine d’intervenants, la nouvelle initiative pour l’union des conservateurs a été couronnée d’un véritable succès médiatique… reste à trouver la tête à couronner.

2) Autriche : le retour en force de Sebastian Kurz

 Sebastian Kurz bientôt de retour à la chancellerie.
Quatre mois après avoir été renversé par le Parlement suite à l’Ibizagate, le jeune chancelier remporte haut la main les législatives et reprend un billet pour le pouvoir.
Toutefois, la question de ses alliances reste en suspens après un véritable revers infligé au FPÖ.

3) Mondiaux d’athlétisme : voyage au bout de l’enfer

 Depuis l’ouverture des mondiaux d’athlétisme vendredi à Doha au Qatar, la compétition prend des airs d’enfer pour les athlètes.
Sous près de 40 degrés, les conditions sont extrêmes et l’événement tourne à la catastrophe.

4) L’actualité en bref

L’Allemagne fabrique une génération de pauvres





30 septembre 2019

Les causes sont multiples et diffèrent en fonction des pays, mais la disparition progressive des classes moyennes dans les économies ultralibérales au profit d’armées de pauvres et de quelques « très fortunés », s’accélèrent.

Si des politiques de gauche réclament un « revenu universel » afin d’assurer au peuple quelques subsides,  c’est également une idée défendue par beaucoup de libéraux – notamment américains – qui espèrent en contrepartie supprimer des aides sociales, baisser les salaires et empêcher des révoltes.

Trouvé sur la Tribune de Genève : « Les bas salaires progressent fortement en Allemagne. Plus d’un retraité sur cinq vivra sous le seuil de pauvreté dans 20 ans.

Malgré la pauvreté qui augmente chez les personnes âgées, l’Allemagne n’a toujours pas engagé une réforme de fond de son système de retraite par répartition.
Plus les années passent, plus le nombre de retraités qui vivent dans la précarité progresse.
Selon le dernier rapport de l’Institut de conjoncture à Berlin (DIW), plus d’un retraité sur cinq (21,6%) vivra sous le seuil de pauvreté dans vingt ans, contre 16% aujourd’hui.
Ces chiffres sont d’autant plus alarmants qu’ils sont calculés avec l’hypothèse d’une économie évoluant «positivement».
«Le fond du problème n’a pas été réglé», constate Johannes Geyer, l’auteur de l’étude.
«Les ajustements, comme une meilleure prise en compte du congé maternité ou la retraite à 63 ans à partir de quarante-cinq ans de cotisations, n’apportent rien de significatif sur le fond.
Ce ne sont que des réformes cosmétiques», poursuit l’expert du DIW.

Glaner pour survivre

Charles Gave : « l’Europe sera la grande victime de la prochaine crise financière » (Interview)

 
 
 


 
On ne présente plus Charles Gave, gestionnaire de fonds (Gavekal), essayiste, chercheur en économie, une des voix de la promotion du libéralisme économique dans une France encore très étatisée.

Nous l’avions dernièrement interviewé au sujet des municipales.

Dans un billet récent, il prévoit une récession économique prochaine.
Nous lui avons demandé son avis.
 
Breizh Info : Vous écriviez en juillet dernier, « le commerce international va se viander dans les 6 mois qui viennent, ce qui dans le passé a toujours déclenché une récession ».
Maintenez-vous que l’économie mondiale, et européenne en particulier, va droit vers une récession ?
 
Charles Gave : Oui bien sûr. Prenons l’exemple de l’Allemagne : avec une monnaie sous-évaluée et des taux d’intérêt très bas, ils ont continué tout bonnement d’investir dans tous les mauvais secteurs où ils étaient leaders, comme l’automobile.
Et en plus ils ont prêté 1000 milliards d’euros à la France, l’Italie, la Grèce etc. pour que leurs habitants achètent leurs bagnoles.
Donc ces 1000 milliards ils n’en reverront plus la couleur, et ils vont avoir une récession.
C’est la faute de l’euro, qui est une grande escroquerie.
 
Breizh Info : Michelin a annoncé la fermeture d’ici 2021 de l’usine de Bamberg en Bavière et des inquiétudes émergent pour celles de Cholet et la Roche-sur-Yon non loin de Nantes ; le secteur de l’automobile semble lui aussi se contracter. Qu’en pensez-vous ? 
 
