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vendredi 11 novembre 2016

Allemagne : La ministre de la Défense menace Donald Trump et Vladimir Poutine

Le 11/11/2016
 
 
 

  BREIZATAO – ETREBROADEL (11/11/2016)
Posted by La Rédaction on 11th novembre 2016
 
L’élection de Donald Trump à la Maison Blanche continue de générer des ondes de choc dans tout le monde occidental.
 
L’Allemagne ne fait pas exception et c’est maintenant la ministre de la Défense, Ursula Von der Leyen, qui menace le nouveau président américain.
Russia Today (source) :
«Monsieur Trump a besoin de comprendre, et ses conseillers le lui expliqueront, nous l’espérons du moins, que l’OTAN n’est pas une entreprise», a déclaré le ministre allemand Ursula von der Leyen dans un entretien à la chaîne allemande ZDF le 10 novembre. Au cours de sa campagne électorale, Donald Trump a menacé d’abandonner les alliés américains en Europe si les pays européens ne dépensent pas assez en matière de défense.
Le président Trump a en effet exigé des pays membres de l’Otan de payer les sommes prévues par les accords entre alliés, à savoir 2% du PIB national.
 L’Allemagne ne contribue qu’à hauteur de 1,19% du PIB malgré ses excédents commerciaux massifs (source).
Pourtant, son gouvernement s’estime en mesure de défier la puissance qui représente la première puissance militaire de la planète.
La ministre de la Défense allemande a en outre menacé le président Trump en cas de rapprochement avec le président Poutine :
«Donald Trump doit dire clairement de quel côté il est. S’il est du côté de la loi, de la paix et de la démocratie ou s’il ne se soucie pas de tout cela et se cherche un nouvel ami [Vladimir Poutine]», a-t-elle renchéri.
Ces déclarations sont de véritables provocations.
Cette quinquagénaire ménopausée devenue la responsable de l’ancienne Wehrmacht sous-entend que le président Trump est un ennemi potentiel, au même titre que Vladimir Poutine.
Qu’une simple secrétaire, membre du gouvernement d’un état pour ainsi dire démilitarisé, ose défier le chef de l’armée la plus puissance du monde dont les armées occupent l’Allemagne, souligne à quel point la vaginocratie féministe a perdu tout contact avec la réalité.

Car derrière cette attitude d’une agressivité inédite à ce niveau, il s’agit bien de la rage hystérique des féministes face au Mâle Alpha américain qui va bientôt occuper la Maison Blanche.
 
Dégénérescence
 
La guerre est une affaire d’hommes pour la simple raison que ce sont les hommes qui la font et qui meurent au front.
Pour prendre la mesure de l’état de dégénérescence complet de l’Allemagne contemporaine, il suffit de regarder les portraits des grands chefs militaires de cette nation, de Frédéric Le Grand à Adolf Hitler en passant par Bismarck :
 
 
 
 
Et maintenant, ça :
 
 
C’est une farce.
 
Donald Trump nous sauve du danger féministe
 
Des rombières agressives sont parvenues à progressivement se hisser à des postes à responsabilités où elles n’ont strictement rien à faire.
Et cela est que le reflet d’une société ouest-européenne totalement émasculée qui refuse l’idée même de la puissance armée, de l’autodéfense et de la guerre, donc des droits et devoirs inhérents à l’homme.
Les armées européennes ne sont plus que des milices légères en charge de protéger les musulmans, les féministes et les coffres de l’oligarchie.
 En toute logique, les subordonner à des secrétaires n’est qu’une suite logique.
Donald Trump n’est pas seulement l’espoir de la classe ouvrière américaine, c’est aussi celui qui nous a évité la formation d’une coalition socialo-féministe pro-islamique menée par Hillary Clinton et Maman Merkel.
 
 
L’homme blanc est de retour et ces féministes extrémistes savent ce que cela implique.
 Maman Merkel, que Clinton considérait comme son « modèle », est celle qui a enclenché l’invasion de l’Europe par des sauvages musulmans pour une simple opération de communication.
Les femmes, il faut le rappeler à l’instar de Schopenhauer, sont incapables d’accéder à tout idéal supérieur et sont régies par leurs émotions.
 La raison froide et la force est l’apanage de l’homme.
 C’est-à-dire ce sur quoi repose tout état.
Merkel et Clinton n’auraient pas hésité à détruire la civilisation occidentale pour asseoir davantage encore leur tyrannie sur l’homme blanc.
 
La révolution identitaire se poursuit
 
Nous ne devons cependant pas nous alarmer excessivement de ces spasmes ovariens.
Très rapidement, le nouveau chef du monde occidental va restructurer le système militaire en Europe et l’ensemble sera politiquement purgé.
Depuis qu’un des nôtres est installé à la Maison Blanche, il n’est plus question de faire partir l’armée américaine d’Europe.
Non plus que l’armée russe de Syrie.
 C’est une de nos plus solides garanties contre toute tentative de résistance de la part des sodomites de Bruxelles et des sociaux-démocrates du continent, renforcés des hordes allogènes à leurs ordres.
Ne nous trompons pas : les socialistes ouest-européens, alliés aux musulmans et aux féministes, vont tenter de s’opposer à cette grande coalition blanche formée par les USA et la Russie nationalistes.
Et tenter de contenir la révolution identitaire en Europe.
C’est-à-dire tenter de nous détruire, nous nationalistes.
Merkel doit rapidement être expulsée de la chancellerie à Berlin et être remplacée par une coalition nationaliste avec l’AfD à sa tête.
Les équipes de Trump l’ont déjà fait savoir (voir ici).
 
Ayons ceci à l’esprit : nous avons désormais l’armée russe et l’armée américaine à nos côtés pour anéantir l’islam en Europe et briser le socialisme.
Et par dessus tout, nous disposons de gens qui, à Moscou comme à Washington, n’empêcheront pas les nationalistes d’anéantir les socialo-centristes aux commandes et leurs alliés musulmans.
 

 
La panique visible de nos ennemis n’est qu’un début.
Ils sous-estiment notre potentiel comme notre dynamique.
Ils sous-estiment encore plus notre détermination et ce que nous envisageons pour eux.
Ce n’est pas un jeu et les nationalistes américains, russes ou européens ont entamé une marche qui ne s’arrêtera plus.
 
 Les comptes sont tenus à jour : la tempête approche.

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