Translate

dimanche 10 septembre 2017

Suisse: Comment la parasitocratie ruine notre pays


heureuse-famille-somalienne--image-symbole


A propos de la famille somalienne de 8 personnes, à l’assistance depuis 19 ans, dont notre site a déjà parlé ici.
 
Tout d’abord, ces deux parasites n’ont pas hésité à refaire trois enfants sur notre sol, puis à nous faire assumer leurs enfants… durant 19 ans.
 
Pendant ce temps, la natalité des Suisses a drastiquement baissé à cause de l’impossibilité, pour beaucoup d’autochtones, d’assumer de nombreux enfants tout en faisant face aux frais de la vie.
Le coût de 130'000 fr. pour trois ans, n’y croyez pas une seconde, le journal ne dit pas (toute) la vérité.
Cette famille a un grand appartement subventionné que la majorité des Suisses ne peuvent pas s’offrir.
Comptez au minimum un six-pièces pour une telle famille.
Loyers genevois non subventionnés, env. 4000.- fr./mois, sinon plus.
Les kouffars-contribuables payeront, no problem, ils sont là pour ça.
Ensuite, l’assurance maladie pour 8 personnes, financée à 100% par les kouffars précités, et idem pour tous les frais suivants : électricité, assurance ménage, RC, toutes sortes d’activités parascolaires pour les enfants équipements compris, transports divers payés à 100% à tous les membres de la famille, appui scolaire pour les enfants, certainement diverses aides en sus de l’aide de base, paiement des cotisations AVS des parents sans emploi, paiement du surplus du décompte de chauffage, totalité des soins médicaux et dentaires pris en charge, y compris les franchises, lunettes totalement financées, orthodontie, etc…
Ajoutez les extras, du genre : déménagements, installation d’un enfant devenu majeur dans son propre logement, achat de frigo, de TV (redevance payée par les kouffars), etc…, démarches diverses nécessitant un financement (aide juridique, frais administratifs…).
 
Nos médias maintiennent délibérement la population dans l'ignorance afin que la parasitocratie perdure et que la classe politique continue de maintenir le peuple dans l'ignorance.

 
Ajoutez à cela 19 ans d’efforts des services sociaux.
En additionnant le temps de tous les intervenants, comptez au minimum un salaire plein pour cette famille (les tentatives d’insertion de cette famille, les cours divers, les assistants sociaux, les psychologues de tout genre, les traducteurs…) soit, grosso modo, de 130'000 à 150'000.-CHF/an.
Les trois enfants ont pu bénéficier de la naturalisation facilitée et de la gratuité des frais liés à cette opération, sans remplir l’exigence d’être autonomes financièrement.
Il se peut que la totalité de la famille soit encore assistée et le reste pour les décennies à venir… ou bien, pour être plus réaliste, jusqu’à l’effondrement total de notre système social (AVS, AI, PC).
Les contribuables suisses devraient pouvoir connaître parfaitement :

- le nombre et le coût des migrants,
 
- le nombre et le coût des fonctionnaires relevant du « business de l’asile », sans oublier bien sûr le coût faramineux des traducteurs (à tous les niveaux),
 
- le nombre des migrants capables de s’assumer financièrement à 100% (y compris au niveau de leur assurance maladie),
 
- le nombre des migrants touchant les prestations complémentaires,
 
- le nombre des migrants qui sont à l’A.I.,
 
- le nombre des migrants qui sont à l’A.V.S. sans avoir cotisé,
 
- le nombre des migrants délinquants,
 
- le nombre des migrants emprisonnés.
 
