05 novembre 2016 Réseau International

Nous nous attendions à ce que les deux dernières semaines de la campagne électorale américaine soient riches en révélations en tout genre dont certaines peu ragoutantes.

 Nous avions ainsi décidé, à Réseau International, d’en relayer le moins possible, sinon aucune, considérant que cette campagne n’était qu’un vaste cinéma.
 Mais ce qui se passe aujourd’hui aux Etats-Unis dépasse largement le cadre de l’élection présidentielle et pourrait être qualifié d’historique.

C’est à une guerre au sein du système américain que nous sommes en train d’assister.
Dr. Steve R. Pieczenik, qui fait partie de la Communauté du Renseignement, le dit clairement : ils veulent barrer la route de la Maison Blanche à Hilary Clinton qu’ils accusent d’être en train de réaliser un coup d’état silencieux.

 Ils ont décidé de stopper Hilary Clinton en faisant un contre coup d’état, et leur arme n’est autre que Wikileaks (notons au passage la proximité de cette organisation avec les systèmes de renseignements).
 C’est leur entrée en guerre contre Clinton qui explique l’avalanche de révélations que nous observons actuellement.
Avec une telle pluie de bombes qui tombent quotidiennement, l’avenir de Hilary Clinton est plus que sombre. RI

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Transcription
 
« Hillary et Bill Clinton tentent de conquérir les USA et ne s’arrêteront à aucun prix. Un coup d’Etat de cette magnitude n’a jamais été réalisé d’une façon aussi subtile et calculée.
 
« Le 1er novembre 2016, Hillary Clinton, Bill Clinton et leur entourage qui les assiste, ont mené un Coup d’État civil. Contrairement au concept habituel d’un Coup d’État militaire prenant le contrôle de la Maison-Blanche et des centres de communication, comme les scénarios que l’on voit dans les films, ce coup d’État a été mené silencieusement et très efficacement à travers deux méthodes : la corruption et la cooptation.
 
Les Clinton ont été impliqués dans [toute une démarche de] cooptation [sous-entendu : en usant de corruption] au sein de notre Maison Blanche, de notre système judiciaire, de notre CIA, FBI, notre Secrétaire à [Ministre de] la Justice Loretta Lynch, le Directeur du FBI James Comey, depuis quelque temps déjà.
Ils se sont assurés qu’ils seraient partie intégrante d’un groupe de gens imbriqués les uns avec les autres au gré du copinage politique.
 
Cependant, dans le but de stopper ce coup d’état, nous, au sein de la Communauté du Renseignement et d’autres personnes qui sont impliqués, nous nous sommes associés de façon informelle et avec leur permission, je commence à annoncer que nous avons initié un Contre-coup d’état via Julian Assange et WikiLeaks.

Ceci a eu pour effet de forcer Comey à s’occuper de l’affaire d’Hillary Clinton et d’évoquer sérieusement ses e-mails en lien avec l’affaire Anthony Weiner : ce n’était pas cette affaire elle-même qui était importante, mais le fait que ça a pu être le déclic pour beaucoup d’entre nous, en vue d’un Contre-coup d’état signifiant à l’Administration : « nous vous avons à l’œil [nous avons votre numéro : nous savons où vous trouver] ».
 
Non seulement nous avons votre numéro [nous vous avons dans le collimateur], mais nous allons en plus vous stopper dans votre démarche visant à faire d’Hillary la prochaine Présidente des États-Unis. Et dans le même temps, nous allons prouver la culpabilité de [l’actuel] Président des États-Unis, de Loretta Lynch, et de beaucoup d’autres qui sont impliqués dans la dissimulation de la corruption massive qui s’est déroulée en lien avec la Fondation Clinton.
À présent il s’agit de comprendre que dans les deux cas, leur Coup d’Etat a été silencieux, et notre Contre coup d’état a aussi été silencieux. Et tout ceci s’est passé via Internet. C’est probablement la première fois dans l’histoire d’un pays, qu’un Coup d’état a été initié par Internet, et qu’un Contre coup d’état a aussi été initié par Internet.
 
Je suis moi-même la pièce [tête de réseau] de quelque chose de [un réseau] bien plus grand que moi-même.

Ceci a été rendu possible par les braves hommes et femmes qui étaient au sein du FBI, de la CIA, le Directeur du Renseignement [Director of Intelligence[i]], le Renseignement militaire, et les hommes et femmes au sein de 15 autres organisations [Agence] de Renseignement qui n’en peuvent plus de voir cette corruption à la Maison-Blanche et au sein du Département de la Justice, contaminant jusqu’au système de Renseignement.
Et nous avons décidé que c’était quelque chose que nous devions faire dans le but de sauver la République.
 
Nous avons donc initié un contre coup d’état via Julian Assange qui a été très brave et assez formidable, par sa capacité à aller de l’avant et à mettre à disposition tous les e-mails nécessaires que nous lui avons donnés, dans le but de discréditer Hillary et Bill Clinton.

 
Une fois de plus, Amérique, nous sommes en train de traverser une transition vraiment majeure, et très franchement ce qui pourrait s’apparenter à une Seconde Révolution américaine : nous n’avons pas de canons, nous n’avons pas d’armes, nous n’avons pas l’intention de tuer qui que ce soit, nous n’avons pas l’intention de blesser qui que ce soit.

Mais nous, le public Américain et ceux d’entre nous qui servent en tant que vétéran ou au sein des Services de Renseignement comme moi-même, nous allons stopper les Clinton qui prétendaient assumer un pouvoir qu’ils ne méritent pas.



 
En même temps, nous allons nous assurer qu’Obama parte proprement, sans laisser une traînée de pardon [amnistie] derrière lui concernant aucun autre acte de trahison.

 En effet, nous voulons une transition pacifique au sein de cette grande République américaine.

Je vous apporte aujourd’hui cette information, et je veux que vous compreniez ce qui s’est passé : un moment d’Histoire est en train de se dérouler ici même en face de nous, et je suis fier de vous l’expliquer aujourd’hui. »
 
[i] NDT : certainement ici le Director of National Intelligence (James Clapper).