Charles Gave : C’est un désastre. Entre les Verts qui veulent empêcher les voitures de rouler et l’évolution technologique, l’automobile est un secteur économique qui va se contracter d’ici peu comme la sidérurgie il y a trente ans.

PMA et écologisme, pour oublier le peuple, par Ivan Rioufol


 

 


Ils disent : respectons la nature et ses limites !

Les macroniens ne jurent plus que par l’écologisme, ce mondialisme qu’ils croient plus présentable.

Mais les mêmes s’enflamment pour défendre la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de femmes et les femmes seules.
Transgresser la nature serait donc interdit… mais autorisé.
La contradiction montre la fragilité de la conversion d’Emmanuel Macron à l’idéologie verte, cet universalisme de substitution.
Les plus cohérents des écolos sont ceux qui, comme José Bové, refusent toute manipulation du vivant, qu’il soit végétal, animal ou humain.
Le projet de PMA pour toutes, examiné par les députés depuis mardi, viendra bouleverser la condition humaine.
Celle-ci sera dégagée du fait qu’un enfant était jusqu’alors, sauf pour les couples hétérosexuels infertiles, le fruit d’une rencontre charnelle entre une femme et un homme.

« Banque, assurance-vie, peur de la faillite ? Comment se débancariser et démonétiser sont patrimoine pour se protéger ! » L’édito de Charles SANNAT


Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
 
Celles et ceux qui me suivent depuis plusieurs années ne découvrent pas avec surprise les problèmes qui sont en train de se matérialiser notamment sur les fonds euros des contrats d’assurance-vie.

Tout cela était totalement prévisible.

 La seule incertitude réelle est comme à chaque fois, le temps dans lequel ces grandes mutations vont s’inscrire.
Il aura finalement fallu plus de temps que ce que l’on pouvait imaginer il y a 10 ans.
C’est assez logique.
Comme je l’ai déjà dit, tout s’est déjà effondré en 2009 mais l’on a masqué cet effondrement par de l’argent, beaucoup d’argent, des milliers de milliards qui ont permis de gagner du temps, et de vous à moi tant mieux !
Sauf que même en gagnant du temps nous en arrivons au point où l’on est obligé d’admettre publiquement que les fonds euros vont devoir faire la croix sur la double garantie de la liquidité immédiate et de la garantie de capital !
C’est exactement cela que dit le directeur de la rédaction de Boursorama dans l’une des vidéos que je reprends dans cette édition.
Logiquement, il va falloir que les épargnants, se débancarisent, mais ce n’est là que la première étape, car au bout du compte, nous nous dirigeons vers une énorme crise monétaire qui sera l’étape ultime de la crise que nous traversons.
A force de faire n’importe quoi parce que nous n’avons pas le choix, nous finirons avec une monnaie à la zimbabwéenne.
Cela prendra le temps que ça prendra mais cela arrivera.

Rouen : la preuve que l’écologie n’est qu’une arme politique

 
 



Emmanuel Macron et son gouvernement prétendent faire de l’écologie la clé de voûte de leur politique.

Depuis deux ans, les Français sont assommés de recommandations, interdictions, taxes et toutes sortes de brimades en tous genres.

Voilà qu’une vraie catastrophe écologique survient, près de la bonne ville de Rouen.
En toute logique, nous devrions assister à une mobilisation massive des pouvoirs publics, le Président, le Premier ministre, les ministres concernés devraient en appeler à l’urgence, sonner le tocsin, dicter à la population des consignes de prudence drastiques, lui donner des recommandations pour se protéger.
Eh bien, non, vous n’y êtes pas.
Il aura fallu attendre trois jours, et la montée des questions et du mécontentement, pour que le Premier ministre déclare : « L’engagement du gouvernement est de répondre à toutes les questions et de faire la transparence totale. »
L’explosion de l’usine classée Seveso ?
Une broutille.
« La qualité de l’air est normale », annonce, en boucle, le préfet !
Pendant ce temps, les Rouennais se promènent dans les rues avec des masques stériles, pour ceux qui osent sortir de chez eux.
Beaucoup ressentent des difficultés respiratoires, des nausées, des céphalées, bref, ne peuvent vivre normalement et sont, par ailleurs, très inquiets de la situation.

