Translate

dimanche 25 mars 2018

Dans la Cité où vivait Radouane Lakdim, une minorité a pris le pouvoir

 
 
ozanam carcasonne aude police piege

 

Samedi, plusieurs équipes de journalistes s'étaient déplacées dans la cité Ozanam à Carcassonne où vivait le terroriste musulman Radouane Lakdim.

Sur place, la situation était très tendue entre les voyous du quartier et les journalistes.
« Casse-toi, casse-toi, je vais t'éclater ».
Yann Bouchez, journaliste au Monde, décrit une ambiance électrique.
« Cité Ozanam, à Carcassonne. Deux jeunes en voiture font le guet. L'un s'arrête à ma hauteur, alors que je marche : T'es journaliste ? Barre-toi d'ici ou je te casse les jambes. Et il entrouvre la porte... Regard haineux. Toutes les issues sont contrôlées. Impossible d'y rester. »
Une situation semblable vécue par d'autres journalistes de BFM TV ou d'une télévision suisse-italienne aussi sur place.
Ces derniers ont été pris à partie alors qu'ils s'entretenaient avec des habitants du quartier.
« Ils ont commencé à nous bousculer et à prendre nos pieds de caméras en les lançant sur nous ».
Les voyous avaient surtout frappé l'équipe de la télévision suisse-italienne et évoque une « très vive altercation ».
Des journalistes ont été poursuivis par une voiture tout autour de la cité alors qu'ils tentaient de rapidement quitter les lieux.
Une retraitée dénonce la situation :
« Ça faisait un moment qu'on alertait les pouvoirs publics, il y a du trafic, il y a des armes à feu qui doivent circuler, on entend des coups de feu. » « C'est une minorité qui pourrit le quartier, ils ont pris le pouvoir. Avant, il y faisait bon vivre, mais, maintenant, c'est craignos. »
Il faut un attentat terroriste pour que les journalistes découvrent la vie des ghettos musulmans. ..
 
La photo qui illustre ce post est tirée d'un article de janvier 2018 quand des policiers avaient été agressés dans cette même cité.
 
Michel Janva

Posté le 25 mars 2018 à 17h31 | Lien permanent |

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.