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jeudi 12 juillet 2018

Prémices de guerre islamo-gauchiste



fofana


Publié le

« La guerre est déclarée ». Expression entendue lors des manifestations qui ont suivi le contrôle de police à Nantes. 

Si ce Boubakar Fofana a été tué, sans intention d’en arriver là, par un CRS, c’est bien parce qu’il refusait d’arrêter son véhicule en faisant une marche arrière et avait, volontairement ou pas, failli écraser un policier.
Malgré leur sympathie évidente pour ce personnage au casier judiciaire déjà bien garni, les médias n’ont pas pu cacher qu’il était, à ce moment là, activement recherché par la police et la justice, pour divers actes de délinquance: vols, insultes, association de malfaiteurs, trafics de drogue, etc…
Un merveilleux copain qui n’aurait pas fait de mal à une mouche, selon l’entourage.
Quoi qu’il en soit, pour les journaleux, l’assassin c’est le CRS, mis tout de suite en garde à vue, avant que la lumière soit faite sur cette affaire.
La victime innocente c’est automatiquement le voyou, d’autant plus innocent qu’il est africain, donc respectable par nature.
Ce qui reste un encouragement pour la racaille à continuer à narguer les forces de l’ordre.
C’est le scénario habituel d’inversion des rôles.
La légitime défense est refusée au policier et tous les témoignages des amis du voyou vont venir charger le CRS, qui n’aura même pas l’appui de sa hiérarchie.
Quant à la maire de Nantes, qui soutient le voyou, s’en en savoir davantage, sa voiture a été brûlée dans la rage vindicative de cette foule qui réclamait « justice pour Boubakar ».
Mots qui dans la bouche de ces gens voulait dire lynchage.
Ce qui n’a pas empêché la famille du délinquant de porter plainte contre la police.
Plainte qu’ils se garderaient bien de porter devant une quelconque juridiction africaine.
Mais ce qui n’est pas tolérable par contre, et qui ne l’aurait pas été autrefois avec des ministres de l’Intérieur, d’une autre trempe que l’actuel ridicule retraité en pantoufles, c’est d’avoir toléré les millions de casses, en biens privés et publics, suite à l’émeute habituelle, anti-policière.
Les membres actifs ou passifs de la diversité étaient ils seuls à vouloir en découdre avec les forces de l’ordre?
Il semblerait, qu’ils étaient encadrés, plus ou moins discrètement, par d’autres racailles, des blancs ceux-là, véritables milices gauchistes de choc, au service d’un Gouvernement crypto-gaucho, qui se fait passer pour démocrate.
Des milices islamo-gauchistes, qui ne manquent pas une occasion, pour jeter de l’huile sur le feux, chaque fois que c’est possible.
Et surtout pour donner un coup de main à leurs alliés temporaires de la diversité afro-musulmane.
Je précise bien « temporaire » parce que tout les sépare, sauf le plaisir de détruire et de s’en prendre à une société qui est assez bête pour les nourrir.
Mais c’est une alliance de circonstance qui peut durer assez longtemps, pour faire beaucoup de dégâts et jeter les bases d’un prochain conflit social, sur base ethnique, capable d’embraser le pays et d’en faire un remake du Liban ou du Kosovo.
Alors, pour en revenir aux médias, soutiens idéologiques de ces nouveaux barbares, il est un mot qui revient toujours dans leur bouche, c’est celui de « jeune », même si le jeune en question a dépassé la quarantaine.
Comme le signale Boris Le Lay, ce mot déclenche chez le lecteur ou l’auditeur la compréhension d’abord et l’empathie ensuite, pour l’individu désigné.
N’importe qui a été jeune, ou l’est encore, et la tolérance s’impose d’emblée, sans besoin d’en savoir davantage.
Le mot déclenche des images mentales, à son insu, mais favorables à celui ou ceux qui sont désignés comme étant des jeunes, tout en effaçant leur origine.
Chaque mot est choisi, par des spécialistes de la manipulation, à l’avantage du délinquant, surtout s’il est noir ou arabe.
On parlera de braqueur, même si c’est un tueur.
L’image d’un enfant, mort noyé sur une plage turque, sera exploitée mondialement, au bénéfice de l’immigration de masse.
Là, on agit sur l’émotion, au service de la compassion et de l’acceptation.
La raison est ainsi éliminée.

En bref, les antifas et autres no-border et compagnie, ne sont pas les seuls à soutenir les musulmans et les voyous africains, c’est tout un système, médias en tête, juges et intellectuels de gauche, qui se range du côté de ceux qui veulent détruire une société construite sur des valeurs chrétiennes.
 
Bien sûr, police et gendarmerie sont aux premières loges, pour recevoir des coups, mais derrière leur offensive, c’est à nous qu’ils s’en prennent.

Onyx
 

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