Économie : pour le Système, tout va très bien, mais ça va très mal finir !

 
 
 



Une crise des liquidités tout à fait semblable à celle de 2008 sur un marché monétaire interbancaire bloqué, suite à la crise des crédits hypothécaires subprime, est apparue pour la première fois, le mardi 17 septembre 2019, à Wall Street.

La Fed, qui se veut rassurante et invoque des raisons techniques, a dû injecter, en quatre jours, 278 milliards de dollars pour rassurer les marchés et faire retomber le taux d’intérêt, qui était monté jusqu’à 10 %.

Selon certaines rumeurs, la Fed pourrait être amenée à augmenter de nouveau la taille de son bilan de 400 milliards de dollars.
Mais le plus préoccupant, c’est que, selon la BRI, des crédits très risqués (leveraged loans), pourris (junk), à des entreprises zombies atteignent aujourd’hui 1.200 milliards de dollars aux États-Unis et 200 milliards de dollars en Europe.
Tout comme les crédits hypothécaires subprime aux particuliers avant 2007 avaient été découpés en tranches et intégrés dans des titres financiers « CDO » (collateralized debt obligations), les crédits très risqués aux entreprises ont été découpés en tranches et intégrés dans des titres financiers appelés « CLO » (collateralized loan obligations).
Bref, rebelote, les crédits très risqués aux entreprises, en 2019, ont remplacé les crédits hypothécaires subprime très risqués aux particuliers, tandis que les titres financiers « CLO » de 2019 ont remplacé les titres financiers « CDO » de 2008.
Un grand nombre de fonds (Stifel Financial) et quelques banques (Bank of California) possèdent, aujourd’hui, ces actifs illiquides et risqués pour des montants élevés dans leurs portefeuilles et se trouveront en difficulté si les investisseurs veulent retirer leur argent.
Fitch Ratings, la BCE et la BRI ont reconnu le problème de ces crédits très risqués, tandis que la Fed se fait au contraire très discrète et noie le poisson, afin d’éviter la panique.

dimanche 29 septembre 2019

Alors voila, j'avais besoin d'en parler

 
 
 
 
Merci à fabie

Pauvre France



On est mal 
 
Finalement, il y a des jours ou je me dis qu'on mérite macron

La priorité verte «mais pas trop» de l’exécutif, détectable à l’oeil nu.

 
 
L’image contient peut-être : ciel, nuage et plein air
 
 
Il pleut des frisbees d’hydrocarbures dans votre jardin ?

Votre vache blanche est devenue noire par l’opération du Saint-Esprit ?

Votre enfant est pris de maux de tête et de toux, enfant qui d’ailleurs s’est transformé en mutant pendant la nuit ?
Les policiers et gendarmes se promènent bizarrement avec des masques à gaz ?
Vous êtes saisi de nausées et vomissements comme ça pof sans raison ?
Vous avez un troisième bras qui vous a poussé dans le dos en moins d’une heure ?
Le maïs de votre champ est devenu violet fluorescent ?
Votre voiture miaule ?
«Pas de panique» vous rassure Christophe Castaner, le roi du poker menteur, tout ceci est totalement normal, la qualité de l’air est «dans son état habituel», déclare le Préfet, ce qui ne lasse pas d’interroger sur la notion d’état habituel (naturel ?) selon les autorités.

Omerta sur une catastrophe industrielle majeure aux portes de Paris



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Photo © I. Michel / Sdis78
par Marc Laimé, 27 septembre 2019


En plein été, une installation stratégique de la plus grande station d’épuration des eaux usées d’Europe est totalement détruite par le feu à trente kilomètres de la capitale.

Il faudra entre trois et cinq ans pour la reconstruire, au prix, dans l’intervalle, d’une pollution gravissime de la Seine.

Ce site n’a cessé d’enregistrer des sinistres de plus en plus graves depuis plusieurs années.
Sa gestion est entachée par des dévoiements sans précédent en matière de marchés publics.
Un désastre absolu, qui ne suscite qu’une inquiétante indifférence.

Le 3 juillet dernier, un incendie spectaculaire se déclenche sur le site classé « Seveso seuil haut », c’est-à-dire faisant l’objet d’une surveillance particulière en raison de la toxicité des produits qu’il abrite, au sein de l’usine « Seine Aval » (SAV) du Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (SIAAP) implantée dans la plaine d’Achères, dans les Yvelines (1).

