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mardi 26 juin 2018

Nicolas Dupont-Aignan chez Ruquier : quand les hyènes chassent en meute…

 
 




Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire (comme un idiot Ndlr)avec ses hyènes de service.

Quand les hyènes chassent en meute, c’est Nicolas Dupont-Aignan qui en fait les frais.
Je me demande quand les politiciens de la droite nationale vont enfin décider de boycotter « On n’est pas Couché ».
Aller ainsi à l’abattoir comme faire-valoir de la pensée unique relève presque du suicide.
C’est ce qu’a fait Nicolas Dupont-Aignan samedi dernier.
Félicitons d’abord le président de Debout la France pour son calme et sa retenue devant la hargne et la haine étalées à son égard par Ruquier et ses sbires de circonstance.
Il a été digne jusqu’au bout.
Face à lui, et de gauche à droite de l’écran, Christine Angot, l’écrivain dont les yeux trahissent cette haine mal dissimulée pour tout ce qui est, à son goût, trop à droite de l’échiquier politique.
À côté d’elle, un grand (par la taille) monsieur aux lunettes noires qui ressemblait à un apparatchik stalinien, tout de noir vêtu et, semble-t-il, désireux de garder l’anonymat de ses propos.
Ensuite, Yann Moix dans le rôle de l’accusateur public, qu’on ne présente plus.
Une grande blonde qui n’a pas dit un mot, une dame d’origine africaine plus soucieuse d’accuser à tour de bras l’ex-puissance coloniale française de tous les maux que d’écouter les réponses à ses accusations et, enfin, l’inénarrable Jean Benguigui, l’acteur venu compléter l’équipe d’accusateurs publics mis en scène par Ruquier, dindon plus que jamais gloussant dans son rôle de président de séance.
Cette émission a été pathétique parce que transformée en procès public d’un homme aux arguments pourtant évidents de lucidité et d’une grande courtoisie.
On dit toujours que les loups chassent en meute, mais là, on a eu la preuve que les hyènes ne sont pas en reste puisqu’elles ont donné la mesure de leur talent dans ce domaine.
Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service.
Rire sinistre maladroitement caché derrière des mimiques qui cachent une hargne hystérique digne des émissions de Radio Pyongyang de la belle époque…

Seul point positif, finalement, dans toute cette affaire : l’intolérance et le prêt-à-penser étalés au grand jour qui ne prennent même plus la peine d’un semblant d’objectivité et d’honnêteté intellectuelle.

1 commentaire:

  1. Tellement écœuré, je n'ai pas suivi cette mascarade jusqu'à la fin.
    Les clowns de service s'étaient réuni pour parader devant les pas nantis, qui vivent un tout autre quotidien.

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