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samedi 1 septembre 2018

Nantes : règlements de comptes ethniques en ville

 
 
 




Le 25 août dernier, un Marocain a été tué de plusieurs coups de couteaux après une très violente bagarre sur voie publique rue Samuel de Champlain (Chêne des Anglais) sur la plaine de jeux de l’Amande.
 

D’après un témoin, l’altercation a eu lieu vers 18 heures et la victime était en réalité la première à sortir un « petit couteau » qui s’est retourné contre elle.
Identifiée grâce à ses empreintes digitales, la victime n’avait ni papiers ni téléphone sur elle.
C’est un homme de nationalité marocaine, âgé de 40 ans, déjà connu de la justice à plusieurs reprises pour usage de produits stupéfiants.
Son meurtrier en revanche court toujours, après s’être enfui dans les bois qui bordent la mosquée voisine peu après la rixe.
L’autopsie faite ce lundi a permis d’établir qu’il n’y a pas eu qu’un seul « geste mortel » : la victime a reçu cinq coups de couteaux dont trois dans le dos. Ce sont deux de ces derniers qui sont à l’origine du décès.
Le mobile de l’altercation comme du meurtre demeure inconnu.
« Vu le quartier [très sensible et point névralgique du deal de drogue, étrangement ignoré par le premier adjoint et apparatchik socialiste Pascal Bolo qui vit juste à côtésoit c’est une histoire de drogue, soit c’est une histoire entre marocains, soit les deux », avance un policier nantais, qui « trouve cependant très regrettable et toutefois peu étonnant qu’ils viennent s’entretuer ici à Nantes ».

Par ailleurs, dimanche 26 août les pompiers ont porté secours à un homme griévement blessé à l’œil, au thorax et à l’abdomen à coups de couteau.
Ses jours ne sont pas en danger.
La victime, de nationalité soudanaise, résidait dans le camp installé square Daviais depuis le début de l’été où la situation tant sanitaire que sécuritaire ou sociale, déjà précaire, ne cesse de s’aggraver.
« Les occupants du camp ont déjà eu des rixes entre eux, mais aussi à l’extérieur et aux abords immédiats avec les dealers maghrébins installés à Commerce depuis plusieurs années », relève un policier nantais.
« Ces derniers sont très violents et n’hésitent pas à sortir leur couteau et à pointer [poignarder] dans les bagarres, qu’elles soient liées à la drogue, aux vols ou pour un regard de travers ».

Rappelons que les nantais ont déjà pu apprécier les délices d’une société multiculturelle apaisée, lorsqu’un jeune clandestin algérien de 22 ans avait été égorgé vif dans le tramway en juillet 2017 par quatre autres clandestins, tunisiens ceux-ci, qui ont fini par être arrêtés.
 
Quand Johanna Rolland, la dauphine du socialiste Jean Marc Ayrault, et sa municipalité, rassemblant tous les courants de la gauche et de l’extrême gauche pro-immigrationnistes, pseudo-écologistes compris, ouvriront-elles leurs yeux?
Quand son opposition LR et associés se manifestera t-elle?

Louis Moulin
 
Crédit photo : DR
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