S’étendant sur 600 hectares, la gigantesque station d’épuration, à l’intérieur de laquelle on ne se déplace qu’en voiture ou en camion, est lovée dans une boucle de la Seine, à cheval sur les villes de Saint-Germain-en-Laye, Maisons-Laffitte et Achères.
Elle traite 60 % des eaux usées de 9 millions de Franciliens, ce qui fait d’elle la plus grande station d’épuration d’Europe.
 
  C’est un bâtiment de 6 000 m2 servant à la « clarifloculation » des eaux usées (procédé d’élimination des particules en suspension, notamment des phosphates (2)), abritant plusieurs cuves de chlorure ferrique, substance toxique et hautement corrosive, qui a pris feu.
L’unité se situe au début de la filière de traitement des eaux usées, et abrite une myriade de colonnes en plastique, dans lesquelles circule le chlorure ferrique.
Un énorme panache de fumée noire se dégage aussitôt, visible à plusieurs kilomètres à la ronde.

En l’espace de quelques mois, c’est le quatrième incident grave, incendie ou explosion, sur ce même site.
À 19 heures le sinistre n’était toujours pas maîtrisé par les sapeurs-pompiers du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) 78, qui avaient dépêché sur place plusieurs dizaines de véhicules et au moins 70 soldats du feu.
À 18 heures 45, d’autres camions et d’autres sapeurs-pompiers continuaient d’arriver sur le site. « Nous avons dû procéder à une alimentation en Seine avec un bateau pompe. Nous avons également utilisé des motos pompes remorquables dans les rétentions des eaux usées », expliquait le lieutenant-colonel Christophe Betinelli, commandant des opérations de secours.
Ce que l’honorable lieutenant-colonel ne pouvait évidemment pas déplorer publiquement, c’est que les conduites alimentant les poteaux d’incendie — sur lesquels les pompiers branchent leurs lances — passaient… sous le bâtiment qui a brûlé.
Les poteaux étaient donc inutilisables.
« Inconcevable », confiera un pompier présent sur place.
Il faudra attendre quatre jours pour que le sinistre soit totalement maîtrisé, après la venue de la gigantesque échelle déjà utilisée pour venir à bout de l’incendie de Notre-Dame de Paris.
Dès le lendemain matin, le syndicat FO du SIAAP dénonçait une situation « catastrophique » :
« La situation à SAV s’est fortement dégradée depuis plus de deux ans. Vendredi dernier, nous avons adressé à l’inspection du travail sept alertes de dangers graves et imminents (dont le SIAAP n’a toujours pas tenu compte malgré ses obligations en la matière), pour des fuites de gaz ou des départs d’incendie. Hier avec l’incendie de la clarifloculation, les herbes hautes et sèches ont pris feu, lequel a failli atteindre la zone Biogaz. »

«Vous nous pétez les couilles»: quand la police matraque même les observateurs de la LDH – vidéo

 
 
 
Une manifestaion des Gilets jaunes

© Sputnik . Julien Mattia
France
 
Lors de l'acte 46 des Gilets jaunes à Toulouse, un policier s’en est pris à un groupe d’observateurs de la Ligue des droits de l’Homme.

Ceux-ci «ont été insultés, menacés, gazés, frappés et matraqués».
 
Non seulement l’acte 46 des Gilets jaunes du 28 septembre à Toulouse a été marqué par des tensions entre manifestants et forces de l’ordre, mais aussi ces dernières sont accusées d’avoir pris à partie des observateurs de la Ligue des droits de l’Homme (LDH).
 
Dans le direct d’un journaliste de RT, des agents des forces de l’ordre matraquent un groupe de personnes vêtues d’un gilet jaune et bleu comportant l’inscription «Observateur LDH Copernic Syndicat d’avocat de France» et d’un casque bleu.
Par la suite, un policier lance à l’un d’eux: «Je vous emmerde la LDH. Vous nous pétez les couilles», avant d’exhorter les observateurs à se disperser.
Le HuffPost a contacté la branche toulousaine de l’association qui a confirmé les faits.
Selon la LDH, le groupe de cinq observateurs de l’Observatoire des pratiques policières (OPP) a été pris à partie, trois observateurs ayant été touchés, deux ayant reçu des coups de matraque et l’un souffrant de «contusions et d’une côte fêlée».

