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mardi 29 août 2017

TROUBLES PSYCHIATRIQUES CHEZ LES TERRORISTES MUSULMANS

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Un argument de plus pour considérer l’islam comme une secte

Environ un tiers des personnes enregistrées dans le fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation présente des troubles psychologiques, selon le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb. Ce dernier a récemment défendu la nécessité d’une plus grande collaboration des psychiatres à la lutte contre le terrorisme, en vue de la mise en place d’un protocole permettant de renforcer la détection de profils dangereux, à savoir les personnes développant des délires autour de la radicalisation islamique.
Cette mise en place de protocole se heurte en France à des obstacles juridiques, à commencer par le respect du secret médical, mais l’augmentation inévitable d’attentats sur le sol français est de nature à favoriser une coopération plus étroite entre les services de police, les services sociaux et le système de prise en charge psychiatrique, comme celle mise en œuvre par exemple au Danemark.
Le risque d’une psychiatrisation du phénomène du terrorisme islamique est celui d’entraîner une remise en cause de la responsabilité des auteurs d’actes terroristes, aussi bien sur le plan pénal que sur le plan moral.
Cela pourrait même inciter de futurs terroristes à simuler la folie, d’autant qu’ils peuvent être soumis à des drogues induisant des troubles psychiques lors de leur passage à l’acte.
 
Islamo-terrorisme et maladie mentale


Au delà de cette question se pose celle du lien entre le terrorisme islamique et la maladie mentale.

Il n’existe pas à ce jour d’étude clinique publiée permettant de définir le profil psychologique ou psychiatrique du terroriste qui agit au nom de l’islam ou de celui qui est sur le point de passer à l’acte.
Il n’est pas possible actuellement sur un plan médical de prévoir quand, pourquoi et comment s’opère le passage à l’acte de terroriste islamique.
Par contre, la source de cette violence est bien définie : les nombreux versets de violence du Coran et les actes criminels (que l’on pourrait qualifier de « terroristes » pour certains d’entre eux) de Mahomet, considéré comme un modèle parfait de façon unanime dans tout le monde musulman. Selon la psychiatre américaine d’origine syrienne Wafa Sultan, les musulmans subissent depuis l’enfance une forme d’oppression mentale.
Ils sont ainsi mus par de multiples peurs, comme la peur de déplaire à Allah, la peur de ne pas aller au paradis, la peur d’avoir des paroles, des gestes non-conformes à la loi islamique (qui va jusqu’à dicter la bonne manière de se comporter aux toilettes).
Ils sont aussi empêchés dans leur inconscient d’éprouver la moindre empathie pour une victime qui n’est pas de confession musulmane.
Cette oppression mentale les prive en outre de tout esprit critique.
Les personnes de confession musulmane ayant les capacités de remettre en cause l’islam sont le plus souvent contraintes de taire leurs critiques, face à l’énorme pression qu’elles peuvent subir de la part de leur communauté religieuse, l’apostasie étant synonyme de mort sociale, de privation de droits, voire de mort.
Elle traduit bien le fait que l’islam par nature est d’essence totalitaire.

Dérive sectaire

Parmi les huit critères de dérive sectaire définis par la Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires (MILIVUDES), il est frappant de constater que sept d’entre eux sont remplis par l’islam :
Déstabilisation mentale, consécutive à l’oppression mentale citée ci-dessus.
Rupture avec l’environnement d’origine.
Cette rupture est bien visible chez de nombreux Français de confession musulmane nés en France ainsi que chez des Français convertis à l’islam.
Ils finissent en effet par adopter un mode de vie qui les coupe de la société française et les conduit à vivre dans des zones géographiques où la loi islamique prévaut sur les lois françaises.
Atteintes à l’intégrité physique.
La circoncision effectuée chez le jeune musulman pour une raison non-médicale, illégale en vertu de l’article 16-3 du Code Civil français, peut être considérée comme un acte de maltraitance infantile.
La pratique du ramadan en période de fortes chaleurs peut aussi être considérée comme une atteinte à l’intégrité physique, sur un individu fortement soumis à la pression de son groupe, une police religieuse de facto étant particulièrement active pendant cette période.
Embrigadement des enfants, le discours antisocial, les troubles à l’ordre public.
L’éducation religieuse démarre dès le plus jeune âge dans l’islam.
L’enfant est exposé à un véritable endoctrinement, ayant peu de chances d’avoir pour ascendants des personnes ayant un esprit critique, en raison du phénomène d’oppression mentale décrit par Wafa Sultan et qui se reproduit génération après génération.
Le discours véhiculé par l’islam qui sépare les purs des impurs, mis en pratique par exemple avec le port du voile pour les femmes, est de nature foncièrement antisocial.
Les troubles à l’ordre public générés par l’islam en France sont manifestes, comme les prières de rue.
Démêlés judiciaires nombreux.
Les prisons françaises sont très majoritairement composées de délinquants et de criminels de confession musulmane.
Il existe en effet un sentiment d’impunité parmi les membres de la communauté musulmane, les crimes et délits à l’encontre de non-musulmans n’étant pas considérés comme des péchés selon la doctrine islamique.
Ce sentiment d’impunité est en outre favorisé par le laxisme judiciaire qui règne en France.
Détournement des circuits économiques traditionnels.
En France, les cités sont un lieu emblématique de trafic de produits stupéfiants, organisé par un grand nombre de personnes de confession musulmane.
Infiltration des pouvoir publics.
En France, il ne s’agit même plus de tentatives, mais d’infiltrations réussies, multiples, présentes dans tous les pourvois publics, y compris dans les ministères.
Elles permettent de présenter l’islam de façon mensongère, à savoir une religion comme une autre et qui a toute sa place en France.

Même si ces critères ne font pas l’unanimité (il n’existe pas en Droit français de définition juridique de la « secte »), force est de constater que l’islam relève davantage d’une secte que d’une véritable religion, sans compter que sur le plan de l’idéologie politique, il s’apparente à un totalitarisme.
Il n’est donc pas étonnant que par le passé, lorsque la liberté d’expression n’était pas aussi bafouée qu’aujourd’hui en France, les personnes de confession musulmane étaient désignées comme membres de la secte des mahométans.

 “On” pourrait − Mais “on” ne veut pas

La France dispose de moyens juridiques pour lutter contre les sectes et contre les mouvements politiques qui par le passé ont montré leur nature totalitaire.
En ce qui concerne l’islam, il manque la volonté politique pour les mettre en œuvre.
Et ce manque de volonté ne témoigne pas d’une simple incompétence des hommes politiques qui se sont succédé depuis les années 70.

L’islam est en effet devenu l’instrument de choix pour asservir encore plus le peuple français, jusqu’à sa dissolution finale.

Dr Jean-Philippe de La Ribausière

Chef de clinique

cliquez pour visionner une interview du Dr Wafa Sultan (sous-titres en français)
 

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