Lorsque vous voyez des dames emballées de la tête aux pieds, à la somalienne, poussant des caddys, des messieurs somaliens attablés au bistrot, vous pouvez être quasi certains qu’il s’agit de cas similaires.
C’est une population qui n’a aucun envie de s’adapter, ils ne sont pas venus pour cela.
Ils ont des valeurs totalement différentes des nôtres (situation semblable pour la majorité des « migrants » arrivant d’Ethiopie, d’Erythrée, du Mali, du Niger, du Liberia…).
Prenons un cas réel, une famille somalienne arrivée à Genève dans les années 80, famille composée d’une veuve et de ses 8 enfants, envoyée en Suisse par le HCR.
La veuve, totalement analphabète, incapable de s’occuper de ses enfants ou de son ménage correctement, totalement inadaptable, a fait encore sur notre sol un 9e enfant, sans savoir qui était le père.
A l’époque, la Suisse avait accueilli 3000 Somaliennes veuves, chacune avec x enfants ; c’était une cadre du HCR qui avait décidé que ces familles seraient très bien chez les riches et gentils Suisses.
Chaque canton a eu sa part de fardeau pour éponger « le sanglot de l’homme blanc ».
Enfin, comme toujours, ce sont les contribuables qui ont épongé…
Après douze ans d’investissements colossaux, le tableau de cette famille a donné ceci : les enfants ont mal tourné, cas psychiatriques, drogue, petite criminalité, grossesses précoces et, à part une exception, aucun d’eux n’a pu ou voulu s’assumer.
Cet exemple est assez représentatif.
Notre pays regorge de ce genre de cas : les Africains, les Afghans, les réfugiés du Pakistan, d’Irak, du Bangladesh posent également des problèmes d’adaptation insurmontables.
L’assistanat royal de la Suisse fait tout pour que cela perdure à vie, tout au moins tant que le navire Suisse n’aura pas sombré.
Une personne sachant manier une caméra pourrait enquêter et filmer, ce serait passionnant et probablement dangereux, les dangers provenant tant des assistés eux-mêmes que de toute la chaîne des politicards et des multiples intervenants qui vivent du syndrome du « sanglot de l’homme blanc », ou pire, du « sanglot du Suisse blanc ».
Ce travail s’apparenterait au travail des identitaires du C-Star destiné à sauver l’Europe.
 
Le peuple suisse doit connaître cette réalité, se prendre en main s’il ne veut pas être totalement détruit par la parasitocratie qui va le gangréner de plus en plus.
 
Pour l’instant, la tâche immédiate des cantons et des communes suisses consiste à « recevoir » ces migrants en termes de logements, d’écoles, d’enseignants confrontés à des classes bigarrées au possible, etc. – et de nouvelles prisons, car les prisons existantes sont terriblement suroccupées et les étrangers y sont déjà scandaleusement surreprésentés.
La Suisse sera elle aussi confrontée à un problème de remplacement de population, remplacement qui va en s’accentuant exponentiellement du simple fait de la démographie, le taux de fécondité des migrants étant largement supérieur à celui des Suisses de souche.
De plus, ce remplacement n’est que quantitatif, sans la qualité.
Il s’ajoute comme un fardeau, un coup de grâce porté aux laborieux honnêtes, déjà trop peu nombreux,pour faire tourner les assurances sociales.
Actuellement, tout un pan de l’économie en Suisse fonctionne avec pour « matière première » les migrants et les assistés de toutes sortes, ce pan économique ne faisant qu’appauvrir et détruire notre pays.
Et tout cela, s’effectue au nom des mantras tant répétés « la tradition humanitaire de la Suisse », « le respect du droit d’asile », mantras au nom desquels les Suisses sont appelés à se saigner à mort.

Les socialistes sont particulièrement habiles à ce jeu-là puisque leur nature même les pousse à être généreux avec l’argent des autres.
 
La réalité toute nue est que nos politicards mettent en difficultés la population laborieuse pour entretenir des parasites venus du monde entier et hypothèquent tout ce qui a été édifié en Suisse depuis des générations – la Suisse étant à l’origine un pays pauvre qui, faute de ressources, exportait ses mercenaires tant appréciés pour leur bravoure et leur fidélité.
 
Cenator, 8 septembre 2017

source

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.