Même le fondateur de Greenpeace dénonce l’escroquerie du climat !

 
 
 
Publié le 22 mars 2019 - par Thierry Michaud-Nérard -
 
 
Le fondateur de Greenpeace dénonce le canular mondial du réchauffement climatique anthropique !
 
 Patrick Moore, cofondateur et ancien président de Greenpeace Canada, a décrit les machinations cyniques et corrompues des gouvernements en manque de projets politiques qui alimentent l’escroquerie intellectuelle et fiscaliste du réchauffement climatique d’origine humaine dans une interview au magazine Breitbart News.
 
Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2.
De tous temps, la stratégie de la peur a été utilisée pour contrôler les populations.
Le coup foireux de Macron incompétent en politique, c’est le chantage des incapables : Moi ou la barbarie, Moi ou le chaos !
Pour faire accepter l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans a besoin de la propagande alarmiste pour créer la confusion dans les esprits et légitimer le racket fiscal anti-CO2. Le mythe de la catastrophe climatique est mis en scène par des campagnes médiatiques basées sur la peur.
C’est ce qu’on appelle le terrorisme climatique en guerre contre un produit naturel indispensable à la vie : le CO2 !
Moore rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques.
Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange », les entreprises opportunistes soi-disant vertes parasitent les contribuables grâce à l’effet d’aubaine des réglementations absurdes et des subventions injustifiées si ce n’est par les menaces alléguées du changement climatique des propagandistes des médias.

Greta Thunberg a-t-elle tué l’écologie ? – Le Samedi Politique

 
 


Greta Thunberg a-t-elle tué l’écologie ?  

 

L’écologie se résume désormais en deux mots : Greta Thunberg.
 
La jeune suédoise obsédée par le réchauffement climatique est exhibée par ses proches autour du monde.
Depuis un an, elle est de toutes les rencontres internationales pour sermonner les élites qui se repaissent de ses paroles.
Entre diversion et vernis écolo, à quoi sert véritablement Greta Thunberg ?
 
Et si Greta Thunberg avait évincé les grands défis écologiques ?
 
En faisant du réchauffement climatique l’alpha et l’oméga de son prétendu combat, Greta Thunberg passe sous silence les préoccupations essentielles de l’écologie.
La mondialisation et les échanges commerciaux internationaux ont encore de beaux jours devant eux.
Pour cette émission, Philippe Murer, économiste et spécialiste de l’écologie (auteur de « Transition Ecologique : une énergie moins chère, un million d’emplois créés », chez Fayard) et Régis de Castelnau, avocat et animateur du blog « Vu du Droit » reviennent sur le phénomène Thunberg et ses conséquences.

Que nous cache réellement le voile ?

 
 
 
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Une nouvelle polémique sur le port du voile en France vient de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), qui a diffusé une affiche interne de campagne pour ses prochaines élections, revendiquant le droit, pour les mères voilées, d’accompagner leurs enfants aux sorties scolaires.
 
« Oui, je vais en sortie scolaire, et alors ? », proclame avec morgue ce slogan.
Sur RMC-BFM TV, le ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer, a jugé cette campagne « regrettable ».
Pour autant, il ne regrette que le caractère « un tout petit peu inquiétant » de flatter le communautarisme à des fins électorales, à l’encontre du « sens de l’Histoire ».
Outre le fait, ironique, que la flatterie démagogique des électeurs a été également la clé de la victoire d’Emmanuel Macron à l’élection présidentielle de 2017, on est en droit de trouver davantage qu’« un tout petit peu » inquiétante cette cuisine électorale.
À court terme, l’exemple de multiples autres complaisances et lâchetés montre qu’il s’agit d’une nouvelle petite conquête islamique, par grignotage, de l’espace public français.
Comment croire que cette photo rassurante d’une mère d’élève apparemment radieuse, couvrant d’un voile couleur saumon ses cheveux, ses oreilles et son cou (très étudié car, en apparence, très similaire à un simple foulard), n’ouvrira pas la voie à des concessions plus étendues vers des voiles noirs intégraux, au nom de la même égalité, comme on le voit déjà à la sortie des écoles ?

