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lundi 12 mars 2018

Il fait très froid à cause du réchauffement climatique !

 
Les 4 Vérités


Milliere Guy
Posté le 07 mars , 2018


Emmanuel Macron à Davos avait ironisé sur l’existence de gens remettant en cause la validité des thèses sur le réchauffement global.

Et de fait, Davos, à ce moment, était une ville ensevelie sous une épaisse couche de neige et où régnaient des températures polaires.
Les Jeux Olympique d’hiver en Corée du Sud viennent de se tenir sous des températures particulièrement rigoureuses.
Dans toute l’Europe et dans toute l’Amérique du Nord, des vagues de froid extrême n’en finissent pas de se succéder.
Emmanuel Macron n’a pas énoncé de nouvelles paroles ironiques.
Les adeptes des thèses sur le réchauffement global, eux, se sont tus ou se sont réfugiés dans l’imposture.
Leur discours a été le discours habituel : la météo n’est pas le climat, ont-ils répété, ajoutant que ce n’est pas parce qu’il fait très froid qu’il n’y a pas de réchauffement, bien au contraire (ils ont même ajouté que l’Arctique se réchauffait pendant qu’il faisait froid ailleurs, ce qui est totalement faux).
Plus le climat se réchauffera, ont-ils continué, plus il y aura des vagues de froid extrême.
Si, plutôt qu’avoir connu des vagues de froid extrême, l’hiver dans l’hémisphère nord avait été doux, l’explication aurait été le réchauffement global aussi, bien sûr.
Lorsqu’on adhère à un dogme et qu’on s’éloigne de la réalité et du discours scientifique, on peut utiliser des arguments qui justifient une chose et utiliser les mêmes arguments pour justifier le contraire.
Dans quelques années, si les vagues de froid se poursuivent, peut-être ces gens reviendront-ils à la thèse qui était la leur il y a cinquante ans, celle du refroidissement global.

Et tous les journaux parleront alors de refroidissement.
Le GIEC aux Nations Unies, en employant les mêmes scientifiques défroqués qu’aujourd’hui (ces gens-là n’ont ni scrupules ni éthique, ils ont juste des comptes en banque à garnir) changera de discours à 180 degrés.
Un vieux proverbe dit : qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse.
La version socialiste du proverbe pourrait être : qu’importe le discours, pourvu qu’on ait ce qui découle.
Or, ce qui découle, ce sont des taxes que les Français, comme d’autres peuples européens, sont contraints de payer, des réglementations à l’infini qui pèsent sur les entreprises françaises et européennes, des décisions qui empoisonnent la vie et qui asphyxient peu à peu la liberté individuelle, des réflexes injectés dans les esprits jusqu’à l’obsession.
« De simples petits gestes peuvent contribuer à la lutte contre le réchauffement », disent-ils : prenez les transports en commun ou roulez à vélo, utilisez moins d’électricité, utilisez moins d’eau, etc.).
Des travaux de scientifiques dignes de ce nom circulent dans le monde qui parle anglais, montrant qu’il n’y a pas de réchauffement global dû aux activités humaines, que plus le progrès technique avance, moins les humains polluent et que le progrès technique est infini, mais ces travaux sont boycottés en France et dans l’essentiel de l’Europe.
Ceux qui osent les citer sont exclus des débats et traités d’imbéciles, d’irresponsables, parfois même de criminels.
Tout est fait pour que n’existe, sur ce sujet comme sur tant d’autres, en France et en Europe, qu’une seule façon de penser.
C’est ce que j’appelle le totalitarisme doux.
Le totalitarisme dur est un héritage du passé, et est en voie de disparition.
Il en reste quelques vestiges, dont la dictature nord-coréenne est aujourd’hui la quintessence et l’exemple effroyablement parfait.
Le totalitarisme doux s’incarne dans le présent européen.
Il n’est pas vecteur d’une destruction brutale, mais d’un processus d’érosion lente que les populations, en leur grande majorité, acceptent, décérébrées.
Il n’est pas vecteur d’un futur, car, tout en invoquant le futur (« Il faut préserver la terre pour nos enfants », disent-ils), il anéantit peu à peu toute perspective permettant d’imaginer un futur.
Je vois peu de joie de vivre quand je me rends en Europe aujourd’hui.

Payer, être soumis à des réglementations toujours plus pesantes, à des décisions qui empoisonnent et asphyxient et à des obsessions ne rend pas heureux.

Rendre la liberté aux Français et aux peuples européens, ce serait un beau programme.

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