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dimanche 15 juillet 2018

Démonstration : il ne sert à rien d’accueillir la misère du monde (vidéo)

 
 


Publié le 14 juillet 2018 - par Victor Hallidée -

Concernant l’immigration et la pauvreté, cette courte vidéo au visuel percutant, apporte des éclairages intéressants, même s’ils ne sont que quantitatifs.
 



Ce qu’il faut en retenir, c’est que rien ne sert d’accueillir la misère du monde, même par dizaines de millions.
Une quantité infime… au regard des milliards de miséreux du monde.
C’est plus constructif d’aider ces populations dans leur pays d’origine.
Il est donc contreproductif d’accueillir les plus éduqués, les plus débrouillards de ces pauvres (les seuls qui arrivent à accéder aux pays occidentaux, les seuls sur lesquels leurs pays pourraient compter pour que leur société s’améliore).
Mieux vaut les aider à rester sur place et à construire une économie digne de ce nom.
Sans oublier cette chose essentielle, sans laquelle il n’y a aucune sortie de la misère possible : l’éducation, préalable incontournable à l’indispensable contrôle des naissances !
Autrement dit, apporter de l’aide oui, mais assortie d’éducatif car sinon c’est pas la peine, c’est le tonneau des Danaïdes !
Cette conférence est une démonstration de l’impossible traitement de la misère du monde par l’accueil de flux migratoires.
C’est aussi, in fine, la preuve, s’il était besoin, de l’hypocrisie des alibis « humanitaires » des politiques pro-immigration.
Elles consistent en fait à remplacer des populations de culture chrétienne égalitariste, qui revendiquent leur dignité sur le plan économique, par des populations de culture musulmane inégalitaire (en phase avec les paradigmes oligarchiques) qui trouvent leur dignité sur un mode moins onéreux, sociétal, notamment par la domination sexuelle masculine.
Des masses plus faciles à exploiter sur le plan économique.
Mais cette mutation civilisationnelle voulue par les oligarques de la finance est vouée à l’échec car elle est le fruit d’une considération purement économique de l’humain.
Ces populations importées d’Afrique ne seront en effet pas plus productives en territoire occidental que dans leurs pays d’origine.
Car ce qui est à la source des problèmes économiques dans ces pays, ce sont les traditions, le « religieux », le culturel !
Pas l’inverse.
Ne pas oublier que le mot « culturel » commence par « cul ».
Et cette question là ne se résout pas par des « cours de séduction », tels ceux délivrés aux migrants en Allemagne…
Ignorance pathétique, pitoyable, des soixante-huitards dépassés par les conséquences de leurs actes, l’irruption d’une réalité humaine qui n’a rien à voir avec l’humanisme universel.
Ce « nous sommes tous des humains » qui suppose qu’ils sont tous bons et gentils dès lors que l’on est gentil avec eux.
L’irruption d’une réalité humaine, la barbarie, concomitante avec la « modernité ».
« L’humain », cette « humeur malsaine » (comme disait le psychanalyste Lacan, qui en connaissait un rayon sur la noirceur de l’humanité, qui ne manque jamais de s’épancher sur le divan).
Pire que le naturel qui pousse l’animal à dévorer l’autre au dessous de lui dans la chaîne alimentaire.
L’humain, habité par cette « humeur malsaine » qu’est la cohabitation conflictuelle entre le langage et les pulsions, qui s’exprime par une insatisfaction, des frustrations récurrentes qui débouchent sur la volonté insatiable de dominer et de nuire.
À cet égard, seule l’éducation la plus rigoureuse, la répression des pulsions dès l’enfance, impossibles sans la médiation paternelle, sont en mesure de canaliser la dynamique sexuelle humaine vers la création et le travail qui ont conditionné la productivité économique et une vie sociale supportable en Occident.
Voilà pourquoi la « révolution sexuelle » soixante-huitarde, qui a abattu la fonction et l’autorité paternelles, a abouti au désastre : la destruction de la sphère éducative familiale, l’affaissement symptomatique – jusqu’au rejet, au déni – du désir entre les sexes (la « genrisation » qui se substitue à la réalité sexuelle) ; l’effondrement de la relation positive au travail, de la créativité.
C’est-à-dire l’effondrement des bases de la cohésion et de l’ordre social qui a abouti à la destruction de notre société.
Rien d’étonnant à ce que la perversion, la folie et l’avidité président aujourd’hui à l’action de ceux qui sont issus de cette société hagarde et qui prétendent la diriger pour servir leurs intérêts.
Que faut-il faire pour sortir de cet abîme ?
Considérer les causes du désastre et reconstruire.
Pour ça il nous faut retrouver la figure représentative qui fondait la cohésion et l’ordre social.
En Italie, ils l’ont trouvée.

https://ripostelaique.com/exclusif-traduction-du-formidable-discours-de-matteo-salvini-a-pontida.html

L’émotion est à la mesure du manque qui est immense.

Gages d’un renouveau qui pourrait devenir Renaissance.

Prenons-en de la graine et cherchons parmi nous cette figure politique salutaire qui nous manque encore.

Victor Hallidée

ripostelaique

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