Après les seniors, le gouvernement va spolier les auto-entrepreneurs

 
 



Après avoir renoncé, en une journée, à supprimer l’exonération des charges sociales pour les personnes âgées de plus de 70 ans, le gouvernement propose, maintenant, de s’attaquer aux auto-entrepreneurs.

Nous aurons, en 2020, le déficit le plus élevé d’Europe et le ministre du Budget essaye désespérément de le contenir à 2,2 % du PIB.

Comme le gouvernement refuse d’utiliser la seule méthode qui fonctionne, c’est-à-dire diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires dans les services où ils sont en surnombre (si on excepte le budget soumis à une cure sévère), il est aux abois financièrement et essaye de couper les dépenses dans toutes les directions.
Mais on sent l’improvisation et le manque de réflexion.
Les mesures qu’il propose à la va-vite ont, le plus souvent, bien plus d’inconvénients que d’avantages.
C’est le cas de la dernière trouvaille : s’attaquer à l’exonération de charges des auto-entrepreneurs, mesure phare de M. Sarkozy, tellement utile que même M. Hollande, pourtant acharné à détruire tout ce que son prédécesseur avait mis en place, n’avait pas jugé bon de modifier ce dispositif.
Jusque-là, ceux qui créaient leurs petites entreprises individuelles ne payaient que 25 % des charges sociales qu’ils devaient la première année, 50 % la seconde et 75 % la troisième.
Le nombre d’auto-entrepreneurs a crû au-delà des prévisions et le coût de la mesure a atteint 1,4 milliard d’euros.
Insupportable, paraît-il, pour nos finances.
Désormais, l’exonération sera totale la première année et les auto-entrepreneurs paieront plein pot à partir de la seconde année.

"On a volé mes rêves"

 
 
 
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Petit message pour la p'tite hystérique Greta thunberg.

 
 
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On t'a soi-disant volé tes rêves et ta jeunesse.

samedi 28 septembre 2019

Remigration : quand la droite comprendra



remigration



Depuis 1976, date de la création du regroupement familial, la droite a toujours eu beaucoup d’idées au sujet de l’immigration.

Des idées pour, des idées contre, et la plupart du temps des idées pour-contre.

Beaucoup de paroles aussi, de discours et de promesses.
Et depuis 45 ans, elle n’a jamais cessé de céder face à la pensée de gauche.
Julien Aubert ou Guillaume Larrivé rivalisent actuellement d’annonces afin de prendre la tête des LR. C’est à qui reprendra telle mesure du RPR jamais appliquée ou prendra l’accent de Pasqua.
Mais qui, sinon quelques militants septuagénaires, cocus professionnels depuis le RPR millésime 76, peut encore les prendre au sérieux ?
Et puis, surtout, le temps a couru, nous ne sommes plus au XXe siècle.
Il ne s’agit plus d’empêcher ce qu’on annonçait alors comme irréparable mais de savoir comment on va pouvoir en sortir.
Dans ce contexte, savoir s’il y aura encore des LR en 2025 n’a d’importance que pour les amateurs de catacombes.
 
L’immigration n’est pas un sujet, c’est le sujet
 
Le sujet de l’immigration n’est pas un sujet parmi d’autres.
Il n’est pas seulement un sujet important.
Il est le sujet.
En effet, il touche à tous les aspects de la vie d’un peuple, culture, sécurité, souveraineté… et surtout, en fin de course, il pose la question de la vie ou de la mort d’un peuple.
Une migration de faible ampleur est un phénomène commun à l’histoire des hommes.
Une immigration massive, issue de populations exogènes d’un point de vue civilisationnel, est un phénomène plus rare, mais dont on connait la fin fatale : la disparition du peuple autochtone ou sa libération par la guerre.

Rubrique : c’est la police française !

 
 
 
 
 
Transformée en milice de nervis violents par le pouvoir macronien, la police se laisse aller à des violences effarantes.
 
Sous les yeux des magistrats, parquets et juges du siège, qui n’y voient aucun inconvénient.


On va encore radoter (on ne s’arrêtera pas) et rappeler que le contrôle de la violence policière, de sa proportionnalité et donc de sa légalité APPARTIENT À LA JUSTICE.
Sur ce clip on assiste à des dizaines d’infractions pénales commises par des fonctionnaires de police. Il y en a des centaines d’autres.
Que les procureurs refusent de poursuivre, et les juges de condamner.
Pendant que leur syndicats (SM et USM) grands pourvoyeurs de leçons de morale restent obstinément muets.
 
