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jeudi 29 novembre 2018

 
TV LIBERTES s’associe à l’action de La France Rebelle. Nous vous avons déjà informé, sur notre JT, du calvaire qu’endure Françoise.

VOICI UN MOYEN DE L’AIDER !
Françoise, une retraitée qui a donné sa vie pour ses compatriotes, est jetée à la rue par un bailleur social sans scrupules ! 
Aidez-nous à récupérer ses meubles et garder ses souvenirs
Cher ami,
je viens à vous car une de nos compatriotes est mise à la rue par l'État. Ce même État qui héberge des clandestins gratuitement !
Françoise est une retraitée de 62 ans. Elle touche 1000 euros par mois, et est hébergée par un bailleur social, à Vannes (Morbihan).
Le logement que le bailleur lui a fourni est vétuste. De grandes ouvertures sous les fenêtres laissent passer le froid glacial de l'hiver.
Pour atteindre une température décente (20°C), Françoise doit fortement monter le chauffage en hiver. C'est la seule manière de ne pas tomber malade !
A cause de cela, ses charges d'électricité s’élèvent à 120 euros par mois ! Françoise, désemparée, a alerté à de nombreuses reprises son bailleur social. C'est à lui de réaliser les travaux nécessaires pour lui fournir un logement vivable ! Mais le bailleur n'a jamais rien voulu faire pour elle.
Après plusieurs années à se serrer la ceinture, Françoise décide, pour protester et obliger son bailleur à effectuer les travaux, de ne payer que la moitié de son chauffage tous les mois, soit 50 à 60 euros tout de même.
Le bailleur a porté plainte. Par deux fois, la Justice a donné raison à la retraitée. Mais, l'été dernier, un juge a finalement ordonné l'expulsion de Françoise.
Le 31 octobre 2018, veille de la trêve hivernale, un huissier se pointe chez Françoise, accompagné de forces de l'ordre, pour l'expulser manu militari. La retraitée se retrouve à la rue avec quelques affaires, et tous ses meubles sont saisis.
Grâce à une alerte lancée sur les réseaux sociaux, une chaîne de solidarité s'est mise en place. Françoise est hébergée par de généreuses personnes touchées par sa détresse. Mais elle doit changer de « domicile » chaque semaine.
En attendant de lui trouver un toit pérenne, une autre urgence se dresse devant elle : le 29 novembre, tous ses meubles saisis seront mis en vente forcée. Elle perdra le peu de biens qu'elle a accumulés durant sa vie. Ces derniers iront à quelques profiteurs !
D'urgence, mobilisons-nous : nous devons, avant le 29 novembre, réunir 3000 euros pour racheter les meubles de Françoise lors de la vente forcée, puis les lui offrir.
A l'approche de Noël, je fais appel à votre générosité : faites un don que Françoise récupère ses biens. Dans cette période difficile pour elle, ce serait le plus beau cadeau que nous pourrions lui faire !
Je vous remercie d'avance,
Philippe Gibelin
Aidez-nous à récupérer ses meubles et garder ses souvenirs

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