Honte sur eux.
 

République tchèque. Andrej Babiš veut des enfants, pas des migrants

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Avec la Hongrie, la République tchèque est l’un des rares pays de l’UE à s’opposer fermement à l’immigration extra-européenne.

Son Premier ministre Andrej Babiš a une nouvelle fois critiqué le « Grand Remplacement » qui menace le Vieux Continent.

Andrej Babiš : « Nous voulons que les Tchèques aient plus d’enfants »

Après le ministre des Affaires étrangères hongrois indiquant que son gouvernement ne céderait pas « au chantage des ONG de Soros, des gouvernements occidentaux ou de Bruxelles », c’est cette fois un autre responsable politique du groupe de Visegrád qui a pourfendu la politique migratoire de l’Union européenne.
En la personne d’Andrej Babiš, Premier ministre de la République tchèque.
Dans un entretien accordé à un quotidien allemand le 23 septembre, Andrej Babiš a tenu à dénoncer l’immigration massive touchant l’Europe et qui fait courir à cette dernière le risque d’un « Grand Remplacement ».
Une immigration dont les gouvernements d’Europe de l’Ouest sont les principaux promoteurs.
Si, pour ces derniers, l’arrivée de migrants est présentée comme un moyen d’endiguer une démographie européenne en baisse, le Premier ministre tchèque se refuse à cette fatalité.
Il ne considère pas cette immigration extra-européenne « comme un moyen de contrer la diminution de la population, comme en Europe occidentale ».
C’est d’ailleurs dans cette optique qu’il entend encourager la natalité tchèque, laquelle n’est en moyenne que de 1,7 enfant par femme : « Nous voulons que les Tchèques aient plus d’enfants », a-t-il déclaré.
Le messager d’Andrej Babiš est clair.

République Tchèque : « C’est nous qui décidons qui vient ici et qui ne vient pas »

La mort n'excuse pas tout: Jacques Chirac en 10 trahisons politiques de légende

 
 
 
Victime ou bourreau ? Jacques Chirac en 10 trahisons politiques de légende

Source: AFP
Le président de la République, Valéry Giscard d'Estaing, accompagné de son Premier ministre, Jacques Chirac, le 25 août 1976, à l'Elysée, à Paris (image d'illustration).

27 sept. 2019, 22:05
 
L’ancien président de la République, Jacques Chirac, s’est éteint à l’âge de 86 ans.

Si beaucoup se souviennent de lui parce qu'il a occupé le poste suprême, le chemin aura été périlleux afin de conquérir l’Elysée.
Et perclus de trahisons politiques.
                                   
Elu en 1965 conseiller municipal de Sainte-Féréole, en Corrèze, d’où est originaire une partie de sa famille maternelle, il faudra à Jacques Chirac 30 ans d’une carrière qui révélera un tacticien politique hors pair pour atteindre son objectif lors de l’élection présidentielle en 1995.
Mais s'il a souvent été le fossoyeur de ses opposants, certains le lui ont bien rendu.
Retour sur les dix trahisons politiques qui ont émaillé la vie de l’homme d’Etat.
 
Chaban-Delmas : la première victime
 
Si Jacques Chirac a appris l’art de la manipulation politique, l’on doit son premier coup d’éclat à l’annihilation méthodique du Premier ministre de Georges Pompidou à partir de 1969 : Jacques Chaban-Delmas, prédécesseur d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux.
Au début des années 1970, alors qu’il est un fidèle du président de la République, Jacques Chirac est soupçonné – avec le concours des deux éminences grises du palais, Pierre Juillet et Marie-France Garaud – d’avoir organisé, à partir de 1971, alors qu’il est député de Corrèze, la fuite d’informations sur les avantages fiscaux dont aurait bénéficié le héros de la Résistance.
Jacques Chirac est choisi pour jouer les mercenaires de Pompidou.
Marqué par ces soupçons, Chaban-Delmas perd une partie du soutien gaulliste.
En 1974, celui-ci est une seconde fois trahi par Jacques Chirac, qui avec 43 autres députés gaullistes lui préfèrent Valéry Giscard d’Estaing comme candidat à la présidentielle.
 
Il se présente contre Giscard d’Estaing en 1981...
 
Si Valéry Giscard d’Estaing est bien élu président de la République en 1974 – grâce au soutien de Jacques Chirac, qui s’est débarrassé de Chaban-Delmas – la lune de miel durera peu de temps. Convaincu de sa supériorité intellectuelle sur celui qu’il choisit comme Premier ministre, le président de la République ne comprend pas la portée de ce qui se joue à la fin du mois d’août 1976.
Chirac démissionne en effet du gouvernement et créé quelques mois plus tard, en décembre, le Rassemblement pour la République (RPR).
Il se présentera ensuite en 1981, lors de la présidentielle, contre Valéry Giscard d’Estaing, celui-là même qu'il l'a nommé à Matignon cinq ans plus tôt.
 
... et refuse de le soutenir au second tour

La dérive “ nazie” de CNews, selon Télérama





Un homme apparaît grimé en soldat nazi. (Photo © Alain ROBERT/SIPA)

 Vendredi 27 septembre 2019   

Dans une caricature lourde, où on pourrait deviner les traits d'Eric Zemmour, Télérama montre un soldat nazi invité sur la chaîne d'information en continu, CNews. Depuis quelques semaines, les rumeurs enflent quant à un retour du polémiste sur la chaîne.
 
Ils ont osé. Le jeudi 26 septembre, le magazine culturel Télérama a tweeté son « dessin du jour ».

La patte du dessinateur de presse, Thibaut Soulcié, est éloquente : un homme, dont les traits pourraient évoquer le polémiste Eric Zemmour, apparaît grimé en soldat nazi, brassard avec croix gammée apparente. Une journaliste de la chaîne d'information en continu CNews sort des studios et pose la question suivante : « Vous venez pour le débat sur la PMA, Greta [Thunberg], le voile ou l’immigration ». Des thèmes sans aucun doute chers au chroniqueur du Figaro dont les positions doivent sûrement énerver nos confrères de Télérama. Et une manière comme une autre de problématiser les rumeurs d'un retour à CNews, cinq ans après avoir été évincé de la chaîne, comme le racontait notamment Le Parisien.
 

Qui est Candace Owens qui inspire la droite de la droite en France?




 
Une Marion Maréchal à l’américaine

Entre les deux évènements, le pont avait été fait par l’intervention de Marion Maréchal lors de son discours à la CPAC 2018.
En 2019, c’est cette fois l’Amérique qui vient parler en France: la porte de la droite de la droite s’ouvre toute grande à la militante afro-amércaine, Candance Owens.
“Elle aura carte blanche”, s’enthousiasme Erik Tegnér.

Accident industriel à Rouen : officiellement, tout va bien….

 


 
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Notre contributeur François Teutsch était à Rouen, le jeudi 26 septembre


  La ville de Rouen s’est réveillée, jeudi 26 septembre, sous un épais nuage de fumée noire, et dans une épouvantable odeur d’hydrocarbures brûlés, qui a rappelé aux plus anciens l’incendie des docks de pétrole en juin 1940.

Tous les coteaux situés au nord de la ville, les communes de Canteleu, Deville, Mont-Saint-Aignan, Bois-Guillaume et bien d’autre encore ont subi, durant toute la journée, émanations nauséabondes et dépôts de suie noire.

Plus au nord-est, les particules en suspension se sont déposées partout : dans les champs, les pâturages et les forêts ; sur les cours d’eau et les étangs ; sur les toits et les terrasses ; au milieu des jardins et des potagers.
Des milliers d’hectares, jusqu’à la Picardie voisine, ont subi cette pollution.
En cause, l’usine Lubrizol, bien connue des Rouennais.
Située sur la rive gauche de la Seine, elle fabrique des additifs pour hydrocarbures.
Construite en 1954 dans une zone isolée, elle est désormais très proche du cœur de l’agglomération, à 500 mètres à peine des quais reconquis par les commerces et les immeubles de bureaux.
Classée Seveso, elle est aussi redoutée que connue.
En 2013 déjà, une fuite de Mercaptan avait répandu jusqu’au sud de l’Angleterre une odeur méphitique d’œuf pourri.
Appartenant à un groupe américain dans lequel le milliardaire Warren Buffett possède une importante participation, elle inquiète depuis des années une population sensibilisée à la pollution de l’air.